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Ou trouver une housse pour la Beast BC Rich ?

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Sujet de la discussion Ou trouver une housse pour la Beast BC Rich ?
J'aimerais trouver une housse adaptée à cette guitare :



Elle rentre dans aucune housse standarde ! :8O:


J'ai vu sur internet qu'il vendait parfois la guitare avec une housse.
Donc c'est que ça se trouve ! Mais ou ?
Et j'aimerais trouver en France ou en Europe, parce que les dollars...
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Citation : A-t-on le droit d'avoir un goût différent ? Pourquoi exiger l'unanimité ?


C'est amusant de voir comme tu prends la mouche, ou en tout cas comme tu me
réponds le plus sérieusement du monde, alors que moi je fais ma mélopia !
:mrg:



Citation : j'ai un dégoût croissant pour tout le XIXème siècle s'il faut parler de manière plus générale. Un siècle de misérables dandys tourmentés par l'horreur du vide, ce que
j'appelle la métaphysique des sphincters. Je trouve les poses de la plupart des
auteurs de cette époque absolument pathétiques, et d'après moi ce sont ses poètes
qui s'en sortent le mieux : Baudelaire a surpassé tout le monde par la profondeur


Ca c'est drole aussi, parce que Baudelaire, c'est justement la figure parfaite du
misérable tourmenté par l' horreur du vide, et du dandy qui pose devant les caméras.



Certains auteurs et critiques pensent que pour juger une oeuvre, il ne ne faut pas
perdre de vu, l'auteur, sa vie... C'est comme ça que tu sembles procéder...
Pour Musset, Tu a l'air de savoir un peu de QUI tu parles, mais pas de QUOI tu parles.
Et tu rejettes les quelques petites choses que tu as lu de lui par ci par la, pour le Dandy provocateur et désabusé qu'il est, pour les poses qu'il prend.
C'est également comme ça qu'on procédait dans les universités des années cinquante,
sur les pas de Sainte Beuve, on prétendait que quand on connaissait l'auteur,
on connaissait l'oeuvre. Du coup on se préoccupait pas trop du contenu.



Et je ne suis pas trop d'accord.
Parce que si on procède de la sorte, dans ce cas on condamne Voyage au bout de la
nuit, pour les intentions politiques de Céline alors que c'est un chef d'oeuvre majeure.
D'autre part, c'est réducteur et impersonel comme méthode d'approche, euh à mon sens.



Plus tard, avec le mouvement structuraliste, on se tourne vers le contenu, et on
invente une quantité d'outils critiques, on mélange la psychanalise, la sociologie, ect...
On ne mélange plus forcément la vie de l'auteur et ce qu'il a écrit.
C'est ce que tu sembles rejeter complètement. Pourtant ça me semble une approche,
ou plutot une possibilité d'approches, qui laisse plus de liberté, de prismes, et
d'autonomie à l'oeuvre.



Ce que je trouve amusant ceci dit, c'est que tu sembles juger l'oeuvre par rapport à
l'auteur donc... Mais quand l'oeuvre est admirable, pour le coup tu acceptes de faire fie
de la vie de l'auteur et de ses poses, Baudelaire par exemple !
C'est un peu facile je trouve.



Citation : Mes auteurs favoris ne le sont jamais devenus grâce aux programmes de Lettres.


Moi non plus. Mais j'ai appris à ne pas déconsidérer des auteurs, voir à aimer des
auteurs par une étude personelle de leur oeuvre imposé par le programme de Lettres.



Citation : Je hais la critique universitaire ! Elle exploite des carcans critiques tout en sachant la
portée limitée de tels outils, et je hais la mauvaise foi de certains professeurs qui
refusent l'approche globale et humaine pour préférer dégorger tous les mots du texte
pour finalement lui faire dire n'importe quoi.


Je hais la critique universitaire de bas étage, qui se base sur le mouvement formel.
On étudie la forme, de façon "savante" sans jamais s'occuper vraiment du fond.
On applique des procédés identiques pour chaque approche, donc c'est UNE approche
pour TOUTE la littérature, une approche limite mathématique par dessus le marché.
On voudrait ranger indifféremment toute la littérature dans des petites cases.
On n'est fermé au message que porte l'oeuvre, à ce qui la rend unique, à ce que
chacun peut ressentir et percevoir.
Ceci dit, concernant la mauvaise foie, tu peux parler !
Musset est un dandy qui pose donc Musset m'énnerve. Baudelaire est un dandy qui
pose mais comme je l'aime bien je vais fermer les yeux et dire qu'il s'en sort par la
profondeur de ses écrits. C'est cela oui... :oops2:



Citation : Après ça je me suis posé la question de ma position vis-à-vis de l'Art en général et de
ce que reflétait de sa personne l'appréhension que l'on en avait. Je n'arrive pas par exemple à saisir la satisfaction que l'on peut avoir dans la recherche littéraire
universitaire, j'y suis hermétique. Sûrement une question d'attente et de caractère ?...


