Mais j'aime bien en fait, c'est plutôt trippant, mais je l'écoute en cachette parce que je vis encore chez mes parents (les conaisseurs comprendront ;) )
Moi, je me suis fais une cure (oui, elle était facile ), quand j'ai découvert APHRODITE CHILD, et j'ai été étonné par certains de ces morceaux Bon, celui que tu cites, n'en faisait pas partie
;)
Hors sujet : Pour la 'tite histoire, "Quand je t'aime" -réplique de "Rains and tears" de la "grande époque"- n'est jamais qu'un thème rigoureusement pompé sur Albinioni.
Une connaissance, JPB, en parla à une autre, JCA, qui ne se crut pas tellement investi à défendre ce projet "sucré".
Ils refilèrent le bébé au Grec de service. Dont s'était servit préalablement Rauber à la demande de Brel, lequel Brel avait beaucoup d'idées mais pas de musique à "fournir" au sens premier -ce dont nul ne se cachait, et surtout pas lui, tous ses disques en attestent.
Ils en firent Amsterdam, qui a un peu de gueule... Chanson que n'aimait pas Brel, car "trop facile".
Brassens, dès l'enregistrement ("live", dirait-on de nos jours, voire même "en live" comme j'ai honte de le lire) -jamais auparavant un disque n'avait été enregistré en public AVANT que le titre n'ait eu 100 fois le mérite d'exister pleinement sur scène-, Brassens dit à un Brel saisi par le doute : "toi, ce sera Amsterdam et moi ce sera l'Auvergnat : on n'y pourra jamais rien".
Demis Roussos fit de la tôle au Brésil pour avoir chanté en play-back - notamment "quand je t'aime"-, un fait qui est (était ?) strictement interdit en scène.
Parfaitement authentique.
"Normal", ajouterais-je; sans doute pas au point d'emprisonner, non; mais au point d'amendes sévères, alors oui.
Bah... Les époques permuttent; les feuilles tombent et puis d'autres repoussent...
Hors sujet : Ah z'est drôle ça pour Amsterdam !
Pour Demis l'Ourssos, pour les quelques vieux titres live de l'époque dont j'ai la souvenance, ça sonnait déjà vachement techno avant l'heure, nan ? D'ailleurs, j'trouvais ça assez sympa et original et je ne m'en cache point