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Editorial du 23 novembre 2013 : commentaires

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Sujet de la discussion Editorial du 23 novembre 2013 : commentaires

J’ai vu le futur des instruments de musique...  et ce n’était pas la réédition ou l’amélioration d’un synthé des années 70. J’ai vu le futur des instruments de musique et ce n’était pas non plus la énième déclinaison d’une guitare imaginée dans les années 50. Et ce n’était pas plus encore la modélisation, si parfaite soit-elle, de tel compresseur ou de tel ampli conçu 40 ans auparavant et qu’on nous montre comme un Saint Graal parce que tel ou tel grand disque a été réalisé avec ça. Comme s’il fallait que les écrivains troquent le Robert ou le TLF pour le Littré et trempent la plume dans l’encre de Chine parce que c’est ainsi qu’écrivaient Balzac, Flaubert ou Maupassant.

Et comme je voyais ce futur, je voyais aussi quantité de musiciens lui tournant bizarrement le dos, s’enthousiasmant pour des vieux instruments millésimés comme des antiquaires, préférant la patine du temps à l’odeur du neuf pour ce qu’elle a de rassurant, au point même d’acheter des objets neufs avec une fausse patine, et les payer plus cher pour ne pas avoir à écrire cette part d’histoire avec leur instrument. J’ai vu des gens acheter des répliques pour ne pas avoir à affirmer leur singularité.

J’ai vu les fanatiques du vintage ne jurer que par le vinyle et l’analogique sans jamais se souvenir que les plus grands albums issus des deux dernières décennies avaient tous été produits en numérique, dans un ordinateur, pour les enchanter ensuite, fussent-ils sur CD.

Et à l’écart de ces gens qui leur tournaient le dos, j’en ai vu d’autres encore qui rêvaient aux instruments de demain plus qu’à ceux d’hier. Qui préféraient l’imagination au souvenir, se demander ce qu’on pourrait faire de mieux ou de différent, de quelle façon on pourrait aller plus loin et donner des horizons neufs à ceux qui écrivent et qui jouent de la musique.

Le genre de gens qu’on rencontre à l’IRCAM, l’un des plus grands centres de recherche dédiés à la recherche musicale et acoustique dans le Monde et qui, à l’occasion de l’édition 2013 de ses Ateliers du Forum a réuni à la Gaîté Lyrique certains des plus brillants designers d’instruments de musique, virtuels ou réel.

J’ai vu Arne Wallander faire chanter Sibelius comme aucun éditeur de partition n’a jamais chanté, rendant la composition plus immersive que jamais. J’ai vu Magnus Lidström expliquer comment il générait de nouveaux patterns pour ses instruments grâce au Cloud Computing. J’ai vu les Français de Dualo concentrer dans un même objet couvert d’hexaèdres lumineux un contrôleur-séquenceur-synthétiseur d’une rare intuitivité. J’ai vu un autre Français présenter OWL, une pédale d’effet complètement programmable et qui promet des expérimentations qu’aucune pédale n’a jamais pu proposer. J’ai vu enfin le Seaboard de Roli et le Touchkeys amenant l’un comme l’autre le bon vieux clavier de piano dans une dimension qui aurait fait pleurer de joie un Mozart s’il avait pu s’en saisir. Tant de choses et bien d’autres, dont les extraordinaires technologies issues de l’IRCAM ou les patches Max 4 Live qui, toutes, semblent converger vers la même évidence : un vent nouveau souffle sur les technologies musicales et ces inventions qui n’ont rien de gadgets pour geeks désocialisés vont, à n’en pas douter, ouvrir bien des perspectives à bien des musiciens. Et c’est sans compter les absents à cette conférence qui n’en joueront pas moins leur rôle dans cet avenir radieux pour la musique : Ohmforce et leur séquenceur collaboratif, Izotope, Zynaptiq, Celemony ou Flux et leurs outils révolutionnaires. Et j’en oublie, forcément…

