Pour les non-anglophones ou paresseux (comme moi) qui ne lisent pas couramment ou qui n'ont pas envie d'essayer de traduire, voici la v.f.:
Les seins de la reine
Il était une fois une belle reine à la poitrine généreuse.
Sid, le tueur de dragons, était obsédé par la Reine pour cette raison. Il savait que son désir était puni de mort s'il essayait de les toucher, mais il devait essayer.
Un jour, Sid révéla son désir secret à son collègue, Nathan, l'avocat érudit, le principal conseiller du roi. Nathan réfléchit et dit qu'il pouvait faire en sorte que Sid puisse satisfaire son désir, mais que cela lui coûterait 1000 pièces d'or. Sans hésiter, Sid accepta volontiers le projet.
Le lendemain, Nathan se procura un paquet de poudre pour démangeaisons et en versa un peu dans le soutien-gorge de la reine pendant qu'elle prenait son bain. Peu après qu'elle se soit habillée, les démangeaisons ont commencé et se sont intensifiées.
Convoqué dans les Chambres royales pour évoquer cet incident, Nathan informa le Roi et la Reine que seule une salive spéciale, appliquée pendant quatre heures, pouvait guérir ce type de démangeaison, et Nathan précisa que seule la salive de Sid pouvait servir d'antidote à la démangeaison.
Le roi, désireux d'aider sa reine, convoqua rapidement Sid dans leurs appartements. Nathan glissa alors à Sid l'antidote pour la poudre qui démangeait, qu'il mit dans sa bouche, et pendant les quatre heures suivantes, Sid travailla passionnément sur les gros et magnifiques seins de la reine. Les démangeaisons de la Reine ont finalement été soulagées, et Sid est parti satisfait et salué comme un héros.
De retour dans sa chambre, Sid trouva Nathan qui réclamait son paiement de 1000 pièces d'or. Sid, dont l'obsession était maintenant satisfaite, ne se souciait guère de savoir que Nathan ne pourrait jamais rapporter cette affaire au roi et lui dit en riant d'aller se faire voir.
Le lendemain, Nathan glissa une dose massive de la même poudre à démanger dans les sous-vêtements du roi. Le Roi a immédiatement convoqué Sid...
Oui, on parle d'un sujet sérieux et quatre boulets flattent leurs egos respectifs en faisant une blague qu'ils pensent drôle et qui n'amuserait pas un collégien...