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maitreyoda84
« La fin d’une quête ! »
Publié le 13/11/20 à 17:49
Rapport qualité/prix :
Correct
Cible :
Les utilisateurs avertis
Etant fan depuis toujours des reverbs à ressorts, omniprésentes dans la musique des sixties (Surf Music, Rockabilly, Shadows/Hank Marvin, Ennio Morricone, etc…), j’ai pendant longtemps chercher à m’approcher de ce son. En explorant tout d’abord les différentes émulations numériques de Spring Reverb proposées par les grands noms de pédales d’effet (EHX Holy Grail, Neunaber Immerse MKII, Source Audio True Spring), mais si certaines s’avèrent d’excellentes alternatives, aucune d’entre elles ne reproduit le charme, les défauts et les irrégularités d’un vrai ressort.
Et voila que quelques doux dingues suédois fans de Surf Music eurent l’idée géniale de proposer un clone de la légendaire reverb Fender 6G15 de 1961 en y remplaçant les lampes par des transistors ! Deux véritables ressorts Accutronics, le tout dans un format plus léger et plus facilement transportable que son ainée, la Surfybear était née ! Proposée en 3 versions (Classic, Metal et Compact), j’ai choisi la version Metal car elle propose le son authentique de la version Classic mais avec le True Bypass en bonus !
Avant même de brancher la bestiole, la première chose qui saute bien évidemment aux yeux c’est le côté imposant de l’engin ! C’est une pédale certes, mais de par sa taille on peut sans problème poser d’autres pédales dessus pour s’en servir de pedalboard ! A noter qu’il existe un footswitch externe (non fourni) permettant de laisser la pédale sur l’ampli et l’enclencher à distance.
Niveau réglages, on y retrouve les mêmes que l’unité Fender (TONE, DWELL, MIX) mais également un réglage de VOLUME fort bienvenue pour compenser la perte de niveau lorsque l’effet est enclenché, chose dont l’originale ne disposait pas.
Maintenant parlons du SON ! Et bien contrairement à ce que son nom et son héritage pourrait faire croire, la Surfybear n’est pas uniquement destinée à la Surf Music. En effet, les réglages de TONE et DWELL sont très efficaces et permettent d’obtenir des sonorités allant de la reverb super bright avec le fameux « drip » très marqué à une reverb plus sombre et plus proche d’une plate de studio !
La différence avec une émulation est sans nul doute les sensations qu’elle procure, la pédale réagit parfaitement à un jeu dynamique, c’est vivant et les ressorts ne réagiront jamais 2 fois de la même manière.
Chose que je ne fais jamais j’ai enregistré une démo de cette petite merveille afin de montrer l’étendue de ses possibilités :
Pour moi, la quête du Saint Graal est terminée, je suis tombé amoureux de cette reverb et elle risque de m’accompagner un sacré paquet d’années !
Et voila que quelques doux dingues suédois fans de Surf Music eurent l’idée géniale de proposer un clone de la légendaire reverb Fender 6G15 de 1961 en y remplaçant les lampes par des transistors ! Deux véritables ressorts Accutronics, le tout dans un format plus léger et plus facilement transportable que son ainée, la Surfybear était née ! Proposée en 3 versions (Classic, Metal et Compact), j’ai choisi la version Metal car elle propose le son authentique de la version Classic mais avec le True Bypass en bonus !
Avant même de brancher la bestiole, la première chose qui saute bien évidemment aux yeux c’est le côté imposant de l’engin ! C’est une pédale certes, mais de par sa taille on peut sans problème poser d’autres pédales dessus pour s’en servir de pedalboard ! A noter qu’il existe un footswitch externe (non fourni) permettant de laisser la pédale sur l’ampli et l’enclencher à distance.
Niveau réglages, on y retrouve les mêmes que l’unité Fender (TONE, DWELL, MIX) mais également un réglage de VOLUME fort bienvenue pour compenser la perte de niveau lorsque l’effet est enclenché, chose dont l’originale ne disposait pas.
Maintenant parlons du SON ! Et bien contrairement à ce que son nom et son héritage pourrait faire croire, la Surfybear n’est pas uniquement destinée à la Surf Music. En effet, les réglages de TONE et DWELL sont très efficaces et permettent d’obtenir des sonorités allant de la reverb super bright avec le fameux « drip » très marqué à une reverb plus sombre et plus proche d’une plate de studio !
La différence avec une émulation est sans nul doute les sensations qu’elle procure, la pédale réagit parfaitement à un jeu dynamique, c’est vivant et les ressorts ne réagiront jamais 2 fois de la même manière.
Chose que je ne fais jamais j’ai enregistré une démo de cette petite merveille afin de montrer l’étendue de ses possibilités :
Pour moi, la quête du Saint Graal est terminée, je suis tombé amoureux de cette reverb et elle risque de m’accompagner un sacré paquet d’années !