Sujet de la discussionPosté le 27/07/2006 à 03:11:18Realisation artistique//combien ca coute ?
Hello
j'ai été solicité par un label pour realiser 2 titres sur un album a sortir prochainement
j'aimerais bien en savoir plus sur le type de contrat a ce sujet, au niveaux des points (royalties)etc...quel % dois je demander, avance ?, en sachant que l'album comportera 10 titres (moi j'en realise 2)
je doit "produire" les titres et en faire des produits fini pres a etre masterisé
en sachant que:
- pour les 2 titres on me fournis les accapellas + quelques instruments deja enregistrés (a leur frais)
je me base d'une demo du titre qu'ils ont fait
- j'ajoute egalement des arrangements musicaux, genre rejouer la basse "dans mon style" les synthés, batteries etc...
y a t il également des droits d'arrangements sacem dans le cas ou j'apporte des élements nouveaux (melodies accompagnement etc..)
Ah ok je vois où est l'origine de notre dialogue de sourds.
Tu confonds le producteur au sens américain ("producer", le réalisateur en france), qui réalise les titres, et le producteur au sens économique et juridique: celui qui finance, et est à l'origine de la fixation de l'oeuvre (un label, quoi).
Il en a l'initiative, et entretient des rapports de subordination avec les autres intervenants, y compris le réalisateur (sauf dans le cas d'une licence, auquel cas le producer est aussi producteur...).
Le producer n'a en effet rien à voir avec le mktg, c'est le rôle du producteur (le label).
Citation : Tu confonds le producteur au sens américain ("producer", le réalisateur en france), qui réalise les titres, et le producteur au sens économique et juridique: celui qui finance, et est à l'origine de la fixation de l'oeuvre (un label, quoi).
Il en a l'initiative, et entretient des rapports de subordination avec les autres intervenants, y compris le réalisateur (sauf dans le cas d'une licence, auquel cas le producer est aussi producteur...).
non j'utilisais producteur au sens français du terme
un label n'est pas forcément producteur des disques qu'il sort
il y a par exemple les licenses que ce soit pour des disques étrangers (avec un label étranger producteur) ou bien des artistes qui ont un producteur indépendant ou se sont autoproduit
dans ces cas là le label ne met pas d'argent dans la production, mais s'occupe du marketing etc
Ok. Résumons-nous, pour clore cette discussion: si on est dans le cadre d'une licence, ce n'est pas en effet au producteur d'origine (le propriétaire des masters) de supporter l'effort mktg, de meme que le label qui prend la licence n'investit pas dans la prod.
Mais ça ne concerne pas notre ami à priori, qui a peu de chances d'etre propriétaire des bandes, puisqu'il a plutôt un rôle d'éxécutant pour un label.
Right?