Vaporwaves est un plug-in VST 2/3 et AU pour Mac et Windows qui vous permet de manipuler 75 sons multi-échantillonnés inspirés de la pop des années 80. Vous y trouverez des nappes, des pianos, des Rhodes, des percussions FM, des slaps de basse, du saxophone et l’incontournable piano DX.
L’interface graphique vous permet de dégrader le son et de le manipuler comme bon vous semble en utilisant les LFO, les filtres passe-haut et passe-bas, un sub-oscillateur, une réverbe et des effets Tape, VHS et Rain.
Vaporwaves est vendu $30 sur www.samplescience.ca.
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Amok_Squatteur·euse d’AFPosté le 07/09/2019 à 01:11:0275 samples cela ne fait pas énorme du tout
sur le site, rien n'est dit s'il est possible d'importer d'autres samples
Il y a déjà du très bon en rompleur, tal sampleur et direct waves de fl, sans parler de quanta qui passe les samples à la sauce granulaire
même pour 30€, je n'y vois pas d'intéret...
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DarkmoonSquatteur·euse d’AFPosté le 08/09/2019 à 14:44:20Citation de Amok_ :
75 samples cela ne fait pas énorme du tout
sur le site, rien n'est dit s'il est possible d'importer d'autres samples
Il y a déjà du très bon en rompleur, tal sampleur et direct waves de fl, sans parler de quanta qui passe les samples à la sauce granulaire
même pour 30€, je n'y vois pas d'intéret...
C'est parce tes références que tu mentionnes, comme TAL-Sampler et DirectWave, ne sont pas des ROMplers, mais bel et bien des samplers!
Hors sujet :Il y a une nuance! En principe, avec un ROMpler, tu ne peux pas importer tes propres samples et créer ton propre instrument. Un ROMpler est, en quelque sorte, un « sampler bridé » exprès avec lequel un éditeur propose uniquement la lecture de ses instruments (et/ou de collaborateurs tiers) sans la possibilité de les trafiquer en profondeur au niveau des samples ni d'en importer de nouveaux pour l'utilisateur final.
Un exemple typique de ROMpler est reFX NEXUS 2. Impossible d'importer ses propres samples et de se créer ses propres instruments avec Nexus.
Kontakt, lui, par exemple, est un sampler. Bon, on ne chipotera pas sur le fait qu'il ne peut pas échantillonner puisqu'avec le temps, tous les softs qui ne peuvent échantillonner, mais qui — pour l'utilisateur final — lui permet d'importer, de lire, organiser, gérer et triturer des samples en vue de fabriquer des instruments multi-échantillonnés ont hérité du terme « sampler » (de l'époque des samplers hardware qui pouvaient, eux, échantillonner) même s'ils n'échantillonnent pas eux-mêmes et qu'il faut importer les samples.
Mais ça ne change rien au fait qu'un « sampler~lecteur de samples » avec lequel l'on peut soi-même importer ses propres samples pour se créer son propre instrument ne porte pas le nom de ROMpler.
Ce qui porte à confusion et pourquoi certains confondent, c'est que certains « samplers~lecteurs de samples », comme Kontakt, pour ne mentionner que le plus connu, servent également — en plus — à utiliser des instruments commerciaux à base de samples. En ce sens, n'importe quel « sampler~lecteur de samples » est forcement capable de faire jouer des instruments à base de samples déjà conçus et partagés en gratuit et/ou vendu, mais dès que le « sampler~lecteur de samples » permet d'importer et de triturer ses propres échantillons, en plus, il ne peut plus porter le nom de ROMpler puisqu'un ROMpler est un « sampler~lecteur de samples » qu'un éditeur fait exprès de brider les fonctions de gestions/importations de samples afin que ce dernier ne puise servir qu’à lire/jouer des instruments déjà conçus.
Et, en effet, le Vaporwaves n'est qu'un ROMpler complètement fermé et bridé qui ne sert qu'à faire jouer « l'instrument » à base de samples conçu par SampleScience.
Et la raison pourquoi l'on nomme les samplers qui ne peuvent « enregistrer et/ou importer » d'échantillons des « ROMpler », c'est parce qu'à l'origine, à l'époque, dans les claviers/synthés/workstations/expandeurs hardware, les sons déjà inclus étaient stockés en mémoire ROM (pour « Read Only Memory » qui veut dire « Lecture uniquement ») qui ne pouvait pas accueillir de samples utilisateurs. Voilà pourquoi le terme s'est perpétué et qu'on continue d'attribuer le qualificatif de « ROMpler » aux lecteurs d'échantillons software qui ne permettent pas à l'utilisateur d'importer ses propres samples (même si, de nos jours, ça n'a plus rien à voir avec le type de mémoire puisque sur PC, c'est la RAM et le disque dur qui sont exploités par tous les logiciels). Donc à l'époque, c'est le type de mémoire (« ROM » ou « volatile ») qui permettait à certains engins hardware d'importer ou non des samples et, de nos jours, c'est uniquement la volonté de l'éditeur qui bride ou non la fonction d'importation et certaines fonctions d'édition selon s’il désire ou non que l'utilisateur final puisse utiliser ou non ses propres samples dans son logiciel de lecture de samples.