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Les sons dans l'envirronement ! (musique)

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Sujet de la discussion Les sons dans l'envirronement ! (musique)
Salut !!

Bon n'ayant pas d'oreille absolue, loin de là...
Je voudrais savoir si tous les sons de la nature, environnement correspondaient à une note de musique ??

Par exemple : aboiement d'un chien, verre qui casse, porte qui se ferme !! lol
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Tonka > merci pour ton explication, je ferais un enregistrement de mon tire-bouchon si j'ai le temps. Il faut dire qu'il ressemble fort à un diapason..

Pour la batterie, je crois que tu fais une erreur ( ou une blague ? ). Dans un fût fermé par exemple, les peaux ont un mouvement périodique et réapprovisionné en énergie par le rebondissement sur la peau d'en face.
Une batterie, ça s'accorde.
(Pour la petite histoire, certains batteur ont même la peau plus ou moins tendue sur le même fût pour produire des demi-tons supplémentaires !)
Je pourrais dire à mes petits enfants que j'ai été sobre toute une semaine.
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Pour les futs, oui il y a une note, autant pour moi... mais pas pour les cymbales ! (et pi d'abord j'aime pas avoir tort :oops: )

Et pour le tire-bouchon, c'est trop top ça ! faut nous créer un morceau avec ça... bon c'est vrai y'a déjà eu Licence4... :mdr:

Cocoman, petit fripon, c'est mal de taper sur ton sax qui est tout innocent, je vais le dire à la SPI :non:

Tonka
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Bon, d'accord alors.... mais juste les cymbales hein .... et encore, c'est pas sûr : le mouvement est tout autant périodique et régi par la surface, la forme et l'épaisseur de la cymbale ....

Le tire-bouchon fait du bruit tout seul, hein ! Pas besoin de bouteille ..
Je dis ça passkeu j'en ai vu s'enflammer dans le fond de la salle. :tourne:
Je pourrais dire à mes petits enfants que j'ai été sobre toute une semaine.
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Hors sujet : :pong:

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

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Alors une question, j'ai lu une page sur les consonnances/dissonances de Christian Duprez, où il y a un passage que j'ai pas compris :

II) NOTION DE CONSONANCE ET DE DISSONANCE
La matière de ce chapitre a toujours été hautement contesté et est (et restera) toujours hautement contestable.

Qu'est ce qu'une consonance et qu'est ce qu'une dissonance?

Bon nombre de théoriciens se sont cassés les dents sur ce sujet, je pense entre autre à Jean-Philippe Rameau (1683-1764) - grand compositeur qui contribua à fixer la "science" de l'harmonie -.
J.-P. Rameau utilisait en tant que praticien la «consonance de 7ème.», comme tous ses contemporains, et la réfutait en tant que théoricien. Que de conflits intérieurs pour cet homme qui coiffait les deux chapeaux.

Première définition, je cite: " Une consonance est un ensemble de sons qui, entendus simultanément, donne à l'oreille une impression de fusion en un tout homogène, reçu sans effort comme naturellement agréable (au sens ancien: susceptible d'être agréé). La dissonance n'est que le refus de cet agrément."

Oui certes, mais du reste cependant pas très claire et surtout pas très objective cette définition.

Deuxième définition, je cite toujours : " Deux sons sont consonants lorsqu'ils se trouvent entre eux dans un rapport plus proche et plus simple de nombre de vibrations. Deux sons sont dissonants lorsqu'ils se trouvent entre eux dans un rapport plus éloigné et plus complexe de nombre de vibrations."

Si cette deuxième définition n'est pas d'une limpidité exemplaire, elle a au moins le mérite de faire appel à des notions de physique nous permettant d'acquérir une autre vision d'un classement objectif
(si cela est possible de nos jours!) .

Avant d'aborder un principe physique indispensable à la compréhension du sujet qui nous intéresse, remettons-nous en mémoire les intervalles découverts chronologiquement par nos ancêtres : octave, quinte, tierce, septième, neuvième, onzième, etc ... .

