Sujet de la discussionPosté le 13/06/2006 à 15:22:42Pour ou contre l'euthanasie
Bon voilà le sujet revient de temps en temps comme c'est le cas cette semaine alors...
personellement ça m'a toujours apparu comme du bon sens et une obligation morale dans le cadre de souffrances extrèmes ou de passage d'un point de non retour vraimment loin si vous voyez ce que je veux dire, mais puisque le débat dure depuis un petit bout de temps déjà, c'est forcément que les avis divergent...alors, pour ou contre, dans tel cas ou dans tel autre, ect, donnez votre opinion...
Hors sujet : Je rapelle qu'un de mes rêves récurrent est que je dois aller me faire euthanasier, je vais à l'hôpital et tout et j'attends dans la salle d'attente pour aller me faire euthanasier. Au dernier moment je demande si c'est vraiment obligatoire, si je ne peux pas le faire plus tard... et comme j'ai le droit, je me ravise
Je suis pour dans tout les cas où le maintient en vie n'est que souffrance pour les proches et bien sur le patient... après pour les gens qui ne souffrent pas mais qui sont tout de même, passez moi l'expression, de maxi légumes je sais pas trop. d'emblée je dirais oui mais je vois vite les arguments d'en face...et ils me font me poser la question, c'est pourquoi vos avis m'interressent...
Le problème c'est que cela doit être du ressort des médecins, des patients, des familles et des psychiatres, au cas par cas.
dans le secret de l'ame et conscience de celui qui a prèté serment d'hypocrate.
vouloir faire des généralités codifiées par des politiciens et appliquées par des juges est une hérésie.
les juges et les politiques n'ont rien à foutre là dedans.
ni dans un sens ni dans l'autre.
même si ça les fait chier de ne pouvoir tout controler et de voir un pouvoir appartenir au monde médical et leur échapper.
donc, officiellement, l'eutnanasie doit restée interdite.
et ceux qui la pratiquent, dans de rares et murement réfléchis cas, doivent arrêter d'espérer porter ça en place publique pour faire des grands procès, se faire mousser... et diminuer la confiance des gens en fin de vie en le monde médical.