Sujet <<Mes Coups de coeur FILM et sa musique>>
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Dépucelage à la tige, châtiments à base de visage enduit de miel offert à la voracité des insectes, exposition permanente des têtes des géniteurs, embuscade des Tamuli – nos fameux cannibales aux dents élimées –, inévitables scènes de la chaîne alimentaire animale, deviendront son lot quotidien. Maître et esclave finiront par s'éprendre l’un de l’autre non sans quelques difficultés d’acclimatation pour cette dernière. La frontière entre civilisation et barbarie n’aura de cesse de se brouiller, d’autant qu’entre une chasse à l’homme menée en hélicoptère, la révélation de l’identité des véritables assassins des parents et la quête vengeresse qui en découlera, les actes de sauvagerie jalonnant la deuxième partie du métrage seront tous perpétrés par des Blancs.
Mario Gariazzo se fait fort de nous conter une histoire vraie, comme aime à nous le rappeler une voix-off masculine assez Mondo dans le ton – Prosperi est à la plume –, les scènes du procès de la blonde revancharde et un plan prétendument « dérobé » de l’authentique Catherine Miles en prison. Pour autant, son souci de réalisme ne va pas jusqu’à s’engager dans une réalisation faussement documentaire, parti pris de Deodato dans la deuxième moitié de son classique. Pas de film dans le film ici, nous avons affaire à un film de jungle dans la norme (du genre, s’entend). De même, son exploitation de la violence gore déçoit quelque peu par son traitement conventionnel : suffisamment explicite pour être efficace, elle est en contrepartie rendue elliptique par un montage serré. Nous sommes loin de Deodato, qui dans Cannibal Holocaust et Amazonia : La Jungle Blonde... non, Blanche – ça y est, je m’y perds – s’attachait à restituer à les sévices dans leur intégralité et leur crudité.
La roublardise mercantile et la violence de cette oeuvrette ne constituent heureusement pas son intérêt premier qui serait plutôt à chercher du coté d’un parcours initiatique énoncé avec une désarmante naïveté. L’itinéraire de Catherine est celui de la dissolution des repères, de la perte de l’innocence, de la découverte de l'altérité et de l’amour. Le tout transposé dans un environnement extrême, et souligné au crayon gras. « (...) les lieux merveilleux de [son] enfance, (...) l’immense paradis vert où [elle] pouvait courir librement et [s]'amusait comme [elle] l’entendait », ce parc tropical pour enfant gâtée, se révè- lent être l’endroit où les faux-semblants se dévoilent et les êtres se révèlent à eux-mêmes. Les masques tombent (trahison des siens), les valeurs sont remises en question (Catherine intègre la tribu, réfléchit sur ses rites, ira jusqu’à reprendre ses codes pour infliger son châtiment), les barrières morales vacillent à travers la révélation de la sauvagerie inhérente à chacun (vengeance !). L’ Autre surgit dans toute sa barbarie (trophées humains, supplices divers régis par la coutume) avant que ne soit acceptée son humanité via sa souffrance (Catherine soignant la blessure d’un homme de la tribu) ou sa capacité à aimer (le suicide romantique d’ Umukai déchiré entre tradition et sentiments).
Il se serait aisé de se gausser de la façon grossière dont cette morale nous est exposée, de crier à la bonne conscience d’un cinéma d’exploitation tentant de se racheter une conduite tout en livrant avec complaisance ce qu’on attend de lui. Ce serait mépriser l’essence du genre, son ambiguïté fondamentale et redoutablement attractive, entre impératifs nauséeux et velléités de réflexion, entre humanisme naïf et violence exacerbée.
Aux jours les plus sombres de la 2eme guerre mondiale , le haut commandement nazi avait chargé des scientifiques de créer un commando de morts-vivants indestructibles , dépourvus de tous sentiments, ils devaient assurer la victoire du 3eme reich. Aucuns des membres de cette division SS très speciale n'a jamais été retrouvés. 30 ans plus tard , des naufragés échouent sur une ile au large de la Floride. A l'endroit même où les zombies SS ont trouvé refuge a la fin de la guerre ...
Critique du DVD: Le negatif original ayant mysterieusement disparu , LCDMV fut longtemps considéré comme perdu. Grâce à un important travail de restauration issu d'une copie de travail du réalisateur, ce film d'horreur, à excellente réputation, bénéficie d'une seconde vie. Une grande nouvelle pour tous les amateurs du genre.
Dans cette suite, la créature retourne pour combattre un mystérieux scientifique qui entreprend des expériences mortelles sur des humains et des animaux.
