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« Une histoire d’amour qui laisse des traces. »
Publié le 17/09/25 à 14:45
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
On es à l’approche des années 2000, je fréquente des amis qui ont un pied dans le monde de la techno.
Écrire un avis sur AMIGA « musicale » s’inscrit dans un contexte.
A cette époque pas encore d’internet chez les gens et les PC sont hors de prix (16Mo d’EDO coute un reins en francs)
Je démarre avec un A500 et extension de ram et fastracker. Rapidement evolution sur A600 puis, le monstre A1200 et évidement OCTAMED.
Je monte un live hardcore avec 2 Amiga et pour le coté pratique je bricole avec l’aide d’un ami 2 écran de caméra monochrome carrés dont la taille depasse pas 13/15cm d’écran. Les deux alimentés par une alim PC ATX
Matériel encore fonctionnel aujourd’hui (je ferais une photo) mais c’est hors sujet.
-Avantage , les Amiga sortent en 2 prises RCA et sur les logiciels tracker on pouvait jouer 2 pistes a gauche en mono et 2 piste a droites ou un truc comme ça, bref en mono on avait 2 pistes séparées.
Mon live comportait 2 amigas soit 4 pistes console.
Je les utilisait comme 2 platines, pas de midi, les Trackers étaient au meme tempo et la touche shift permettait de faire un bon decallé et tomber synchro.
J’avais une super carte son avec un co-processeur dedans qui était presque comme un multi effet indépendant et ne prenant pas de resources. Je samplais a tour de bras.
Le son Amiga était tellement crunchy / je me rappel du premier label Hard core des SP23, « Stormcore » avec cet
‘artiste incroyable Christophe Fringeli
Bref l’AMIGA a façonné par détournement un gros pan de la culture techno tout comme la SP 404 l’a fait avec la scene HiHop Lofi.
Ce que ‘ai le moins aimé.
-De pas de normes entre les logiciels, ça partait dans tous les sens, de l’un a l’autre fallait tout réapprendre.
-Les Disquettes, mon dieux quelle horreur, a cette époque avoir un HD 2.5 de 60GB c’était un truc incroyable.
-L’hexadécimal / oh putain l’horreur ce truc (je ne nie pas l’utilité) mais appliquer des paramètres audio en exa dans un tracker est une experience dont on ne ressort pas indemne.
Mais voila, tout ça done une couleur et une experience qui façonne aussi une pop culture, la communauté Amiga est aussi incroyable et joue un role non négligeable dans cette tranche de vie.
Écrire un avis sur AMIGA « musicale » s’inscrit dans un contexte.
A cette époque pas encore d’internet chez les gens et les PC sont hors de prix (16Mo d’EDO coute un reins en francs)
Je démarre avec un A500 et extension de ram et fastracker. Rapidement evolution sur A600 puis, le monstre A1200 et évidement OCTAMED.
Je monte un live hardcore avec 2 Amiga et pour le coté pratique je bricole avec l’aide d’un ami 2 écran de caméra monochrome carrés dont la taille depasse pas 13/15cm d’écran. Les deux alimentés par une alim PC ATX
Matériel encore fonctionnel aujourd’hui (je ferais une photo) mais c’est hors sujet.
-Avantage , les Amiga sortent en 2 prises RCA et sur les logiciels tracker on pouvait jouer 2 pistes a gauche en mono et 2 piste a droites ou un truc comme ça, bref en mono on avait 2 pistes séparées.
Mon live comportait 2 amigas soit 4 pistes console.
Je les utilisait comme 2 platines, pas de midi, les Trackers étaient au meme tempo et la touche shift permettait de faire un bon decallé et tomber synchro.
J’avais une super carte son avec un co-processeur dedans qui était presque comme un multi effet indépendant et ne prenant pas de resources. Je samplais a tour de bras.
Le son Amiga était tellement crunchy / je me rappel du premier label Hard core des SP23, « Stormcore » avec cet
‘artiste incroyable Christophe Fringeli
Bref l’AMIGA a façonné par détournement un gros pan de la culture techno tout comme la SP 404 l’a fait avec la scene HiHop Lofi.
Ce que ‘ai le moins aimé.
-De pas de normes entre les logiciels, ça partait dans tous les sens, de l’un a l’autre fallait tout réapprendre.
-Les Disquettes, mon dieux quelle horreur, a cette époque avoir un HD 2.5 de 60GB c’était un truc incroyable.
-L’hexadécimal / oh putain l’horreur ce truc (je ne nie pas l’utilité) mais appliquer des paramètres audio en exa dans un tracker est une experience dont on ne ressort pas indemne.
Mais voila, tout ça done une couleur et une experience qui façonne aussi une pop culture, la communauté Amiga est aussi incroyable et joue un role non négligeable dans cette tranche de vie.