Résumé à sa plus simple expression, le principe est le suivant :
un son naturel est constitué d'une série d'autres sons qui résonnent avec lui et que l'on nomment : "sons harmoniques" ou "harmoniques" .

Un son fondamental do1 génère les harmoniques suivantes :
do2 - sol2 - do3 - mi3 - sol3 - sib3 - do4 - ré4 - mi4 - fa4 - sol4 - etc ... .

Ce qui saute aux yeux en regardant cette suite d'harmoniques, c'est qu'elle correspond fidèlement à l'ordre chronologique des intervalles découverts et/ou conçus par nos ancêtres.
D'où la déduction suivante : depuis la nuit des temps, l'homme a assimilé inconsciemment les harmoniques que généraient les fondamentales qu'il jouaient, pour ensuite les "entrevoir" et les assimiler consciemment et ce, de l'intervalle d'octave au chromatisme.

De cette déduction, je tire les principes pratiques suivants :

1) Plus on s'éloigne du son fondamental, plus on peut parler de dissonance, car ce sont les derniers intervalles assimilés consciemment par le musicien qui peuvent se révéler problématiques auprès de l'auditeur dit "moyen".

2) La classification des consonances et des dissonances ne peut-être définie que pour fonder une base concrète de travail, car cette notion est relative à l'époque de la classification et, par conséquent ; tout à fait subjective par rapport à l'histoire qui lie l'homme à la musique (à l'harmonie).

Avant de classifier et de définir une base de travail, il est bon de rappeler que la musique ne peut en aucun cas se résumer à un simple phénomène physique.
La musique est un langage qui c'est transmis de génération en génération.
La musique est l'une des "langues" qui exprime les sentiments et les sensations, et comme toutes les langues vivantes, elle s'est enrichie petit à petit d'un vocabulaire permettant aux praticiens d'acquérir un bagage de plus en plus élaboré pour exprimer leurs émotions intérieures.
Le développement de ce vocabulaire a souvent été logique, mais a parfois été instinctif laissant ainsi à nos prédécesseurs le droit et le pouvoir d'assimiler des notions que la physique seule ne peut expliquer "cartésiennement" de nos jours.

Le bon sens et le bon goût des musiciens ont fait le reste.




Comme il le dis, un son fondamental do1 génère les harmoniques citées !

Mais si c'est un son fondamental (une seule fréquence) donc la forme du signal sonore est sinusoidale, pourquoi y'a t il des harmoniques ? enfin j'ai pas compris l'histoire :oo:
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Euh, alors, en fait :

Si tu prends un oscilloscope générateur de son, tu fais une sinusoide pure et dure, tu n'auras que la fondamentale, mais ca donnera un son plat et chiant. Ensuite, tu dessines une courbe /\/\/\ tu n'auras déjà plus le même son.

En fait, ce sont des harmoniques (que l'on n'entend pas directement) qui se sont ajoutés et qui "enrichissent" le son.

C'est ce qui donne au final le timbre d'un instrument : une flûte, une clarinette et un hautbois jouent la même note :fleche: les timbres vont être différents car les harmoniques mis en valeur ne seront pas les mêmes.

Dans le même genre de jeu, tu peux faire un coup de filtre sur une voix qui chante aaaaaaahhhhh, tu entendras au bout d'un moment les harmoniques.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

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OK :mdr:
j'ai compris maintenant :oops:

Enfait l'article voulait dire que pour n'importe quel instrument, le do1 par ex. générais les harmoniques cités....

Petite erreur de compréhenson alors :??:
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Comment je fais pour faire comprendre aux autres des trucs que j'ai pas bien pigé moi-même ? :oo:

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

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Parce que t'es surpuissant voilà tout ! :twisted:

Hors sujet : il est vraiment temps que j'aille dans mon lit, je dis n'importe quoi sur AF

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:mdr:

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.