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Les coquilles. de journalistes (presse et radio).

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Sujet de la discussion Les coquilles. de journalistes (presse et radio).
A l'instar de " Les conneries on stage " ou encore " en home-stud' ", je propose de réunir ici les trus vécus par vous, qui vous sont effectivement arrivés dans la presse écrite -ça inclus les affiches- ou même sur les lignes du web...

On peut y raconter parallèlement les circonstances parfois ianttendues des interviews effectuées pour le compte de telle ou telle radio.

... Ca promet d'être croustillant...

A excellents entendeurs;

S'lut !
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Mouais une fois on exposait en collectif, on était genre 10 à exposer ensemble...
Mais pour le pot de vernissage (yavé plein d'expos en un week end)on était pas tous là... A vrai dire ils étaient deux, + un pote.
Le photographe de je sais pu quel journal du bled est arrivé, a fait "aaah c'est vous le cOllectif d'Ârtistes" op mettez vous là "euuh oui mais il manque..." clac foto.
Le lendemain, sur le journal on voyait donc 2 mecs du collectif + un pote(qui en profite pour faire le con), avec en sous-titre : "Le collectif d'artistes le Måche" :mrg:
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Hors sujet :

Citation : Peux-tu me dire, en revanche, comment rectifier le SUJET de mon thread ? Je ne l'ai pas intitulé éxactement comme je voulais et après, comme un con, j'ai oublié d'y revenir avant de poster, c'est idiot !...


Peut-être qu'un pourrait rectifier ton titre.

Sans musique, la vie serait une erreur. (F. Nietzsche)

Matos à vendre

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Nous, scène ouverte de 4 groupes : on jouaient en premier.
Le photographe du journal local s'est pointé en fin d'après-midi après les balances parce qu'il pouvait pas venir le soir!
Mais on était tous partis mangés!

Résultat, la photo : c'était notre matos, des musiciens de deux autres groupes et la chanteuse d'un groupe qui jouait pas ce soir là (elle était juste venue nous voir!).
Heureusement il n'y avait pas de légende.

 Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/

 

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Wouaaaaaf !!
je sens qu'on va encore se marrer, ici !

Allez; vos anecdotes en radio et en presse...

Youpeeeee !
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Peu après mon arrivée dans la capitale, Georges (PAS Chelon), alors journaliste au Quotidien de Paris m'avait embarqué dans une radio que je ne connaissais évidemment pas, dans une de ces rares banlieues huppées de la région parisienne où l' "on" a l'habitude de fréquenter davantage casino et terrain de courses que chanteurs à texte. Sauf bien sûr s'ils sont déjà célèbres.

Le studio tenait dans les honorables dimensions d'un sous-sol qu'on y peut construire, on dira : une sorte de cave -au reste, parfaitement aménagé(e)-, et dont, seule, la partie la plus haute ( le "toît" ) dépassait de terre en donnant donc sur l'extérieur, et en sorte de pouvoir aérer à discrétion sur 50 petits centimètres de hauteur.
Je disai "discrétion", il en sera question dans l'instant....

Il devait être alors ou deux ou trois heures du matin; et c'était le plein Août.
L'ouverture des "fenètres-aérateurs" (50 cm de haut, et juste entr'ouvrables) du stud' ayant été rendue possible du fait du manque de pollution -sonore- d'automobilistes riverains (rares, en ces époque et heure), et par la nécessité de dissiper la fumée des invités précédents.
Cette solution avait de loin été préfére de tous en lieu et place d'activer la sempiternelle climatisation, dont beaucoup sur ce site auront pu souffir des effets dévastateurs.

Le décor est planté.

A nous d'y figurer...


Heure-top : Ding-Dong. Bah vii... C'est les infos... Quelle(s) nouvelle(s) !
Après, ben forcément, t'as la pub'...
Bon...
Ahh !!... Ca y est, c'est enfin notre (mon) tour !...

On commence à causer, se présenter, dire bonjour-bonjour; copain-copain; tout-ça-tout-ça, et là...

Mes chers afiens, un CHAT (je n'ose pas en juger le poids, de peur que vous ne pensiez que j'éxagère) bondit de la fenêtre extérieure et se plante sur la table, là, directement au bon millieu des micros, en pleine antenne que nous venions de prendre...

Un choc (et un BOUM) -mais comme c'était juste sur la fin d'une phrase au micro, "on" n'a rien dit, ça a vite enchainé style "on va écouter de suite une chanson (en disque)"...

Wouaip... pendant le temps de la diff' du titre, on essayait tous de faire partir l'animal, mais le bougre nous crachait dessus...
Il devait être affamé, pauvre bête, quelqu'un aura encore laissé sans soin son animal en cette periode estivale...

Au bout d'une heure, on réussit presque à "faire sympa" avec lui...

Il était l'heure de rendre l'antenne; et s'enfuit alors par la porte de service...

Je vous raconterai peut-être une prochaine fois comment je me suis fait engueuler en rentrant chez moi...

A excellents amoureux des bêtes ;

S'lut !
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:bravo: On attend la suite.

Sans musique, la vie serait une erreur. (F. Nietzsche)

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