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Theo Rota
« Une valeur sûre après changement micros et routing revu et amélioré. »
Publié le 25/12/24 à 21:42
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
Bonjour à tous,
Super Strat façon LAG de la série des Rockline. Cette denière porte parfaitement son nom, LIGHT et c'et vrai qu'elle surprend par sa légèreté lorsque l'on se saisit de la bête. La mienne est conforme à la photo jointe à cet avis. Couleur naturelle laissant apparaître le bois du corps. Corps en basswood (tilleul donc) aux veines pour le moins esthétiques, sans être exceptionnellement figuré, c'est un veinage discret. Ce bois n'a pas particulièrement une couleur sonore marquée, cmme l'aulne (alder donc) Plutôt neutre, ne pivilégiant aucune fréquence particulière. Ici, le choix a été fait pour une finition mat du plus bel effet et au toucher agréable et très naturel, très soyeux. Sauf qu'avec le temps, le venris mat a tendance a se polir et à remonter en brillant, notamment aux endroit où il a frottements comme sur la découpe stomacale en arrière du corps ou au-dessus du chevalet ou encore sur la découpe ergonomique où l'on passe le bras. Rien de très grave, il faut dire aussi que la guitare n'est plus toute jeune ! Je l'ai acquise au début des années 2000 et elle a du être fabriquée au millieu des années 90 dans l'atelier de Bédarieux.
Frettes jumbo et manche 24 cases, très agréable à prendre en main. Ni trop fin, ni trop gros. Ah, on savait faire des manches chez LAG ma brave dame, ça c'est une ceritude !
Le vibrato est un "sous licence Floyd Rose" qui dispose d'une particulatié. On monte les cordes par l'arrière du vibrato, les boules se bloquent dans une gorge, tel le cordier "stopbar" d'une Gibson. Système intellgent et pas mal foutu qui évite le système traditionnel du Floyd ou sous licence qui oblige à insérer les cordes dépourvues de leurs boules dans chaque pontet et de les serrer dans un système d'étau que tous les utilisateurs de Floyd connaissent bien et qui n'est pas à mon sens des plus pratiques. Je dois dire que ce vibrato me convient, je n'ai donc pas trouvé utile de le changer car réglé soigneusement, bien parallèle à la table et monté avec 3 ressorts, il ne désacrode pas l'instrument tant qu'on prend bien soin de le pousser, lorsque l'on utilise en tirant les notes.
Côté électronique, le potentiomètre de tonalité étant grippé par manque d'utilisation, carrément bloqué ! Alors ni une ni deux, je l'ai déssoudé du circuit ! Aujurd'hui ce potentiometre me sert juste de push-push avec la nouvelle électronque. (xhangement de micros et amélioration de l'électronique, voir plus loin) Elle était montée d'origine en version H S H, soit un humbucker au manche, un simple milieu et un micro humbucking en bridge. Ce dernier étant un bon choix de la part de Lag en usine, c'est en effet un Di Marzio DP-155, nommé également Tone Zone. Assez proche du Seymour Duncan SH-4 Jeff Beck mais en plus sombre, plus médium et moins agressif dans les aigus, ce qui est un bon choix avec du tilleul. Quant au deux autres micros, comme je l'ai déjà expliqué sur mon avis sur le Seymour Duncan SH-2 Jazz Model Neck, disponible ici :
https://fr.audiofanzine.com/micro-humbucker-pour-guitare/seymour-duncan/sh-2n-jazz-model-neck/avis/r.215219.html
Donc les micros choisis d'usine par Lag étaient un Dan Armstrong Sky en manche et un milieu de même marque Dan Armstrong Sky, certainement pour une question de coût. Vraiment pas fabuleux ces micros, je dois le dire honnêtement. Le routing d'origine était assez particulier, pas de split simple-double, et donc un genre de passage en parallèle par le biais du selecteur 5 positions. Pas moyen d'avoir le fameux son strat en position 2 ou 4 du selecteur 5 positions. Ce fameux son flûté, "hors phase" typique lorsque l'on connecte ensemble le micro manche ou le micro chevalet avec le milieu. Le fameux quackie sound bien connu...
