Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:

Un couple a des problèmes de sexe, lorsqu'il font l'amour, la femme ne jouit pas du tout.

Ils décident d'engager un célèbre marabout africains qui se vante de toujours résoudre ce type de soucis.

Un soir donc, le marabout se pointe à l'appartement du couple, sort ses accessoires, dont un grande feuille de palme.

- Bon, alo' ce que je pwopose, c'est que mainteunant, vous fassiez ngolo ngolo ici devant moi, pouw que je compwenne ce qui se passe et que je puisse vous conseiller...

Le couple s'exécute un peu gêné mais bien décidé à résoudre ce problème. Là, le marabout, appelons le Mamadou, se met à les ventiler avec sa feuille de palme. Mais rien à faire, la femme ne jouit pas. Alors le marabout propose à l'homme d'échanger les rôles pour voir par lui même si il n'y a pas un problème physique chez la femme. Chose faite, le marabout commence le travail tandis que l'homme agite, un peu nerveusement, la feuille de palme. Là, ni une ni deux, en quelques seconde la femme commence à gémir pour finalement atteindre un puissant orgasme !

- Tu vois mamadou, c'est plutôt comme ça qu'il faut ventiler je pense...

*pourquoi  cette expression : " la peau des couilles"?*
 
 
*Voilà  l'histoire réelle d'une expression connue de tous, mais très   souvent mal orthographiée .
 
Par un beau jour d'automne 1820, le  duc de Mirnouf, passionné par la   chasse mais frustré par le  maigre gibier qu'il ramenait de ses   pérégrinations   forestières, imagina qu'il devait être possible de fabriquer  un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.*
 
Il  convoqua tous les artisans de la contrée pour mettre au  concours la concrétisation de cette idée et leur laissa deux  mois pour fabriquer   le plus inventif et le plus efficace des appareils.
 
A peine une semaine plus tard, un marchand du nom  de Marcel Écouylle,   se présenta au château clamant à qui  voulait l'entendre qu'il possédait ce   dont le duc rêvait. Il  obtint sans peine une audience auprès du noble   seigneur   et  s'empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.*
 
Devant  une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un   minuscule sifflet (un appeau) et le porta à la bouche pour  produire un son   strident qui aussitôt imposa le silence parmi  les personnes présentes.
 
A  peine quelques secondes plus tard, des dizaines d'oiseaux de  toutes   sortes   s'étaient approchés et virevoltaient autour de lui, comme attirés et charmés   par cette étrange  mélodie.
 
Le  duc imagina sans peine le profit qu'il pouvait tirer d'un te l  accessoire   lors des ses futures chasses.
Il  s'éclaircit la gorge et ne prononça qu'une seule phrase  :
- Combien cela va-t-il me  coûter?
 
Marcel  Écouille, sûr de lui, répondit qu'il accepterait de se séparer   de son objet en échange de la moitié de la fortune de son  interlocuteur.
 
Cette  requête fit sourire l'assemblée mais le duc garda tout son  sérieux   et accepta la transaction.
 
La  nouvelle fit grand bruit et se répandit vite bien au delà des  limites   du duché.
 
Un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc qui en   paya le coût sans broncher.
 
Ainsi,  cette anecdote a subsisté dans la langue française pour  qualifier   les objets
hors de prix :* *«  Ca coûte l'appeau d'Écouylle ». ET NON  PAS   "LA  PEAU DES COUILLES.* 

Beats --> génial :o

JxB

C'est une blonde qui se fait arrêter en voiture, par une policière blonde, elle aussi.
- Permis de conduire, svp.
- C'est quoi ca ?
- C'est une carte avec une photo de vous dessus, 'savez..
La première blonde cherche, cherche, et finit par trouver un miroir. Elle regarde cette "carte" et la tend à la policière.
- Ah excusez moi Madame, j'avais pas vu que vous étiez aussi dans la police.