Comptez sur nous, en tout cas, pour suivre tout cela de près : on va coller ces types au train jusqu’à ce qu’ils nous envoient leurs instruments à tester en bonne et due forme. En attendant, on n’aura toutefois pas trop à s’ennuyer avec le programme de la semaine qui fait, lui aussi, à sa façon, dans la nouveauté. C’est ainsi que nous vous proposons le banc d’essai du SR-1, micro à ruban d’une toute nouvelle société française emmenée par Guillaume Naturel, saxophoniste pour Tito Puentes, entre autres. Mais encore ? Le test d’un nouveau modèle de Gibson. Non ? Si ! N-225 que ça s’appelle et ça a l’air plus que recommandable. Et pour finir ? Encore du français avec le premier casque audio pro signé Focal, visiblement une réussite.

Sur ce, bon week et à la semaine prochaine.

Los Teignos
From Ze AudioTeam

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Citation :
aucun albums récent (en tous cas dans l'eléctro)ne sont aussi bon que les albums de 1995 a 1999

Citation :
Prodigy


:ptdr:
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Bah je confirme et je signe ! Rien de Bien intéressant dans l'électro depuis 12 ans !
quand je vois ce que faisait Emmanuel Top et Winx avec juste une Roland TB 303 ?
Plastikman faisait rouler La TR et la Mpc..
Visit Venus ,Thievery corporation ,Warp et Ninja Tune Innovait a fond.
Autechre et aphex twin Ravissait les puristes et Gilles Deleuze...
Klaus schulze nous emmenais dans sa vague.
Qui innove aujourd’hui? Je mixe sur des Goa dans les pays de l'est ,les kids me demandent d'òu viennent mais son Hallucinant a la Hallucinogène et infected Mushroom et je leurs répond 1995-1999
Je mixe a Amsterdam de la Trip hop et pareil ,je pose du 1995-1999 et tout le monde demandent d ou viennent ses perles.
De la drum n Bass a Londres et pareil 1995-1999 - la c est même encore plus flagrant! Aucune progression depuis Aphrodite et la bande Mettalheadz de Goldie
depuis il ne se passe RIEN ,quelques petites perles de temps a autre mais sans plus! Qui viendra detronner Prodigy? qui surpassera Aphex Twin?
qui va se rebeller comme Atari Teenage Riot le faisait:furieux: ?
la musique electro actuel...LOL des mickeys tout gentil tout looker commercialement comme Justice ? les dj zozos guetta et autres DJ métrosexuels a la house cheepos qui fait pouet pouet et dont tout sonne pareil!
Citez moi des noms qui s'alignent a ceux que je viens de donner!! J'attend ,alors je dis pas que c’était mieux avant ,c'est toujours aussi bien puisque tout ses albums sont encore la pour être écouter,avant,mais depuis 10 ans oui une formidable avancé technologique ,mais niveau avant Gardisme il n'y a pas grand chose car le système des petits labels qui permettais a l'underground de survivre ,s'est fait bouffer par les majors pour tout formater! Les petits jeune font de la techno avec de la techno car ils n'ont aucun background Musicale!! Le formatage a déjà bien dégainer...Heureusement il y a quelques poches underground qui survivent ,mais attention car si l'underground meurt,la musique elle aussi va 'l étre ,car meme avec les meilleurs machines on ne fait pas les meilleurs pilotes ! Les ordinateurs tuent la créativité .Moi je dis Non les ordinateurs ne sont pas le futur et je préfere ecouter un Bon vieux vinyl qui craque ,un Live avec une elektron et des vrais synthe ,meme si quelques potards cracottent que de la merde en super qualité audiophile. Donc je suis un Troll ? OK

[ Dernière édition du message le 23/11/2013 à 19:42:32 ]

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Troller, c'est affirmer des choses de façon péremptoire par simple plaisir d'énerver les gens. Et tu comprendras, vu ton point de vue très arrêté et un brin provocateur, qu'Etienne1992 se soit posé la question.

Après, note que tout cela est très relatif et subjectif : j'ai déjà entendu les mêmes propos que les tiens de la part de mecs branchés musique contemporaine et trouvaient que toutes les prestigieuses références que tu cites n'était que de la soupe commerciale à côté des oeuvres de pionniers comme Schaeffer, Pierre Henry, Varèse ou Stockhausen.

