Quand j'étais gamin, dans les chiottes publiques de mon bled yavé plein d'inscriptions sur la porte, comme ça, écrites par des générations de jeunes désœuvrés, qui se répondaient l'une l'autre.
Tu commençais par lire la première, pi hop tu sautais à la seconde, puis la troisième, etc... yavé tout un parcours sur la porte. Alors forcément comme y avait de moins en moins de place, les mecs écrivaient de plus en plus petit à la fin ça devenait chiant à lire.
La dernière je me souviens, elle était tout en bas dans un coin, fallait drôlement s'approcher de près pour pouvoir la lire, tellement c'était écrit petit petit petit. Et quand tu t'approchais assez près pour pouvoir lire, tu tombais sur ça: