Qu'est-ce qui vous ferait plaisir, mes choupis?
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Marianne TONDAT
68
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 11 ans
Sujet de la discussion Posté le 25/01/2014 à 15:46:30Qu'est-ce qui vous ferait plaisir, mes choupis?
Bonjour à tous !
(J'ai posté un sujet similaire dans "on stage / backstage)
Orthophoniste depuis 2003, j'ai finalisé en 2013 une formation "ingénieur du son".
Lors de cette formation, j'ai pris conscience des caractéristiques vocales spécifiques demandées aux chanteurs lors des concerts.
En orthophonie, en cas de souci vocal, nous proposons une rééducation plus ou moins "classique" qui malheureusement ne fait pas le poids face aux situations concrètes vécues par un chanteur:
- Lorsqu'il est dans un studio insonorisé, par exemple. Avec son casque sur la tête et le Talk-Back pour tout contact avec l'extérieur, ses repères sont totalement différents.
- Ou bien lorsqu'il doit garder son sang-froid en balance, entre son collègue grateux qui monte son ampli et l'ingé-son derrière sa console.
J'ai eu la chance d'entrer en contact avec des professionnels chaleureux et passionnants, à travers mes cours, mes stages et autres conférences ou tables rondes.
Des personnalités bien loin des archétypes de "l'ingé-son borné". Des individus rigoureux et exigeants, certes mais surtout passionnés.
Et viscéralement concernés par le chemin du signal, cherchant toujours à trouver LA bonne configuration.
Celle qui offre au chanteur cet instant magique du "Wouaaah, c'est ma voix, ça ?!!"
Ayant travaillé sur la mémoire de travail et l'impact de l'environnement sur sa mobilisation lors de mon mémoire d'orthophonie, je souhaite mettre des exercices plus concrets avec des éléments perturbateurs / facilitateurs. Et aller plus loin en proposant des jeux de rôle, où je suis le chanteur et où il est l'ingénieur du son pour travailler sur les représentations mentales qu'il peut avoir sur cette profession.
J'aurais ainsi matière à travailler avec lui sur les places que chacun doit occuper pour que le projet se déroule au mieux.
J'ouvre ce sujet pour vous poser ces questions :
qu'est-ce qui vous ferait plaisir de voir chez un chanteur en sonorisation (depuis la fiche technique jusqu'à la presta en passant par la balance et les backstages)
et/ou en session de REC (depuis l'envoi ou pas de la maquette jusqu'à la façon de patienter pour la prise en passant par les vocalises et attitude avant / pendant / après le REC) ?
Et à l'inverse, qu'est-ce qui vous exaspère?
(oui, je sais, ça fait pas mal de questions mais je suis orthophoniste, alors vous savez, le blablabla, c'est mon dada et on est bien d'accord : c'est la même question, en fait, en symétrie, c'est tout et de toutes façons, ce n'est pas le sujet, il s'agit de savoir ce qui vous ferait plaisir...)
Merci de votre participation
(J'ai posté un sujet similaire dans "on stage / backstage)
Orthophoniste depuis 2003, j'ai finalisé en 2013 une formation "ingénieur du son".
Lors de cette formation, j'ai pris conscience des caractéristiques vocales spécifiques demandées aux chanteurs lors des concerts.
En orthophonie, en cas de souci vocal, nous proposons une rééducation plus ou moins "classique" qui malheureusement ne fait pas le poids face aux situations concrètes vécues par un chanteur:
- Lorsqu'il est dans un studio insonorisé, par exemple. Avec son casque sur la tête et le Talk-Back pour tout contact avec l'extérieur, ses repères sont totalement différents.
- Ou bien lorsqu'il doit garder son sang-froid en balance, entre son collègue grateux qui monte son ampli et l'ingé-son derrière sa console.
J'ai eu la chance d'entrer en contact avec des professionnels chaleureux et passionnants, à travers mes cours, mes stages et autres conférences ou tables rondes.
Des personnalités bien loin des archétypes de "l'ingé-son borné". Des individus rigoureux et exigeants, certes mais surtout passionnés.
Et viscéralement concernés par le chemin du signal, cherchant toujours à trouver LA bonne configuration.
Celle qui offre au chanteur cet instant magique du "Wouaaah, c'est ma voix, ça ?!!"
Ayant travaillé sur la mémoire de travail et l'impact de l'environnement sur sa mobilisation lors de mon mémoire d'orthophonie, je souhaite mettre des exercices plus concrets avec des éléments perturbateurs / facilitateurs. Et aller plus loin en proposant des jeux de rôle, où je suis le chanteur et où il est l'ingénieur du son pour travailler sur les représentations mentales qu'il peut avoir sur cette profession.
J'aurais ainsi matière à travailler avec lui sur les places que chacun doit occuper pour que le projet se déroule au mieux.
J'ouvre ce sujet pour vous poser ces questions :
qu'est-ce qui vous ferait plaisir de voir chez un chanteur en sonorisation (depuis la fiche technique jusqu'à la presta en passant par la balance et les backstages)
et/ou en session de REC (depuis l'envoi ou pas de la maquette jusqu'à la façon de patienter pour la prise en passant par les vocalises et attitude avant / pendant / après le REC) ?
Et à l'inverse, qu'est-ce qui vous exaspère?
(oui, je sais, ça fait pas mal de questions mais je suis orthophoniste, alors vous savez, le blablabla, c'est mon dada et on est bien d'accord : c'est la même question, en fait, en symétrie, c'est tout et de toutes façons, ce n'est pas le sujet, il s'agit de savoir ce qui vous ferait plaisir...)
Merci de votre participation
Marianne TONDAT
OrthophonisteTechnicienne son
http://www.orthoson.fr
Portable: 06.63.82.06.56
Marianne TONDAT
68
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 11 ans
21 Posté le 11/02/2014 à 15:08:04
mmelot : J'adore ! Merci beaucoup de tous ces conseils avisés et pratiques !
Tu me confortes dans l'idée que "moins, c'est mieux".
Les réglages par la surenchère, c'est terriblement dangereux (c n'est pas une solution + ça peut avoir de vraies répercussions sur l'audition de manière définitive : baisse de l'audition, acouphènes, sensibilité exacerbée...)
Tu parles de bouchons atténuateurs, pas de retour in-ears, on est bien d'accord? Pourquoi ce choix, d'ailleurs? Quel type de filtres?
Cette connaissance de votre "son" s'est faite sur le tas ou vous avez posé les choses en résidence? Ou un peu des deux ?
Tu me confortes dans l'idée que "moins, c'est mieux".
Les réglages par la surenchère, c'est terriblement dangereux (c n'est pas une solution + ça peut avoir de vraies répercussions sur l'audition de manière définitive : baisse de l'audition, acouphènes, sensibilité exacerbée...)
Tu parles de bouchons atténuateurs, pas de retour in-ears, on est bien d'accord? Pourquoi ce choix, d'ailleurs? Quel type de filtres?
Cette connaissance de votre "son" s'est faite sur le tas ou vous avez posé les choses en résidence? Ou un peu des deux ?
Marianne TONDAT
OrthophonisteTechnicienne son
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-Livingroom-
6738
Je poste, donc je suis
Membre depuis 14 ans
22 Posté le 11/02/2014 à 18:17:52
Citation :
Tu me confortes dans l'idée que "moins, c'est mieux".
Ca dépend de quoi on parle, un ampli poussé à fond, au niveau son, c'est mieux , un retour digne de ce nom aussi, tant que tu ne te détruis pas les esgourdes! Mais dans l'ensemble je suis tout d'accord avec toi.
Citation :
Tu parles de bouchons atténuateurs, pas de retour in-ears, on est bien d'accord? Pourquoi ce choix, d'ailleurs? Quel type de filtres?
On parle bien de ear plugs, et pas de retours in ear (je déteste ça personnellement, je trouve que ça enlève toute essence à une scène, sauf cas exceptionnel), j'en ai testé plusieurs, j'avais commencé avec des Pianissimo -25db (moulés à mon oreille), mais l'atténuation était trop forte, et les basses donnaient l'impression d'être amplifiées, ce qui est terriblement dangereux quand on parle de musique... Bref, -25db c'est à mon avis trop, ça convient pour des chantiers, ou à la rigueur pour aller voir des artistes américains qui mettent tout à fond! Du coup aujourd'hui j'en suis resté à des "acou-fun" (jeu de mot douteux pour des bouchons ^^), non moulés, -9db mais dont la réponse en fréquence est assez équilibrée.
Pourquoi ce choix? Pour protéger mes oreilles et parce qu'en répète ou même en concert on est exposé longuement au son, et ça a ses dangers, puis ça fatigue physiquement aussi.
En revanche il est évident que pour un sonorisateur les bouchons sont proscrits, peu importe la qualité de ces derniers, car on ne perçoit pas le son de la même manière. Il en va de même pour un guitariste lorsqu'il règle son ampli par exemple. Dans toutes les phases de réglages, on doit avoir l'oreille aussi nue que le public, sous peine de son horrible.
Citation :
Cette connaissance de votre "son" s'est faite sur le tas ou vous avez posé les choses en résidence? Ou un peu des deux
Je suppose un peu des deux, on a la chance d'avoir une longévité appréciable pour un groupe (plus de 10 ans, on a commencé au collège), donc on a écouté peu ou prou les mêmes choses, et on a eu le temps d'avoir de longues discussions sur le son qu'on voulait (au niveau équilibre des sources j'entends, parce que la recherche du son, de l'identité sonore du groupe est encore et toujours en cours), à savoir la voix, les guitares et la batterie bien en avant, comme un groupe de rock, et les autres instruments (percus, claviers, cuivres) en appoint, la subtilité du groupe en somme.
Après c'est aussi un énorme travail de résidence oui, on ne fait quasiment plus de répètes, on préfère louer une salle de spectacle qu'on connaît bien, sur quelques jours afin d'être sur de ce qu'on travail musicalement parlant.
D'ailleurs je suis en résidence dès demain, sur deux semaines, pour travailler notre nouveau spectacle, donc dans un premier temps dans une salle "petite" de 150 places, puis dans la SMAC de notre ville (1200 places), notamment pour le travail des lumières, puis on terminera par une dernière résidence dans un lieu qu'on ne connaît pas (une salle dans un autre département, dans laquelle on a jamais joué, pour ne pas se faire avoir par nos repères et habitudes, l'année dernière par exemple c'était la SMAC de Tulle).
On fait aussi de la résidence pour de la pré-production quand on part sur un album (donc 10 résidences à ce sujet l'an dernier, une par mois environ).
Voilà donc l'étendue du travail, qui explique cette cohésion entre les membres, finalement.
En espérant que c'est clair et que ça ne paraît pas trop "je me la racle", parce que je le dis vraiment sans vantardise!
Marianne TONDAT
68
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 11 ans
23 Posté le 18/02/2014 à 14:11:17
Je n'ai pas eu ce sentiment que tu te la pétais, il faut s'en vouloir parce qu'on fait les choses intelligemment dans ce bas monde?
Je retiens plusieurs choses:
- Tu te protèges les oreilles et ça c'est plutôt super top.
En concert, évidemment, en répèt' surtout (bon vous vous organisez surtout en résidence mais c'est pour ceux qui liront cette réponse) et dans toutes les situations d'écoute de musique amplifiée (concert, boîtes...).
( Oh oui, je vous vois tout de suite réagir : "Kwouuuuaaaaaa ?!! On ne va pas mettre des bouchons en boîte, elle est dingue ?!!!" )
Faites comme voul'voul' mais la législation en vigueur limite ces lieux à 105 dB (et ce n'est pas toujours suivi d'effets). Or le son devient nocif à partir de 90 dB, avec risque de traumatisme auditif (perte d'audition,acouphènes, hyper-sensibilité au bruit...) et une exposition prolongée (plusieurs heures) abîme à coup sûr les cellules ciliées de l'oreille interne sans aucun moyen de les récupérer par la suite. Elles sont vouées à disparaître mais accélérer leur disparition n'est pas très prudent. On va perdre des fréquences, en particulier dans les aigus. Les sons nous paraîtrons alors plus "fermés", "étouffés"... D'où des réglages difficiles en perspective !!
Donc ma question "pourquoi ce choix" ne portait pas sur la protection en tant que telle mais plutôt le filtre VS le in-ear.
La réponse sur ton choix de filtre ensuite :
- Les filtres sur-mesure ne sont pas remboursés mais peuvent être prescrits par le médecin généraliste ou l'ORL. Si vous travaillez dans le milieu du spectacle, renseignez-vous auprès de vos mutuelles: certaines prennent en charge une partie du coût.
- Il faut en essayer plusieurs pour trouver le bon, selon ses goûts et sa pratique. Je suis tombée sur un bon article de comparaison
https://www.lesoreilles.com/articles/GP184_084-91_Comparatif_Protections_Auditives.pdf
qui a l'avantage de ne pas avoir été commandé par tel ou tel labo de filtres ET que les testeurs soient des pros du son. Vous y piocherez certainement de bons conseils.
Ensuite, sachez que vous pouvez les essayer et les renvoyer s'ils ne conviennent pas. Ou que vous pouvez changer les filtres de certains selon les conditions d'usage.
Protégez-vous en tous cas et en cas de doute (gêne qui persiste le lendemain), allez consulter en urgence au service hospitalier ORL le plus proche. Certains traitements permettent de minimiser le traumatisme subi par les cellules ciliées. ça vaut le coup d'essayer...
- La résidence VS la répétition:
C'est vrai que ça semble couler de source... Mais que dans les faits, ce n'est pas si simple. Pourtant, ça semble si lié dans ton témoignage (résidence = calme pour poser à plat = le temps d'essayer de trouver le meilleur son = serein dans les dates ensuite, certain de ce que l'on veut cherche...). ça donne envie
+ l'ingé-son dans le groupe.
Ah, ça, c'est quitte ou double !! Je pense que certains pourraient raconter comme ça peut desservir le groupe quand le gars se fait baby-sitter par le régisseur de la salle et qu'arrive "LE CONFLIT D'EGO"
Heureusement, parfois ça se passe bien !!
Merci de tes réponses en tous cas !
Je retiens plusieurs choses:
- Tu te protèges les oreilles et ça c'est plutôt super top.
En concert, évidemment, en répèt' surtout (bon vous vous organisez surtout en résidence mais c'est pour ceux qui liront cette réponse) et dans toutes les situations d'écoute de musique amplifiée (concert, boîtes...).
( Oh oui, je vous vois tout de suite réagir : "Kwouuuuaaaaaa ?!! On ne va pas mettre des bouchons en boîte, elle est dingue ?!!!" )
Faites comme voul'voul' mais la législation en vigueur limite ces lieux à 105 dB (et ce n'est pas toujours suivi d'effets). Or le son devient nocif à partir de 90 dB, avec risque de traumatisme auditif (perte d'audition,acouphènes, hyper-sensibilité au bruit...) et une exposition prolongée (plusieurs heures) abîme à coup sûr les cellules ciliées de l'oreille interne sans aucun moyen de les récupérer par la suite. Elles sont vouées à disparaître mais accélérer leur disparition n'est pas très prudent. On va perdre des fréquences, en particulier dans les aigus. Les sons nous paraîtrons alors plus "fermés", "étouffés"... D'où des réglages difficiles en perspective !!
Donc ma question "pourquoi ce choix" ne portait pas sur la protection en tant que telle mais plutôt le filtre VS le in-ear.
La réponse sur ton choix de filtre ensuite :
- Les filtres sur-mesure ne sont pas remboursés mais peuvent être prescrits par le médecin généraliste ou l'ORL. Si vous travaillez dans le milieu du spectacle, renseignez-vous auprès de vos mutuelles: certaines prennent en charge une partie du coût.
- Il faut en essayer plusieurs pour trouver le bon, selon ses goûts et sa pratique. Je suis tombée sur un bon article de comparaison
https://www.lesoreilles.com/articles/GP184_084-91_Comparatif_Protections_Auditives.pdf
qui a l'avantage de ne pas avoir été commandé par tel ou tel labo de filtres ET que les testeurs soient des pros du son. Vous y piocherez certainement de bons conseils.
Ensuite, sachez que vous pouvez les essayer et les renvoyer s'ils ne conviennent pas. Ou que vous pouvez changer les filtres de certains selon les conditions d'usage.
Protégez-vous en tous cas et en cas de doute (gêne qui persiste le lendemain), allez consulter en urgence au service hospitalier ORL le plus proche. Certains traitements permettent de minimiser le traumatisme subi par les cellules ciliées. ça vaut le coup d'essayer...
- La résidence VS la répétition:
C'est vrai que ça semble couler de source... Mais que dans les faits, ce n'est pas si simple. Pourtant, ça semble si lié dans ton témoignage (résidence = calme pour poser à plat = le temps d'essayer de trouver le meilleur son = serein dans les dates ensuite, certain de ce que l'on veut cherche...). ça donne envie
+ l'ingé-son dans le groupe.
Ah, ça, c'est quitte ou double !! Je pense que certains pourraient raconter comme ça peut desservir le groupe quand le gars se fait baby-sitter par le régisseur de la salle et qu'arrive "LE CONFLIT D'EGO"
Heureusement, parfois ça se passe bien !!
Merci de tes réponses en tous cas !
Marianne TONDAT
OrthophonisteTechnicienne son
http://www.orthoson.fr
Portable: 06.63.82.06.56
-Livingroom-
6738
Je poste, donc je suis
Membre depuis 14 ans
24 Posté le 18/02/2014 à 19:51:28
Citation :
+ l'ingé-son dans le groupe.
Ah, ça, c'est quitte ou double !! Je pense que certains pourraient raconter comme ça peut desservir le groupe quand le gars se fait baby-sitter par le régisseur de la salle et qu'arrive "LE CONFLIT D'EGO"
Heureusement, parfois ça se passe bien !!
Alors là aussi, la diplomatie fait partie intégrante du métier d'ingé son, live ou studio. Mais, de ma petite expérience, lorsqu'un ingé son est digne de ce nom, et qu'il fait son travail correctement (voire qu'il a son propre matériel), ça rassure vite l'ingé d'accueil frileux de prêter son matériel.
Récemment, pour exemple, en Angleterre, on s'est retrouvés avec un gars qui refusait de laisser notre ingé faire le son, soit disant en raison d'un arrêté préfectoral, qu'il aurait une licence pour faire du son et qu'il risquait de la perdre en cas de contrôle etc... Notre ingé a dit d'accord, mais a eu un tel niveau d'exigence (ce que je qualifierais un niveau normal pour un groupe calé avec son propre matériel) que finalement le mec de la salle lui a laissé les manettes (signifiant au passage que le soit disant arrêté est surement fictif!).
Mais bref, quand l'ingé son se comporte de façon raisonnable, il évite souvent les conflits (ça n'empêche jamais de tomber sur un vrai trou du cul, mais c'est fort heureusement rare).
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