réactions à la news Saison 58 des 'Compositions Inspirées'
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... 
patrick_g75
8688
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
(Pour causer...)
Certes, et c'est sans doute ce que nous cherchons tous : une identité qui nous distingue.
Bien entendu, je pense que tu reconnaîtras aussi que nous sommes tous traversés de tous côtés par toutes sortes d'influences, choisies ou subies, ce qui fait, d'ailleurs, que notre identité est constituée de quelque chose que nous pouvons partager avec beaucoup d'autres...
Heureusement d'ailleurs car, sinon, comment pourrions-nous être "reconnus" ?
Si nous étions pourvus d'une identité trop absolument distincte, nous serions sans doute seulement "singuliers", jusqu'à ne plus pouvoir être jamais "partageable", si je peux dire.
*
Ce préambule étant posé... ce qui me semble intéressant est de parvenir à bien caractériser cette identité de chacun.
Et c'est pourquoi je me suis arrêté ici sur cette notion de l'épique, mise en avant par Celestin pour caractériser ta "patte sonore", ton "univers".
Elle me semble d'ailleurs tout à fait pertinente, quoique nécessairement de façon uniquement métaphorique : je suis de ceux qui ne pensent la musique que... musicalement.
Je ne sais pas si tu es épique à proprement parler, je veux dire : selon ce que signifie "épique" dans la littérature.
Par contre, la façon dont tu poses tes thèmes, mélodico-rythmiques ou autres, dont tu les développes, dont tu les enchaînes et articules, cela compose toujours une forme large, pleine, qui va jusqu'au bout de ce qu'elle promet, si je peux dire. Bref, une forme que l'on peut ressentir comme épique !
Néanmoins, l'épique n'en devient pas pour cela une catégorie musicale.
Il ne faut pas confondre ce par quoi on peut légitimement définir ce que l'on ressent, et ce par quoi on peut définir objectivement ce qui provoque ce ressenti.
*
Bien entendu, comme tout le monde je crois, mon inspiration peut trouver sa source dans toutes sortes de situations, sentimentales ou philosophiques, cinématographiques ou...simplement photographiques, etc.
Mais, ce qui fait la décision, dans l'acte de la composition, c'est toujours, en définitive, le musical. Les relations purement musicales.
C'est d'ailleurs pourquoi, de mon côté, je préfère parler d'une identité plus "musicale" que "sonore". Mais je ne vais pas me lancer maintenant, ici, dans ce genre de discussion.
Citation de multiform :
@patrick_g75
Je pense qu'on a tous développé une identité sonore, depuis le temps que j'écoute les compos proposées je pense que je pourrais reconnaitre un morceau de LaGuibole, Patrick, Thomas, Celestin, et bien d'autres.... chacun possédant sa "patte" sonore et son univers.
Certes, et c'est sans doute ce que nous cherchons tous : une identité qui nous distingue.
Bien entendu, je pense que tu reconnaîtras aussi que nous sommes tous traversés de tous côtés par toutes sortes d'influences, choisies ou subies, ce qui fait, d'ailleurs, que notre identité est constituée de quelque chose que nous pouvons partager avec beaucoup d'autres...
Heureusement d'ailleurs car, sinon, comment pourrions-nous être "reconnus" ?
Si nous étions pourvus d'une identité trop absolument distincte, nous serions sans doute seulement "singuliers", jusqu'à ne plus pouvoir être jamais "partageable", si je peux dire.
*
Ce préambule étant posé... ce qui me semble intéressant est de parvenir à bien caractériser cette identité de chacun.
Et c'est pourquoi je me suis arrêté ici sur cette notion de l'épique, mise en avant par Celestin pour caractériser ta "patte sonore", ton "univers".
Elle me semble d'ailleurs tout à fait pertinente, quoique nécessairement de façon uniquement métaphorique : je suis de ceux qui ne pensent la musique que... musicalement.
Je ne sais pas si tu es épique à proprement parler, je veux dire : selon ce que signifie "épique" dans la littérature.
