
Bill Finnegan, l’ingénieur électronicien qui a fondé la marque Klon et qui produit seul les Centaur, a intenté un procès à Music Tribe, la société qui détient la marque Behringer. En effet, le fabricant avait sorti sa Centaur Overdrive sans en informer Bill Finnegan. Ce dernier a donc entamé une action en justice qui a poussé Behringer a rebaptiser sa Centaur Overdrive qui s’appelle désormais Centara Overdrive.
Les caractéristiques techniques et le tarif de la pédale restent identiques, seul le nom change.
Source : Behringer.
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GrandcharlesPosteur·euse AFfiné·ePosté le 24/06/2025 à 10:22:57S'ils ne se sont pas pris d'amende, ils s'en sortent bien ! Et niveau marketing, sacré coup de pub ! Sacrée mise en lumière !
Charles -
KrapodModérateur·trice généralistePosté le 24/06/2025 à 10:48:08Et ouverture de la grande foire à la spéculation pour les premiers exemplaires vendus sous le nom Centaur ...
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Will ZégalWill ZégalPosté le 24/06/2025 à 10:54:56En tant que consommateur, j'apprécie l'accessibilité aux produits que fait Behringer. C'est vraiment, vraiment top quand ils font revivre des synthés et effets disparus.
Cela reste correct, au moins juridiquement, quand ils reproduisent des produits anciens qui ne peuvent plus être soumis à la propriété industrielle ou intellectuelle*.
Mais quand ils repompent des produits existants sur le marché, toujours fabriqués, en utilisant jusqu'au nom, c'est très bien qu'ils se prennent un revers de bâton. Cela s'appelle du parasitisme commercial.
* la protection industrielle et intellectuelle est limitée dans le temps pour éviter à la fois les monopoles et l'effet de rente et pousser ainsi les entreprises à continuer à innover. Ainsi, un créateur (qu'ils soit un simple quidam ou une entreprise) bénéficie de 20-25 ans pour rentabiliser son travail de création, mais ensuite, tout le monde peut en profiter. -
ShanteePosteur·euse AFfiné·ePosté le 24/06/2025 à 12:00:46Citation de Will Zégal :
En tant que consommateur, j'apprécie l'accessibilité aux produits que fait Behringer. C'est vraiment, vraiment top quand ils font revivre des synthés et effets disparus.
Cela reste correct, au moins juridiquement, quand ils reproduisent des produits anciens qui ne peuvent plus être soumis à la propriété industrielle ou intellectuelle*.
Mais quand ils repompent des produits existants sur le marché, toujours fabriqués, en utilisant jusqu'au nom, c'est très bien qu'ils se prennent un revers de bâton. Cela s'appelle du parasitisme commercial.
* la protection industrielle et intellectuelle est limitée dans le temps pour éviter à la fois les monopoles et l'effet de rente et pousser ainsi les entreprises à continuer à innover. Ainsi, un créateur (qu'ils soit un simple quidam ou une entreprise) bénéficie de 20-25 ans pour rentabiliser son travail de création, mais ensuite, tout le monde peut en profiter.
1ere sortie :1994 +25 = 2019
donc pas de "parasitisme" ici