Les super films d'audiofanzine que l'on ne verra jamais mais ça aurait été cool ...
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hu hu hu
Rifki
16822
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
Rhô génial ! 
Will Zégal
75114
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Anonyme
22821
Anonyme
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lol intercontinental
Elemmir
4188
Squatteur·euse d’AF
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Anonyme
15125
Will Zégal
75114
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Les critiques commencent à paraître. Apparemment, ça ne fait pas tout à fait l'unanimité.
POUR
Après une première réalisation très remarquée malgré un évident plagiat (la menAFe Fantome, sorti début 2014), Da Rinze revient avec une nouvelle super production qui, si elle conserve le côté grand spectacle de son précédent opus, s'en éloigne par un côté beaucoup plus mystérieux et surtout réaliste. Mystérieux parce que rien n'est expliqué : avec une grande intelligence, le réalisateur ne livre que des faits, des impressions et quelques sous-entendus au spectateur qui, seul, pourra décider en son âme et conscience de ce qui ce cache derrière ces éléments. Bien sur, on s'éloigne souvent du réalisme avec des grosses courses poursuites dignes des meilleurs blockbuster hollywoodiens (il se murmure que Samy Naceri, possible cousin du réalisateur, aurait ici servi de conseiller technique officieux), mais on y revient toujours avec des situations d'une grand justesse pour qui connaît un peu la vie de ces hommes de l'ombre.
La prestation des acteurs est de haut niveau avec un naPoleon au meilleur de sa forme (la consommation de tomates sur le tournage aurait été orgiaque). A lui seul, il aurait pu porter le film à bout de bras s'il n'avait été aussi habilement secondé par les autres rôles (dont une RX-8 en pleine forme).
On sort de ce film estomaqué, troublé, la tête farcie de questions auxquelles ont n'est pas sur de vouloir trouver des réponses. Un film d'action qui fait appel à l'intelligence du spectateur, c'est à saluer.
CONTRE
boum boum, vroum vroum, crac crac, vous avez l'essentiel de ce film. Ça risque, ça roule, ça dégomme de la tomate à 100 à l'heure dans une espèce de clip halluciné qui, pourtant, n'échappe pas à quelques longueurs et même pesanteurs. Dès qu'il sort de l'action pure (bien maîtrisée) pour tenter d'apporter du sens, le réalisateur tombe dans la lourdeur. Ainsi, était-il vraiment nécessaire que la scène où le héro, seul face à son écran, tente de casser le code d'un post d'Oryjen dure 35 minutes ? L'introduction de personnages historiques façon Forest Gump aurait pu être amusante si elle n'était aussi artificielle, comme cette scène où Trompe débat de DLC ou DLUO des tomates avec un célèbre agent des services vétérinaires. Avec son précédent film, le réalisateur avait su avec beaucoup de talent utiliser la parodie et la transposition du réel pour bâtir une subtile critique du monde contemporain. Ici, on le sent dépassé par son sujet. Le spectateur aussi.
POUR Après une première réalisation très remarquée malgré un évident plagiat (la menAFe Fantome, sorti début 2014), Da Rinze revient avec une nouvelle super production qui, si elle conserve le côté grand spectacle de son précédent opus, s'en éloigne par un côté beaucoup plus mystérieux et surtout réaliste. Mystérieux parce que rien n'est expliqué : avec une grande intelligence, le réalisateur ne livre que des faits, des impressions et quelques sous-entendus au spectateur qui, seul, pourra décider en son âme et conscience de ce qui ce cache derrière ces éléments. Bien sur, on s'éloigne souvent du réalisme avec des grosses courses poursuites dignes des meilleurs blockbuster hollywoodiens (il se murmure que Samy Naceri, possible cousin du réalisateur, aurait ici servi de conseiller technique officieux), mais on y revient toujours avec des situations d'une grand justesse pour qui connaît un peu la vie de ces hommes de l'ombre.
La prestation des acteurs est de haut niveau avec un naPoleon au meilleur de sa forme (la consommation de tomates sur le tournage aurait été orgiaque). A lui seul, il aurait pu porter le film à bout de bras s'il n'avait été aussi habilement secondé par les autres rôles (dont une RX-8 en pleine forme).
On sort de ce film estomaqué, troublé, la tête farcie de questions auxquelles ont n'est pas sur de vouloir trouver des réponses. Un film d'action qui fait appel à l'intelligence du spectateur, c'est à saluer.
CONTRE boum boum, vroum vroum, crac crac, vous avez l'essentiel de ce film. Ça risque, ça roule, ça dégomme de la tomate à 100 à l'heure dans une espèce de clip halluciné qui, pourtant, n'échappe pas à quelques longueurs et même pesanteurs. Dès qu'il sort de l'action pure (bien maîtrisée) pour tenter d'apporter du sens, le réalisateur tombe dans la lourdeur. Ainsi, était-il vraiment nécessaire que la scène où le héro, seul face à son écran, tente de casser le code d'un post d'Oryjen dure 35 minutes ? L'introduction de personnages historiques façon Forest Gump aurait pu être amusante si elle n'était aussi artificielle, comme cette scène où Trompe débat de DLC ou DLUO des tomates avec un célèbre agent des services vétérinaires. Avec son précédent film, le réalisateur avait su avec beaucoup de talent utiliser la parodie et la transposition du réel pour bâtir une subtile critique du monde contemporain. Ici, on le sent dépassé par son sujet. Le spectateur aussi.
[ Dernière édition du message le 22/05/2015 à 13:17:56 ]
Anonyme
27133
**naPOLEoN**
27844
Vie après AF ?
Membre depuis 18 ans
hu hu hu
Rifki
16822
Drogué·e à l’AFéine
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Rhô lala
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