Les Maitres de l'Univers...voila, mon film culte, mon film de chevet..une musique grandiose, rien à voir avec du robert redford- machin chose..de la Bo qui tue
1987, Acteur: Dolph Lundgren, Courteney Cox, Frank Langella
Réalisateur: Gary Goddard
Comment Musclor, grace a une cle magique qui ouvre des passages dans le temps et malgre les poursuites acharnees du tres mechant Skeletor, devient maitre de l`Univers.
1993, Acteurs: Julian Sands, Chris Young, Paula Marshall
Réalisateur: Anthony Hickox
En tant que fils de Satan, Warlock doit libérer son père de ses chaînes enflammées.
Il n’a que sept jours pour rassembler six pierres magiques perdues depuis des siècles. Seuls deux amoureux lui barrent la route, Kenny et Samantha découvrent leur destin : ils sont les guerriers druide contre l’Armageddon.
Zu, Les guerriers de la montagne magique
tchoyy
4823
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
Bon revenons en au sujet initial, apparemment quelqu'un a effectivement trop fumer ici et se prend pour un pur compositeur, ah mon avis, y'a de la jalousie dessous... mais là n'est pas l'idée de ce topic :
Un film que j'ai beaucoup aimé, c'est Minority report :
Une tuerie ce film, avec des rebondissements qui ne sont pas prévisibles, et ça c'est dur à faire et c'est très fort.
J'ai super adoré !
Edit : J'ai oublié de préciser que la zique est de John Williams
Un film que j'ai beaucoup aimé, c'est Minority report :
Une tuerie ce film, avec des rebondissements qui ne sont pas prévisibles, et ça c'est dur à faire et c'est très fort.
J'ai super adoré !
Edit : J'ai oublié de préciser que la zique est de John Williams
Anonyme
521410
Dépucelage à la tige, châtiments à base de visage enduit de miel offert à la voracité des insectes, exposition permanente des têtes des géniteurs, embuscade des Tamuli – nos fameux cannibales aux dents élimées –, inévitables scènes de la chaîne alimentaire animale, deviendront son lot quotidien. Maître et esclave finiront par s'éprendre l’un de l’autre non sans quelques difficultés d’acclimatation pour cette dernière. La frontière entre civilisation et barbarie n’aura de cesse de se brouiller, d’autant qu’entre une chasse à l’homme menée en hélicoptère, la révélation de l’identité des véritables assassins des parents et la quête vengeresse qui en découlera, les actes de sauvagerie jalonnant la deuxième partie du métrage seront tous perpétrés par des Blancs.
Mario Gariazzo se fait fort de nous conter une histoire vraie, comme aime à nous le rappeler une voix-off masculine assez Mondo dans le ton – Prosperi est à la plume –, les scènes du procès de la blonde revancharde et un plan prétendument « dérobé » de l’authentique Catherine Miles en prison. Pour autant, son souci de réalisme ne va pas jusqu’à s’engager dans une réalisation faussement documentaire, parti pris de Deodato dans la deuxième moitié de son classique. Pas de film dans le film ici, nous avons affaire à un film de jungle dans la norme (du genre, s’entend). De même, son exploitation de la violence gore déçoit quelque peu par son traitement conventionnel : suffisamment explicite pour être efficace, elle est en contrepartie rendue elliptique par un montage serré. Nous sommes loin de Deodato, qui dans Cannibal Holocaust et Amazonia : La Jungle Blonde... non, Blanche – ça y est, je m’y perds – s’attachait à restituer à les sévices dans leur intégralité et leur crudité.
La roublardise mercantile et la violence de cette oeuvrette ne constituent heureusement pas son intérêt premier qui serait plutôt à chercher du coté d’un parcours initiatique énoncé avec une désarmante naïveté. L’itinéraire de Catherine est celui de la dissolution des repères, de la perte de l’innocence, de la découverte de l'altérité et de l’amour. Le tout transposé dans un environnement extrême, et souligné au crayon gras. « (...) les lieux merveilleux de [son] enfance, (...) l’immense paradis vert où [elle] pouvait courir librement et [s]'amusait comme [elle] l’entendait », ce parc tropical pour enfant gâtée, se révè- lent être l’endroit où les faux-semblants se dévoilent et les êtres se révèlent à eux-mêmes. Les masques tombent (trahison des siens), les valeurs sont remises en question (Catherine intègre la tribu, réfléchit sur ses rites, ira jusqu’à reprendre ses codes pour infliger son châtiment), les barrières morales vacillent à travers la révélation de la sauvagerie inhérente à chacun (vengeance !). L’ Autre surgit dans toute sa barbarie (trophées humains, supplices divers régis par la coutume) avant que ne soit acceptée son humanité via sa souffrance (Catherine soignant la blessure d’un homme de la tribu) ou sa capacité à aimer (le suicide romantique d’ Umukai déchiré entre tradition et sentiments).
