Forcément les supporters sont devant leur télé à se palucher, laissant s'échapper de leur bouche filet de bave chargé d'un un mélange de mauvaise bière et de pizza froide.
Pour une part. L'autre part, elle est au milieu des gaz lacrymogènes, entre la vague des ultras du camp adverse, et celle des CRS qui commencent à en avoir plein le gilet pare-balles d'être engagés sur des rings toujours plus nombreux et sans trève ni temps de récupération.