L’oreille humaine peut en général entendre sur le spectre suivant : 20 Hz – 20 000 Hz. Pour qu’il n’y ait pas de perte flagrante, la fréquence d’échantillonnage doit être au moins deux fois plus élevée que la fréquence maximale contenue dans le son à numériser. Il faut que la fréquence d’échantillonnage soit d’au moins 40000 Hz pour avoir un résultat correct à nos oreilles.
C’est pourquoi la résolution de 44 100 Hz est la plus utilisé car elle permet de couvrir le spectre jusqu’à 22 050 Hz. Nous bénéficions même d’une petite marge car nous aurions pu arrondir à 40000 Hz mais cela veut dire aussi que si vous exportez votre musique avec une fréquence d’échantillonnage supérieure à 44 100 Hz, votre oreille sera incapable d’entendre la différence.
Merci de confirmer ce que je disais Warlus. Je faisais allusion à ça qui est complètement faux : "nos oreilles pouvant entendre jusqu'à 20 khz chacune, cela nous fait 40khz en tout, il nous reste donc une petite marge de 4khz)"
[ Dernière édition du message le 08/08/2017 à 19:12:42 ]
warlus1
918
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 14 ans
14Posté le 12/08/2017 à 20:30:47
"La représentation discrète d'un signal exige des échantillons régulièrement espacés à une fréquence d'échantillonnage supérieure au double de la fréquence maximale présente dans ce signal"... tu traduis ca comment toi? On entend bien à 20khz, il faut donc 40khz ( dont 4khz de marge)...
m'enfin si tu veux, tu as raison...(je ne vois pas l'interet de débattre sur le fonctionnement de données numériques.)
Déterrage de topic A moins que vous ne travailliez en analo 100% après le kemper, votre son va être ré-échantillonné un paquet de fois avant le rendu final (fx num, bounce...). Bref l approximation numérique ne fera qu'augmenter au travers du process. Donc perso je privilégie les fréquences d'échantillonnage les plus élevées possibles à la prise pour garder une fidélité maximale au final