Il se serait aisé de se gausser de la façon grossière dont cette morale nous est exposée, de crier à la bonne conscience d’un cinéma d’exploitation tentant de se racheter une conduite tout en livrant avec complaisance ce qu’on attend de lui. Ce serait mépriser l’essence du genre, son ambiguïté fondamentale et redoutablement attractive, entre impératifs nauséeux et velléités de réflexion, entre humanisme naïf et violence exacerbée.
Aux jours les plus sombres de la 2eme guerre mondiale , le haut commandement nazi avait chargé des scientifiques de créer un commando de morts-vivants indestructibles , dépourvus de tous sentiments, ils devaient assurer la victoire du 3eme reich. Aucuns des membres de cette division SS très speciale n'a jamais été retrouvés. 30 ans plus tard , des naufragés échouent sur une ile au large de la Floride. A l'endroit même où les zombies SS ont trouvé refuge a la fin de la guerre ...
Critique du DVD: Le negatif original ayant mysterieusement disparu , LCDMV fut longtemps considéré comme perdu. Grâce à un important travail de restauration issu d'une copie de travail du réalisateur, ce film d'horreur, à excellente réputation, bénéficie d'une seconde vie. Une grande nouvelle pour tous les amateurs du genre.
Anonyme
521410
Anonyme
521410
UN de mes films de chevets aussi>
Un sens du détail impressionnant (Pareil pour INCASSABLE), mise en scène fouillée, ambiance lourde, un Haley Joel Osment qui crève l'écran alors qu'il est haut comme 3 pommes!Même Toni Collette est superbe (Déjà magnifique dans MURIEL).
Bref, un fin unique, même en le revisionnant, on remarque les détails sur la mort de B.Willis pendant le film, comme dit Michel, grand moment de cinéma
Un sens du détail impressionnant (Pareil pour INCASSABLE), mise en scène fouillée, ambiance lourde, un Haley Joel Osment qui crève l'écran alors qu'il est haut comme 3 pommes!Même Toni Collette est superbe (Déjà magnifique dans MURIEL).
Bref, un fin unique, même en le revisionnant, on remarque les détails sur la mort de B.Willis pendant le film, comme dit Michel, grand moment de cinéma
Anonyme
521410
Dans cette suite, la créature retourne pour combattre un mystérieux scientifique qui entreprend des expériences mortelles sur des humains et des animaux.
Les Maitres de l'Univers...voila, mon film culte, mon film de chevet..une musique grandiose, rien à voir avec du robert redford- machin chose..de la Bo qui tue
1987, Acteur: Dolph Lundgren, Courteney Cox, Frank Langella
Réalisateur: Gary Goddard
Comment Musclor, grace a une cle magique qui ouvre des passages dans le temps et malgre les poursuites acharnees du tres mechant Skeletor, devient maitre de l`Univers.
1993, Acteurs: Julian Sands, Chris Young, Paula Marshall
Réalisateur: Anthony Hickox
En tant que fils de Satan, Warlock doit libérer son père de ses chaînes enflammées.
Il n’a que sept jours pour rassembler six pierres magiques perdues depuis des siècles. Seuls deux amoureux lui barrent la route, Kenny et Samantha découvrent leur destin : ils sont les guerriers druide contre l’Armageddon.
Zu, Les guerriers de la montagne magique
Anonyme
521410
WOW, çà calme!Monsieur a du goût, je comprend pourquoi on ne se comprend pas 
Anonyme
521410
La maison de l'horreur
KRULL
Le fantome du Bengal
BOUAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA..........................
Voila de la zic qui me mets en transssssssssssssssssse
KRULL
Le fantome du Bengal
BOUAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA..........................
Voila de la zic qui me mets en transssssssssssssssssse
Redj
340
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 21 ans
Pour moi, ce sera ça :
ou ça :
ou ça :
Toute musique qui ne peint rien n'est que du bruit... (Jean le Rond d'Alembert)
Anonyme
521410
Here the film, which gives me the most vibrations, a true emotion. The music is the voice of the actor, each note of music or word infiltrates in you. The truth of the faith through the pictures on an invading music. Blow of heart.
Anonyme
521410
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