Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
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Anonyme
Ce coup ci parlez nous des petits trucs devant lesquels vous scotchez.
Moi c'est :
-Les aiguillages de trains (surtout quand y'en a plein)
-Les usines d'embouteillage à la chaine
-Un DJ qui scratche (pas comme moi au couteau !)
-Un beau circuit de train électrique bien décorré
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
Anonyme
J-Luc
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Pictocube
En passant, c'est quoi l'orthographe de dégueuli ?
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
sickfuzz
Will Zégal
sickfuzz
Anonyme

This craggy fantasy mountaintop enshrouded by wispy clouds looks like a bizarre landscape from Tolkien's "The Lord of the Rings" or a Dr. Seuss book, depending on your imagination. The NASA Hubble Space Telescope image, which is even more dramatic than fiction, captures the chaotic activity atop a three-light-year-tall pillar of gas and dust that is being eaten away by the brilliant light from nearby bright stars. The pillar is also being assaulted from within, as infant stars buried inside it fire off jets of gas that can be seen streaming from towering peaks.
This turbulent cosmic pinnacle lies within a tempestuous stellar nursery called the Carina Nebula, located 7,500 light-years away in the southern constellation Carina. The image celebrates the 20th anniversary of Hubble's launch and deployment into an orbit around Earth.
Scorching radiation and fast winds (streams of charged particles) from super-hot newborn stars in the nebula are shaping and compressing the pillar, causing new stars to form within it. Streamers of hot ionized gas can be seen flowing off the ridges of the structure, and wispy veils of gas and dust, illuminated by starlight, float around its towering peaks. The denser parts of the pillar are resisting being eroded by radiation much like a towering butte in Utah's Monument Valley withstands erosion by water and wind.
Nestled inside this dense mountain are fledgling stars. Long streamers of gas can be seen shooting in opposite directions off the pedestal at the top of the image. Another pair of jets is visible at another peak near the center of the image. These jets (known as HH 901 and HH 902, respectively) are the signpost for new star birth. The jets are launched by swirling disks around the young stars, which allow material to slowly accrete onto the stars' surfaces.
Hubble's Wide Field Camera 3 observed the pillar on Feb. 1-2, 2010. The colors in this composite image correspond to the glow of oxygen (blue), hydrogen and nitrogen (green), and sulfur (red).
Polaroil
Bluffant
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
Vietnam Dépoli
Vous croyez que la dame chante "et on fait tourner les serviettes" à la fin spectacle?
Head Minerve
Sinon, à partir du moment où il tape sous la table pour faire passer une pièce (ou en faire disparaitre une et sortir celle qu'il a cachée dans sa main), on sait que la table est truquée. D'ailleurs y'a des gens derrière, qui auraient la possibilité de voir si le magicien faisait juste du close-up standard (enfin "standard" c'est rendu à quel niveau aujour'hui ??), mais là je crois simplement qu'il joue juste avec sa table magique tout du long !
J'adore quoiqu'il en soit.
tihouss
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
Anonyme
Vous croyez que la dame chante "et on fait tourner les serviettes" à la fin spectacle?
en tous cas, elle a un cul
(note: c'est peut-être à cause de ça que je comprends pas bien son tour, au magicien)
Anonyme
Anonyme
De toutes façons, moi, ce genre de trucs je suis hyper bon client, je suis bluffé comme un petit gamin.
Anonyme
Algérie, le lynchage des femmes de Hassi Messaoud se poursuit,
par Nadia Kaci LEMONDE.FR | 22.04.10 | 19h59 •
Mis à jour le 23.04.10 | 11h50
Des faits extrêmement graves ont eu lieu ces deux derniers mois dans la ville de Hassi Messaoud, base pétrolière du sud algérien où une chasse aux femmes s'est organisée. Ces dernières, venues des quatre coins du pays, travaillant dans des multinationales afin de subvenir aux besoins de leurs familles, se sont fait agresser régulièrement la nuit. Leurs maisons ont été saccagées et pillées par des hommes armés de gourdins, de haches, de couteaux, qui agissaient cagoulés, ou même à visage découvert. La plupart du temps, les femmes avaient beau hurler, aucun voisin ne leur venait en aide. Lorsqu'elles se rendaient au commissariat, elles devaient supplier des policiers méprisants pour que leurs plaintes soient enregistrées. Dans la nuit du dimanche 11 avril 2010, les agressions ont redoublé. Aucun auteur de ces crimes n'a été poursuivi en justice. Aujourd'hui, si un certain calme est revenu, les femmes subissent des pressions et intimidations en tout genre.
