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Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:

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Sujet de la discussion Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)

Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde



d'ailleurs ... une bien pourrite

quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????




















beh si tu suces le spaghetti il bouge lui :mrg:

allez à vous

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Merci.

Ceci dit, ton histoire m'inquiète. Parce que si je m'en réfère à sa conclusion, si je fais un môme, il risque fort de ressembler à un boulet. :surpris:
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[ Dernière édition du message le 27/07/2011 à 17:01:31 ]

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Citation :
Qu'est-ce qui a 4 pattes et un bras?













Un pitbull dans une cour de récréation

ça m'en rappelle une autre: qu'est-ce qui fait 3 mètres de haut, a quatre bras, 8 jambes, une dizaine d'yeux et des dents pointues à n'en plus finir qui sortent d'une bouche gigantesque et baveuse?











...tu lui trouveras un nom plus tard, cours je te dis, COOOOOOOURS! :surpris:

Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.

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Une histoire (à peine longuette...) qui se passe en URSS à l'époque stalinienne. L'institutrice d'un petit village attend anxieusement le passage d'un inspecteur, bien évidemment plus intéressé par l'évaluation de sa transmission à ses élèves de la doctrine du Parti que par ses qualités pédagogiques. Branle-bas de combat donc, et la malheureuse instit' brieffe les gamins sur ce qu'ils doivent dire et ne pas dire pour que tout se passe pour le mieux (surtout pour elle :-D ).

- Bien, Alexei, si le camarade inspecteur te demandes comment se nomment tes parents, que lui répondras-tu?
- Je lui dirai "camarade inspecteur, mes parents se nomment Andrei Dimitrievritch Popov et Olga Popova, et ils appartiennent tous les deux au Parti!"
- Bien Alexei! Et toi Uliana, si le camarade inspecteur te parle de tes parents?
- Je lui dirai "camarade inspecteur, mon père, Alexandre Petrovitch Ranovski, a donné sa vie en défendant notre glorieuse patrie contre les ennemis du peuple, et ma mère, Natalya Ranovska, est fière d'être membre du Parti!"
- Bien Uliana, ça devrait beaucoup émouvoir le camarade inspecteur... Et toi Totovitch (oui, vous pensiez quand même pas qu'il allait ne pas être de la partie celui-là :-D ), que diras-tu au camarade inspecteur s'il te parle de tes parents?
- Je lui dirai "camarade inspecteur, mon père, Maksim Petronovitch Kominski, a été fusillé par le KGB pour avoir critiqué le dernier plan quinquennal du camarade Staline, et ma mère, Oksana Kominska, a été déportée en Sibérie d'où elle n'a pas le droit de m'écrire, alors depuis je vis chez mon oncle qui les a dénoncés pour obtenir la présidence du kolkhoze et qui, lui, est membre du Parti..."
- :8O: Oulah, fait la maîtresse, non Totovitch, tu ne peux pas dire ça au camarade inspecteur...
- Mais, pourtant...
- Oui, je sais mais tu ne peux pas lui dire ça quand même... Tiens, j'ai une idée, s'il te parle de ta famille tu n'auras qu'à lui répondre: "Camarade inspecteur, mon père c'est le camarade Staline et ma mère c'est notre patrie, l'URSS". D'accord Totovitch? Tu as bien retenu, c'est très important...
- Oui, camarade institutrice: "mon père c'est le camarade Staline et ma mère c'est notre patrie, l'URSS", récite le gamin.

La camarade institutrice est soulagée, bref, quelques heures s'écoulent et voilà qu'arrive l'inspecteur tant redouté qui interroge les gamins un par un. Arrive le tour du petit Totovitch:
- Dis moi jeune camarade, quel est ton nom?
- Je m'appelle Totovitch, camarade inspecteur
- Ah, Totovitch... Eh bien dis-moi, jeune camarade Totovitch, parle-moi de tes parents...
- Mon père, camarade inspecteur, c'est le camarade Staline, et ma mère, c'est notre mère patrie, l'URSS!
L'institutrice pousse un "ouf" de soulagement, l'inspecteur, enthousiasmé par la réponse du petit, lui dit alors:
- C'est très bien, jeune camarade Totovitch... Et, dis-moi, que voudrais-tu faire plus tard?
Et là, le gamin répond aussitôt:
- Orphelin, camarade inspecteur! :diable:

Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.

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Ah les histoires soviétiques...:aime2:

Ivan rentre dans un magasin et demande : "Y a pas de pain?"

Un client dans la file d'attente :
"tu t'es trompé camarade, ici c'est "y a pas de viande", "y a pas de pain c'est le magasin d'à côté"
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A l'époque de l'ancienne URSS, une file d'attente à Moscou, devant un magasin d'alimentation qui tarde à ouvrir. Au bout de deux heures, deux agents du KGB arrivent et s'adressent à la foule:

-"On nous annonce qu'il n'y aura pas assez de nourriture pour tout le monde, que tous les Juifs ici présents rentrent chez eux car ils ne seront pas servis..."

Les Juifs sortent de la file d'attente la tête basse, en grommelant.

Deux heures plus tard, le magasin n'est toujours pas ouvert, les deux agents du KGB reviennent:

-"La livraison attendue sera moins importante que prévu, que tous ceux qui n'ont pas leur carte du parti rentrent chez eux..."

Deux heures se passent encore, les deux agents reviennent encore et, s'adressant aux membres du parti qui attendent depuis plus de 6 heures :

-"Nous avons eu la confirmation qu'il n'y aurait aucune livraison de nourriture aujourd'hui, vous pouvez donc tous rentrer chez vous !"

-"Ouais, répondent les types, mais enfin c'est dégueulasse, c'est toujours ces salauds de Juifs qui sont prévenus les premiers !..."



[ Dernière édition du message le 28/07/2011 à 02:29:47 ]

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Trop intelligent tout ça!

C'est deux bites qui vont au cinéma:
L'une dit a l'autre -J'espère que ce n'est pas ENCORE un film porno!
Et l'autre de répondre -Moi aussi, j'en ai marre de passer mes soirées debout!
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Le Titanic est en train de couler, sur le pont l'orchestre vient d'entamer une ultime version de "Plus près de toi mon Dieu" et non loin de là un politicien, un avocat et un curé discutent de ce qu'il faut faire.

Le politicien : "Il faut sauver les enfants en priorité, ils sont l'avenir de notre patrie, bla bla bla..."

L'avocat : " Les enfants, on s'en fout, on les encule !..."

Le curé : "On a le temps ?"

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