Ouais bah déjà la critique universitaire c'est pas trop de l'art. Souvent c'est des gens
qui ont échoué en tant qu'artiste et qui vont donc critiquer les artistes à défaut.
C'est en tout cas l'image d'épinale.
Mais je comprends le plaisir qu'on peut éprouver dans la recherche Littéraire.
parce que d'abord, les outils critiques ne se limitent pas à la critique formelle,
on a une batterie d'outils critiques possibles, qui font se recouper pas mal de branches,
ensuite quand on adore un auteur, c'est plaisant de passer son temps à faire des
recherches sur lui, sur ce qu'il a écrit, à comprendre, à élargir son champ de vision,
à construire son avis sur la chose, pour ensuite pouvoir transmettre ce qu'on a
découvert et ce qu'on aime.



Citation : Et pourquoi d'ailleurs croirais-tu un auteur quand il prétend te raconter la génèse de son oeuvre ? Avoue que dans le fond tu accrédites sa parole sans justification fondée sinon celle que l'auteur est honnête et qu'il te dit la vérité ?...


Bah oui t'as raison, Ponge s'est amusé à recréer des centaines de faux-brouillons,
des centaines de feuilles volantes de recherches dans le littré et dans les dictionnaires !
Et quand il explique son propre travail, il invente n'importe quoi, d'ailleurs c'est pas vérifiable dans ses poèmes ! D'ailleurs la critique génétique c'est de la merde, parce que y'a le mot critique dedans ! :bravo:




Citation : C'est exact sauf qu'on ne saura jamais si l'on est dans le vrai ou le faux


Sauf que la finalité n'est pas l'objectivité absolu, mais un point de vue, un prisme,
une approche.
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Hors sujet : T'es dans le coin, Blanco ?

I'm Back

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En fait, quand j'étais pas en train de faire ma mélopia, la seule chose que je pointais
du doigt, c'était ton jugement arrété et catégorique, concernant un auteur dont tu n'as
pas lu grand chose finallement. La forme donc ! Parce que le contenu, la subjectivité,
je respecte.


C'est ce qui t'avais vallu un linchage en publique si tu te rappèles !
Parce que tu avais affirmé avec ce ton arrété et catégorique des énormités sur Freud,
inspirés par le on dit et tes quelques lectures parcellaires de cet auteur.



Je pense que pour se permettre ce genre de formulation coup de poing,
il faut avoir tout lu, comme Bloody, qui s'était permis aussi de pointer du doigt ton
Ton affirmatif sur un sujet que finallement tu n'abordais que sous quelques angles,
les angles de tes maigres lectures, et cela t'induisait fortement en erreur.



Hors sujet : Blanco ? :?!:

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Je me fous de savoir si mon discours cadre ou non avec ce qu'en pensent les universitaires et les critiques éminents. Si c'est le cas tant mieux, si cela ne l'est pas tant pis. Cela m'a valu de très bonnes appréciations comme de très mauvaises, mais c'était toujours moi que l'on notait parce que je déteste les récitations.

Il est de bon ton de tomber dans le verbiage et de pointer les fausses contradictions qui sont autant de choses incomprises. Par exemple, oui Baudelaire était un affeux dandy mais il avait quelque chose de plus que les autres qui le hissait au-dessus et je n'ai jamais dit qu'il avait quelque chose de moins, c'est-à-dire ses postures romantiques. Un vrai dialogue de sourds.

Avec Céline tu mélanges tout car il n'est pas question de politique dans ses écrits, hormis ses pamphlets qui lui ont coûté très cher. Ses romans sont des romans, point.

Pour les cours de critiques littéraires, merci, j'ai déjà donné.

On en reste aux mêmes choses, tu vois le progrès de manière uniforme, comme une ligne droite. Je ne pense pas ainsi. Enfin...

Dire que la finalité n'est pas l'objectivité absolue, seulement d'avoir des points de vue et me reprocher ensuite le mien, je trouve ça fort. Tu veux qu'on continue à ergoter ?

Qu'on me lynche, ça vous dégourdira les doigts et puis comme disait Céline justement : "Quand la haine des hommes ne comporte aucun risque, leur bêtise est vite convaincue, les motifs viennent tout seuls."



Qui est sérieux ici ?
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Bon je crois qu'on va déplacer ca dans le pub et tant pis pour la housse :roll:

Better to be hated for who you are, than loved for who you are not

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Citation : Avec Céline tu mélanges tout car il n'est pas question de politique dans ses écrits, hormis ses pamphlets qui lui ont coûté très cher. Ses romans sont des romans, point.


Bah stéfait essprès, je faisais comme toi, je mélangais tout, l'auteur et ses écrits ! :noidea:


Ceci dit ça me pompe, j'aime pas être sérieuse trop longtemps sur le forum, ça devient
vite gavant.
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C'est marrant les topics de Mélo ça part toujours du meme genre de questions et ça finit toujours par le meme genre de posts, avec bien sur toujours les meme participants.

Un autre truc marrant, pendant que je rédige mon post je lis un sticker qui dit "Money, Ideology, Constraint, Ego". Ca a rien à voir, enfin si... enfin je me comprends...
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Citation : T'es dans le coin, Blanco ?



Blanco2 est absent pour le moment. Il a des tas de lettres de jeunes petits babouins adressées au perce-oreille à corriger. Veuillez renouveler votre appel ultérieurement. Madame Blanco aka Blanquette
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