Du coup, j'étiais plutôt frustré à cause de ce fait... Malgré tout, j'ai utilisé cette Lag en bal pendant un bon moment, en tant que SuperStrat, elle faisait pas mal l'affaire par sa polyvalence, utilisant toujours la sélection miro milieu + micro aigu, pour les fameux sons clairs typiques de la Strato, pour les cocottes funky en son clair. Et bien sûr le micro chevalet pour les solos ou les rythmiques en saturax. Le micro aigu Di Marzio faisant parfaitement l'affaire à ce titre.
L'été dernier (2024), j'ai déidé de la ressortir de sa léthargie et j'avais toujours dans l'idée de l'améliorer par l'ajout de micors qui lui feraient honneur. Comme confirmé par les avis préédents sur cette guitare, j'ai toujours pensé que la bonne lutherie de cette Lag rockline Light méritait bien un bon coup d'upgrade du côté des micros.
J'ai donc opté pour des valeurs sûres afin de dégager le micro grave et le médium d'origine. J'ai choisi le Seymour Duncan SH-2 Jazz Neck pour le micro manche et le Seymour Duncan SSL-5 en version RW-RP à aimants étagés (Reverse Wound - Reverse Polarity) et je ne le regrette point ! Grâce à ma chère luthière Celia Enoc (Guitares d'en France à Célony - 13 ) elle a revu tout le câblage et recâblé le tout ainsi que procédé aux soudures. Et comme je l'expliquais plus haut, j'ai opté pour un Push-Push sur le potard de tonalité qui est toujrs resté dessoudé depuis donc inactif. Ce afin de ne pas avoir de déperdition d'aigus. Comme je n'utilise pas ce dernier, nul besoin de le connecter car un potentiomètre de tonalité, même ouvert à fond fait toujours perdre du signal et des aigus.
Et grace à cette opération, j'ai pu redécouvrir ma Lag Rockline Light qui peut ainsi exprimer tout son potentiel. Enfin, je peux avoir le fameux son Stratocaster en position 2 du sélecteur 5 positions, soit le micro grave (en double ou simple bobinage) par le biais du Push-push plus le micro milieu. Ce fameux son "quackie" sound. cher à Stevie Ray Vaughan ou à David GIlmour. ou même à Eric Clapton, bref, à tous ces guitar Heroes qui utilisent cet instrument... Pour un résultat optimal, j'ai du m'y reprendre en plusieurs fois quant au réglage de la hauteur du micro grave (Seymour Duncan SH-2 Jazz Neck) mais surtout au réglage de hauteur du micro millieu (Seymour Duncan SSL-5) car ce dernier est particulièrement puissant et ce ne fut pas évident d'avoir l'équilibre requis entre les micros pour le fameux son hors phase que l'on aime tant... Pour mon cas, j'ai du baisser le micro milieu au plus bas; à cause de son niveau de sortie élevé. C'est un micro qui envoie du niveau de folie...
J'ai gané aussi en qualité de son sur le micor grave seul, en simple ou en double. Ce SH-2 Jaz Neck étant excellent. On comprend alors pourquoi Seymour Duncan lui-même le préconise en tant que "best choice" pour une grande polyvalence. Le tout avec un SH-4 Jeff Beck en chevalet. Pour ma part, je suis satisfait de celui qui étati à l'origine, soit le Di Marzio One Zone qui se marie à merveille avec les Seymour Duncan. C'est finalement le seul micro que j'ai laissé...
Aujourdhui je redécouvre cet instrument. Ma Lag Rockline Light a gagné en qualité de son et aussi en polyyvalence. En bonne Superstrat elle est devenue une guitare tous terrains et ultra-polyvalente.
Je suis très satisfait de mon investissement sur l'achat des nouveaux micros ainsi que des opérations de modifications électoniques. Je la branche sur mon Mooer GE-300 et me voilà aux commandes d'un instrument aux sons variès et bénéficiant d'une palette de couleurs efficaces, tant en sons clairs qu'en sons saturax qui arrachent.
