[ Dernière édition du message le 15/02/2016 à 13:53:42 ]
Pictocube
36871
Ma vie est un thread...
Membre depuis 17 ans
29065Posté le 15/02/2016 à 14:49:26
+10 doris sur la comparaison Die Antwoord / Little Big
2 groupes différents mais qui sont dans le même type de démarche.
Le clip de little big sur la chanson je ne sais pas quoi money et tout autant léché qu'un clip de DA, plus même parce que je suis à peu près sûr qu'il y a moins de prod derrière...
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
4258
29066Posté le 15/02/2016 à 14:56:04
C'est carrément pas les mêmes moyens. J'ai vu Die Antwoord et Little Big à quelques mois d'écart, les premiers sur la seconde grosse scène de Rock en Seine (et en soirée, pas à l'ouverture des portes pour faire bouche trou), les seconds dans une salle de 400 personnes en province gérée par une asso. Les deux groupes ne jouent clairement pas dans la même cour niveau audience.
J'ai passé la seconde vidéo en spoiler avec avertissement.
Des vidéos à montrer aux gens qui râlent contre les normes chiantes en France. A ma connaissance, à part l'accident du Parc de Penfeld à Brest il y a quelques années où il y a eu des morts par étouffement / piétinés parce que les organisateurs avaient laissé entrer bien trop de monde par rapport à la jauge, on n'a jamais ce genre d'accidents massifs en France.
Dans la nuit du 31 octobre 1970 au 1er novembre, vers 1 h 40 du matin, alors qu'environ 180 personnes sont présentes dans l'établissement, le sinistre s'est déclaré. Il s'est rapidement propagé aux décors de la boîte de nuit et au mobilier, faits de papier mâché et de polystyrène expansé. Les sorties de secours sont verrouillées pour éviter les resquilleurs, ce qui pousse les jeunes à tenter vainement de sortir par les tourniquets d'entrée car ils ne tournent que dans un sens (celui pour entrer)1. Lorsqu'une trentaine de personnes réussit à s'échapper en forçant une issue de secours, l'appel d'air créé entraine une boule de feu qui traverse toute la discothèque4. Les lieux sont dépourvus de téléphone, un des directeurs de l'établissement, Gilbert Bas, se rend en voiture à Saint-Laurent-du-Pont pour donner l'alerte. À son retour sur les lieux avec les secours, il est trop tard, le feu a déjà englouti le bâtiment.