Ces crimes ne sont que la continuité de la tragédie du 13 juillet 2001, dont il est important de rappeler les faits : plus d'une centaine de femmes furent violées et torturées à l'appel d'un imam, par quatre cents à cinq cents hommes – l'une d'elles fut enterrée vivante ! Sur cette foule ayant commis ce pogrom, seuls vingt-neuf hommes ont été accusés. Parmi eux, seuls trois hommes ont réellement purgé leur peine. Les autres ont été condamnés par contumace, ou encore innocentés ! L'imam, lui, a été arrêté quelques heures et relâché sur injonction d'Alger !
Le Code de la famille voté en 1984 à l'Assemblée nationale algérienne est pour moi l'un des facteurs qui a rendu possible le lynchage des femmes de Hassi Messaoud. Il régit le statut personnel de la femme au sein du couple, faisant d'elle une mineure à vie, passant de la tutelle du père à celle du mari, devant obéissance à ce dernier, et pouvant être répudiée à n'importe quel moment, le mari ayant le droit de garder le logement conjugal pendant que la femme se retrouve dehors avec ses enfants. Et même si ce code a connu de légers amendements, en 2005, il reste profondément inégalitaire et criminel. En fragilisant les femmes et leurs enfants, c'est une société tout entière qu'il a fragilisée. De plus, en mettant les femmes à la disposition et sous le contrôle des hommes, ce code envoie un message fort à toute la société et aux hommes en particulier : "Si vous avez des problèmes, de mal-être, ne nous cassez pas la tête avec vos revendications, défoulez-vous sur les femmes !" Comme dit le proverbe algérien : "Tekber ou tansa wou ttaffrha fi'n'sa", "Tu grandiras, tu oublieras et tu le feras payer aux femmes."
Le deuxième facteur important est le travail de grande envergure des intégristes qui, pendant des années, ont imprégné tout le tissu social de leurs discours profondément haineux et misogynes, en désignant les femmes comme la cause de tous les maux de la société. Ils ont détourné les textes religieux de façon à renforcer la suprématie des hommes. Pendant les années de terrorisme triomphant, à la menace des femmes qui ne se soumettaient pas, s'est ajouté l'enlèvement de plusieurs milliers d'entre elles dans les maquis par les groupes armés intégristes. Elles y furent violées, torturées, soumises à l'esclavage. Beaucoup d'entre elles ont été assassinées ou ont disparu dans la nature. Leurs bourreaux ont très peu été inquiétés, voire pas du tout. Aujourd'hui, on les appelle des repentis sans qu'ils se soient repentis de rien et ils se meuvent dans les villes en toute impunité.
Partout en Algérie, des femmes humiliées n'arrivent pas à faire valoir leurs droits à la sécurité pourtant inscrits dans la Constitution.
Voilà comment ces dernières années les violences à l'encontre des femmes a augmenté de façon alarmante.
Si ces dernières nuits les femmes de Hassi Messaoud ont pu dormir tranquillement, je sais à quel point leur répit est fragile et temporaire : ceux qui leur en veulent d'avoir crié à l'aide savent attendre…
Aussi, j'en appelle au gouvernement algérien pour faire respecter la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes, qu'il a ratifiée en 1996.
J'en appelle à la cinquantaine de multinationales qui emploient ces femmes pour les protéger au lieu de les fragiliser en les menaçant de licenciement, comme certaines l'ont été pour cause d'absence provoquée par leurs agressions.
Et si, aujourd'hui, plusieurs associations algériennes se sont mobilisées, j'appelle le peuple algérien à exprimer son désaccord sur ce qui entache son intégrité.
Hassi Messaoud n'est pas une affaire de femmes, c'est une affaire d'État. C'est aussi une affaire de droits humains. En somme, c'est notre affaire à tous !
Nadia Kaci est comédienne, coauteure de Laissées pour mortes. Le lynchage des femmes de Hassi Messaoud, Max Milo éditions.
Truc de fou
Anonyme
Anonyme
Pfff, ça ne m'étonne même plus de lire des trucs pareil
Anonyme
J'ai pas de télé, mais est-ce que le sujet a été abordé dans les journaux?
Pas d'ouverture du journal?
Pas de grandes unes dans les journaux papier?
Vraiment çà me fascine qu'au pays des droits de l'homme on entende si peu parler de cette affaire.
Kalawax
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