Super Strat façon LAG de la série des Rockline. Cette denière porte parfaitement son nom, LIGHT et c'et vrai qu'elle surprend par sa légèreté lorsque l'on se saisit de la bête. La mienne est conforme à la photo jointe à cet avis. Couleur naturelle laissant apparaître le bois du corps. Corps en basswood (tilleul donc) aux veines pour le moins esthétiques, sans être exceptionnellement figuré, c'est un veinage discret. Ce bois n'a pas particulièrement une couleur sonore marquée, cmme l'aulne (alder donc) Plutôt neutre, ne pivilégiant aucune fréquence particulière. Ici, le choix a été fait pour une finition mat du plus bel effet et au toucher agréable et très naturel, très soyeux. Sauf qu'avec le temps, le venris mat a tendance a se polir et à remonter en brillant, notamment aux endroit où il a frottements comme sur la découpe stomacale en arrière du corps ou au-dessus du chevalet ou encore sur la découpe ergonomique où l'on passe le bras. Rien de très grave, il faut dire aussi que la guitare n'est plus toute jeune ! Je l'ai acquise au début des années 2000 et elle a du être fabriquée au millieu des années 90 dans l'atelier de Bédarieux.
Frettes jumbo et manche 24 cases, très agréable à prendre en main. Ni trop fin, ni trop gros. Ah, on savait faire des manches chez LAG ma brave dame, ça c'est une ceritude !
Le vibrato est un "sous licence Floyd Rose" qui dispose d'une particulatié. On monte les cordes par l'arrière du vibrato, les boules se bloquent dans une gorge, tel le cordier "stopbar" d'une Gibson. Système intellgent et pas mal foutu qui évite le système traditionnel du Floyd ou sous licence qui oblige à insérer les cordes dépourvues de leurs boules dans chaque pontet et de les serrer dans un système d'étau que tous les utilisateurs de Floyd connaissent bien et qui n'est pas à mon sens des plus pratiques. Je dois dire que ce vibrato me convient, je n'ai donc pas trouvé utile de le changer car réglé soigneusement, bien parallèle à la table et monté avec 3 ressorts, il ne désacrode pas l'instrument tant qu'on prend bien soin de le pousser, lorsque l'on utilise en tirant les notes.
Côté électronique, le potentiomètre de tonalité étant grippé par manque d'utilisation, carrément bloqué ! Alors ni une ni deux, je l'ai déssoudé du circuit ! Aujurd'hui ce potentiometre me sert juste de push-push avec la nouvelle électronque. (xhangement de micros et amélioration de l'électronique, voir plus loin) Elle était montée d'origine en version H S H, soit un humbucker au manche, un simple milieu et un micro humbucking en bridge. Ce dernier étant un bon choix de la part de Lag en usine, c'est en effet un Di Marzio DP-155, nommé également Tone Zone. Assez proche du Seymour Duncan SH-4 Jeff Beck mais en plus sombre, plus médium et moins agressif dans les aigus, ce qui est un bon choix avec du tilleul. Quant au deux autres micros, comme je l'ai déjà expliqué sur mon avis sur le Seymour Duncan SH-2 Jazz Model Neck, disponible ici :
https://fr.audiofanzine.com/micro-humbucker-pour-guitare/seymour-duncan/sh-2n-jazz-model-neck/avis/r.215219.html
Donc les micros choisis d'usine par Lag étaient un Dan Armstrong Sky en manche et un milieu de même marque Dan Armstrong Sky, certainement pour une question de coût. Vraiment pas fabuleux ces micros, je dois le dire honnêtement. Le routing d'origine était assez particulier, pas de split simple-double, et donc un genre de passage en parallèle par le biais du selecteur 5 positions. Pas moyen d'avoir le fameux son strat en position 2 ou 4 du selecteur 5 positions. Ce fameux son flûté, "hors phase" typique lorsque l'on connecte ensemble le micro manche ou le micro chevalet avec le milieu. Le fameux quackie sound bien connu...