Je suis loin de partager leur avis, mais du coup, loin de partager le tien sur le fait de tirer un trait sur 15 ans de musique. Et rassure-toi : l'underground ne meure jamais, ça fait des millénaires que ça dure et ça continuera de durer.

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Les disques analogiques n'utilisent pas d'échantillonnage

Cela signifie que le temps n'est pas découpé pour être numérisé. Le CD, avec son échantillonnage à 44,1 kHz, est très satisfaisant. Les formats haute définition SACD et DVD-Audio ont montré que l'extension de la bande passante au-delà de 20 kHz pouvait apporter un plus considérable. Beaucoup d'instruments de musique affichent un spectre audio qui va bien au delà des 20 kHz (trompette, percussions...). En évitant l'échantillonnage, le disque noir permet une réponse en phase linéaire jusqu'à plus de 30 kHz. Cela se traduit concrètement par une image spatiale stable et très précise. On entend mieux l'acoustique du lieu de prise de son.

Les disques analogiques offrent une compression de dynamique soignée

La pleine dynamique d'un orchestre ne peut pas être assumée par la cellule phono. Ce support ne permet que 60 dB de dynamique pour presque 100 dB pour le CD et plus encore sur le SACD. Pour reproduire fidèlement le message, les ingénieurs du son doivent donc utiliser une compression de la dynamique pour permettre la gravure sur vinyle. Cette compression était particulièrement soignée pour remonter les détails dans les passages faibles, maîtriser les fortés... Les ingénieurs du son qui enregistrent de la musique classique travaillent avec la partition d'orchestre sous les yeux, notant avec le producteur chaque passage. Le réglage d'un compresseur-limiteur est très délicat, certains ingénieurs du son viennent en studio avec leur propre rack contenant les préamplis micros et les compresseurs.

Effet compression enregistrement magnetiqueL'enregistrement sur bande analogique, même en 76 cm/s, induit aussi une compression due à l'enregistrement magnétique. Cela se traduit par un son particulier. Certains artistes enregistrent encore chez eux avec d'anciens magnétos multipistes Ampex, Studer voire Otari... pour retrouver cette couleur très particulière.

Au final, le mastering à partir des bandes nécessite un travail de pré-accentuation (la fameuse courbe RIAA) et de compression. Ce mastering, quand il est fait par un expert, donne au disque toutes ses qualités de dynamique, de lisibilité des signaux subtils et d'équilibre artistique.

Tous ces aspects devraient être considérés comme des défauts par rapport aux performances bien supérieures du CD. Il n'en est rien car il est rarement possible de disposer d'une dynamique de 100 dB chez soi. En général, les pièces les plus silencieuses permettent 80 dB la nuit. Un salon normal, avec les bruits de la vie courante, la rue à 30 m.... permet 40 à 60 dB de dynamique exploitable (c'est à dire sans devenir sourd). En limitant (avec talent) la dynamique, le vinyle nous donne un signal plus facile à écouter, dans lequel plus de détails sont amenés à des seuils audibles. Cela se traduit aussi par un son plus "péchu" très apprécié des DJs et connaissoires :bravo:....

Sois disant Avantages Mais inconvénients réel de l’utilisation des VST

Le besoin de développer ce genre d’application est apparu très rapidement, on sentait petit à petit la nécessité de travailler sur ordinateur et la richesse que cela pouvait apporter à long terme. Nous pouvons remarquer que le point commun de tous les avantages permet de rendre la musique plus accessible.
• Le numérique permet facilement la mise à jour. C’est très important pour la compatibilité des logiciels entre eux, la MAO est un domaine qui évolue très rapidement. La découverte des instruments virtuels étant plus aisée, tout le monde peut travailler avec une qualité sonore acceptable.
• Économie de places et d’argents : pour quelques centaines d`Euros on peut avoir des sons d`instruments rares. On économise car dans un ordinateur on peut intégré des dizaines d`instruments virtuels qu’on serait incapable de stocker dans un petit Home Studio.
• Les câblages sont inexistants.
• On peut facilement enregistrer les réglages effectués sur l’instrument virtuel. Ce ne fut pas toujours le cas avec du hardware et la notion de Presets* a été une grande révolution.

