Tous les avis sur Korg PSS 50

Le Korg Pss-50 Super Section est un module qui permet de jouer des rythmes avec accompagnement (bass+chord). Il y a 40 patterns pré-programmés (fusion, new wave, latin rock, electro pop, etc...) et 16 mémoires "user" pour des patterns personnalisés. Les sons de percussions semblent être très similaires à ceux des boîtes à rythmes Korg de la même époque (Ddm-110 et Ddm-220). Les sonorités de la partie accompagnement sont les suivantes: rock guitar, piano, strings, distortion guitar, pico-pico (???), short piano, honky-tonk piano, organ, clav, short brass, electric guitar, jazz piano, jazz guitar, big band brass, fazz keyboard (???), fazz synthe, bossa nova guitar, samba piano, chacha guitar, 2 beat guitar, walts piano, march brass, flok guitar (???), banjo, shuffle synthe. Précisons que le réalisme n'est pas la première qualité de ces sons et qu'ils sonnent -heureusement- plutôt électroniques. Différents types de break/fill in sont également disponibles, ainsi que 9 types d'accord: m, m6, m7, m9, 6, 7, Maj7, 9, dim, Aug, sus4.

8 chansons/séquences de 80 mesures maximum peuvent être mémorisées et éventuellement chaînées. Les changements d'accords se font par mesure ou 1/2 mesure.

7 potentiomètres: rythm (volume), bass (volume), accomp (volume), ext (volume), stereo (amplifie le panoramique), tempo, master vol.

Panneau arrière: un potentiomètre pour le réglage du pitch, une prise EXT IN (pour mixer un signal sonore extérieur), sorties L + R-MIX, sortie PHONE, 2 prises pour la sauvegarde sur k7. Les prises sont en jack 6,3 (sauf celles de la sauvegarde sur cassette). Pas de possibilité de synchro via midi ou clock (pas cool).

UTILISATION

Manuel très utile, si ce n'est indispensable, si l'on veut utiliser correctement et pleinement le PSS 50.

SONORITÉS

Jolie machine, plutôt anecdotique, dont les défauts majeurs sont l'absence de communication avec le monde extérieur (pas de synchro possible), la programmation un peu "prise de tête" et des sonorités assez limitées et très eighties (ce qui paradoxalement en fait aussi le charme).