Du coup, j'étiais plutôt frustré à cause de ce fait... Malgré tout, j'ai utilisé cette Lag en bal pendant un bon moment, en tant que SuperStrat, elle faisait pas mal l'affaire par sa polyvalence, utilisant toujours la sélection miro milieu + micro aigu, pour les fameux sons clairs typiques de la Strato, pour les cocottes funky en son clair. Et bien sûr le micro chevalet pour les solos ou les rythmiques en saturax. Le micro aigu Di Marzio faisant parfaitement l'affaire à ce titre.
L'été dernier (2024), j'ai déidé de la ressortir de sa léthargie et j'avais toujours dans l'idée de l'améliorer par l'ajout de micors qui lui feraient honneur. Comme confirmé par les avis préédents sur cette guitare, j'ai toujours pensé que la bonne lutherie de cette Lag rockline Light méritait bien un bon coup d'upgrade du côté des micros.
J'ai donc opté pour des valeurs sûres afin de dégager le micro grave et le médium d'origine. J'ai choisi le Seymour Duncan SH-2 Jazz Neck pour le micro manche et le Seymour Duncan SSL-5 en version RW-RP à aimants étagés (Reverse Wound - Reverse Polarity) et je ne le regrette point ! Grâce à ma chère luthière Celia Enoc (Guitares d'en France à Célony - 13 ) elle a revu tout le câblage et recâblé le tout ainsi que procédé aux soudures. Et comme je l'expliquais plus haut, j'ai opté pour un Push-Push sur le potard de tonalité qui est toujrs resté dessoudé depuis donc inactif. Ce afin de ne pas avoir de déperdition d'aigus. Comme je n'utilise pas ce dernier, nul besoin de le connecter car un potentiomètre de tonalité, même ouvert à fond fait toujours perdre du signal et des aigus.
Et grace à cette opération, j'ai pu redécouvrir ma Lag Rockline Light qui peut ainsi exprimer tout son potentiel. Enfin, je peux avoir le fameux son Stratocaster en position 2 du sélecteur 5 positions, soit le micro grave (en double ou simple bobinage) par le biais du Push-push plus le micro milieu. Ce fameux son "quackie" sound. cher à Stevie Ray Vaughan ou à David GIlmour. ou même à Eric Clapton, bref, à tous ces guitar Heroes qui utilisent cet instrument... Pour un résultat optimal, j'ai du m'y reprendre en plusieurs fois quant au réglage de la hauteur du micro grave (Seymour Duncan SH-2 Jazz Neck) mais surtout au réglage de hauteur du micro millieu (Seymour Duncan SSL-5) car ce dernier est particulièrement puissant et ce ne fut pas évident d'avoir l'équilibre requis entre les micros pour le fameux son hors phase que l'on aime tant... Pour mon cas, j'ai du baisser le micro milieu au plus bas; à cause de son niveau de sortie élevé. C'est un micro qui envoie du niveau de folie...
J'ai gané aussi en qualité de son sur le micor grave seul, en simple ou en double. Ce SH-2 Jaz Neck étant excellent. On comprend alors pourquoi Seymour Duncan lui-même le préconise en tant que "best choice" pour une grande polyvalence. Le tout avec un SH-4 Jeff Beck en chevalet. Pour ma part, je suis satisfait de celui qui étati à l'origine, soit le Di Marzio One Zone qui se marie à merveille avec les Seymour Duncan. C'est finalement le seul micro que j'ai laissé...
Aujourdhui je redécouvre cet instrument. Ma Lag Rockline Light a gagné en qualité de son et aussi en polyyvalence. En bonne Superstrat elle est devenue une guitare tous terrains et ultra-polyvalente.
Je suis très satisfait de mon investissement sur l'achat des nouveaux micros ainsi que des opérations de modifications électoniques. Je la branche sur mon Mooer GE-300 et me voilà aux commandes d'un instrument aux sons variès et bénéficiant d'une palette de couleurs efficaces, tant en sons clairs qu'en sons saturax qui arrachent.