Cependant, les inconvénients sont nombreux et sont directement liés aux avantages.
• Il faut avoir un ordinateur puissant et robuste car les calculs sont lourds.
• Le système de protection des licences peut être agaçant surtout si on doit avoir une clé iLok. Vous devez vous enregistrez en ligne, envoyer votre serial, attendre de recevoir le mail, rentrer le nouveau serial … On n’en finit plus. Je ne parle même pas du cas où l’ordinateur plante et qu’il faut tout réinstaller.
• Étant donné la puissance des VST, la précision du numérique est impardonnable et il faut savoir pourquoi on l’utilise et ce que l’on touche sinon le résultat risque d’être catastrophique. A l’époque du hardware de basse qualité il fallait réellement pousser le potard* pour donner quelque chose.
• On pourrait rapidement et trop facilement conclure que l`instrument virtuel «remplace » l`instrument «réel ». Mais ce n’est pas toujours le cas car le monde de l’analogique n’est pas limité et binaire comme le numérique. Aucun logiciel n`est en mesure encore aujourd`hui de remplacer l`hardware. Même si l’émulation d’instruments virtuels est quasiment parfaite il manquera toujours cette «chaleur » du son que seuls les vrais instruments réels peuvent procurer.
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Moi, je n'y étais pas. Ma bécane est resté coincée derrière des engins des champs. Le cosmos c'était pas trop leur truc et pour moi, c'était trop loin. Mais il me reste l'édito, et çà donne envie...

M.K.

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A mon avis la plupart des vinyls récent sont pressé a partir de fichier numérique échantillonné a 44khz, à vérifier mais dans tout les cas ils sont pressé à partir de fichier numérique. De plus il ne faut pas oublier que la sensibilité de l'oreille humaine ne dépasse pas les 20khz, donc l'importance des fréquences plus élevé est très relative.

Pour ce qui est de la compression, la dynamique d'une musique est déterminé à la production, et elle souvent beaucoup plus réduite que la dynamique maximal que permet le support. Donc un CD peut être fortement compressé. Dans l'electro notament la dynamique est assez faible, que ce soit sur CD ou sur vinyl.

Ceci dit le son vynil peut être très apprécié, mais il me semble qu'il n'est pas techniquement supérieur au CD.

[ Dernière édition du message le 23/11/2013 à 22:53:51 ]

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oui c est exactement ce que j'ai ecrit! Bien que techniquement superieur le cd sonne moins bien!

Tous ces aspects devraient être considérés comme des défauts par rapport aux performances bien supérieures du CD. Il n'en est rien car il est rarement possible de disposer d'une dynamique de 100 dB chez soi. En général, les pièces les plus silencieuses permettent 80 dB la nuit. Un salon normal, avec les bruits de la vie courante, la rue à 30 m.... permet 40 à 60 dB de dynamique exploitable (c'est à dire sans devenir sourd). En limitant (avec talent) la dynamique, le vinyle nous donne un signal plus facile à écouter, dans lequel plus de détails sont amenés à des seuils audibles. Cela se traduit aussi par un son plus "péchu" très apprécié des DJs et connaissoires :bravo: ....
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Oui oui j'avais compris ce que tu voulais dire, je me suis mal exprimé. Dans la pratique le CD peut sonner aussi compressé que le vinyl, l'étape de mastering est aussi présent pour des productions CD. Par exemple toute la soupe electropopisante est compressé très violemment. A priori bien plus que n'importe quelle vinyl des années 90.
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patricexxs > Merci de citer tes sources quand tu fais du copier-coller.

En l’occurrence, comme je trouvais le propos très douteux notamment sur l'image stéréo et la bande passante, j'ai retrouvé la source, anonyme hélas et on comprend bien pourquoi : www.son-video.com, le site d'un magasin de hi-fi. Que dire si ce n'est que l'article en question vise à persuader les acheteurs audiophiles qu'ils ont bien raison de claquer des milliers d'euros dans du matos ésotérique, sans la moindre preuve scientifique à l'appui. De mon point de vue, c'est un peu comme si tu convoquais Elisabeth Teissier pour parler d'astronomie : une didactique de charlatans (note que ce n'est pas toi que je prends pour un charlatan mais bien le rédacteur de cet article qui cherche juste à développer les ventes de son magasin et qui, j'en mettrais ma main à couper, est plus probablement titulaire d'un BTS Force de vente que d'un diplôme d'ingénieur du son) destinée à impressionner le chaland.

Je ne m'attarderai pas dessus mais il y a sur AF quelques docteurs en traitement du signal ou en acoustique qui se feraient un plaisir de contredire à peu près tout ce que cet article affirme.

Quant au propos sur les VST, qui provient lui du site 'living tuts', il n'est pas beaucoup plus fondé : l'auteur confond visiblement hardware et analogique, sans se rendre compte que depuis 30 ans maintenant, la plupart des claviers électroniques et des effets de studio comme la réverb, sont numériques, même s'ils sont hardware. Et je ne parle pas des dangers supposés de la précision numérique ou des réserves sur la puissance de calcul. Bref, un tissu de lieux communs imprécis dans le meilleur des cas, et erronés dans le pire. Autant dire que si on publiait de tels propos sur AF, on se prendrait des seaux de merde de la part des mecs qui s'y connaissent un petit peu. Et à raison.

Mon propos, en outre, n'était pas de défendre l'émulation contre le hardware analogique (parce que pour le numérique, il n'y pas de différence : dans un DX7, il y a un logiciel. Quand on met ce logiciel sur un ordinateur, on obtient donc le son d'un DX7, en dehors des différence liées aux convertisseurs NA employés et qui sont bien meilleurs aujourd'hui qu'ils ne l'étaient dans les années 80), en sachant que oui, bien que les émulations progressent, elles ne reproduisent pas encore totalement fidèlement les particularités des instruments ou traitements analogiques.

Mon propos était de dire QU'IL Y A PLUS D'INVENTIVITE CHEZ CEUX QUI FONT DU SOFT A L'HEURE ACTUELLE QUE CHEZ CEUX QUI FONT DU HARD. C'est plus ça que je dis, et désolé de devoir le crier pour recentrer le débat.;)

A titre d'exemple, précisons que les deux synthés les plus originaux sortis récemment chez Waldorf et Moog tournent sur iPad uniquement et qu'il serait plaisant de voir ces constructeurs en faire de vraies machines, plutôt que de bégayer leur légende.

Après, moi, je me contrefous que la chose finisse en soft ou en machine car les deux présentent et des avantages et des inconvénients. Mais qu'on ne viennent pas me dire qu'un Dave Smith par exemple est un monstre de créativité car tout ce qu'il fait à l'heure actuelle, c'est de refaire ce qu'il a déjà fait en l'améliorant un petit peu. C'est déjà pas mal certes, mais c'est loin d'être suffisant pour assurer le devenir de la musique. C'est un peu comme Apple et ses téléphones : tout le monde a fait 'Wow' il y a 5 ans lorsque le premier iPhone a révolutionné le marché, et tout le monde attend à présent que la téléphonie mobile fasse un nouveau bond, car aucun des iPhones sortis depuis n'ont été surprenants ou révolutionnaires comme le premier. Et ce faisant, toute la concurrence propose désormais la même chose.

Désolé pour l'exemple qui ne vise surtout pas à lancer un débat sur Apple (je prends les devants). Je voulais juste l'évoquer parce que précisément, le monde des synthétiseur attend aujourd'hui son iPhone. Un 'game changer' comme l'ont été à une époque le DX7 ou la MPC, et non une simple évolution de ce qu'on connait déjà depuis 30 ans.

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[ Dernière édition du message le 24/11/2013 à 01:32:45 ]

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...et toc!
Absolument d'accord avec toi...On va pas épiloguer mais en effet il me semblait bien que son copié collé,(cf les fautes d'orthographe manquantes) était plein de co...eries!Mais ce que dit Patrick est interessant hormis ce fameux article.