Par contre, la façon dont tu poses tes thèmes, mélodico-rythmiques ou autres, dont tu les développes, dont tu les enchaînes et articules, cela compose toujours une forme large, pleine, qui va jusqu'au bout de ce qu'elle promet, si je peux dire. Bref, une forme que l'on peut ressentir comme épique !
Néanmoins, l'épique n'en devient pas pour cela une catégorie musicale.
Il ne faut pas confondre ce par quoi on peut légitimement définir ce que l'on ressent, et ce par quoi on peut définir objectivement ce qui provoque ce ressenti.
*
Bien entendu, comme tout le monde je crois, mon inspiration peut trouver sa source dans toutes sortes de situations, sentimentales ou philosophiques, cinématographiques ou...simplement photographiques, etc.
Mais, ce qui fait la décision, dans l'acte de la composition, c'est toujours, en définitive, le musical. Les relations purement musicales.
C'est d'ailleurs pourquoi, de mon côté, je préfère parler d'une identité plus "musicale" que "sonore". Mais je ne vais pas me lancer maintenant, ici, dans ce genre de discussion.
"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... " (Montaigne / Essais I / chap L)
http://patrickg75.blogspot.fr/
https://patrickg.bandcamp.com/
Prodd
1109
AFicionado·a
Membre depuis 5 ans
Ah SI, SI, SI.
Maintenant que t'as commencer
Maintenant que t'as commencer
LaGuibole
2998
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
Ne le pousse pas ,… les serveurs d’AF vont exploser 
patrick_g75
8688
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
J'en vois qui me provoquent...
"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... " (Montaigne / Essais I / chap L)
http://patrickg75.blogspot.fr/
https://patrickg.bandcamp.com/
LaGuibole
2998
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
... Campbieil
771
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 4 ans
Campbieil : Le clown, la mauviette et l'andouille
https://soundcloud.com/user-257593967/le-clown-la-mauviette-et-landouille?utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing
Au début elle s'appelait simplement "le clown" puis "la mauviette" et finalement "l'andouille", mais ici pas de duels de pistoleros !
Paroles :
https://soundcloud.com/user-257593967/le-clown-la-mauviette-et-landouille?utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing
Au début elle s'appelait simplement "le clown" puis "la mauviette" et finalement "l'andouille", mais ici pas de duels de pistoleros !
Paroles :
Doc Sticko
1578
AFicionado·a
Membre depuis 9 ans
Campbieil:
20/20!!!
EXCELLENTISSIME
20/20!!!
EXCELLENTISSIME
Celest1
4650
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 8 ans
Campbieil : Le clown, la mauviette et l'andouille : Serious song ! c'est vraiment bien construit !! oh punaise d'accord avec Doc , une piste d'élite pour décrocher un podium ..
101112
multiform
15286
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
@ Campbieil
C'est très bon, bravo
C'est très bon, bravo
Campbieil
771
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 4 ans
Merci pour vos retours encourageants !
Pour une fois, je n'ai pas été influencé, moi qui ai tendance à faire l'éponge et a régurgité des trucs que j'écoute.
Sans fausse modestie, je pense que c'est l'un de mes meilleurs (bon, en même temps il n'y en a pas des tonnes non plus !
)
J'ai voulu faire une voix un peu "tremblante, apeurée", je sais pas si ça fonctionne vraiment ?
J'ai aussi pris du plaisir à écrire les paroles, cette photo m'a inspirée mes peurs enfantines.
Pour l'anecdote, quand j'étais gamin (6/7 ans), je faisais des hallucinations nocturnes, et je voyais des insectes qui rampaient sur mon lit ; Je me cachais alors sous les draps !
Puis un jour je me suis dis : " t'es grand maintenant, ces bestioles n'existent pas", et j'ai eu " le courage" de les balayer d'un revers du bras : plus aucune hallucinations après ça !
Le toubib a dit à mes parents que les histoires que me racontait mon oncle avaient déclenché ces hallucinations.
La famille de barrés !
Pour une fois, je n'ai pas été influencé, moi qui ai tendance à faire l'éponge et a régurgité des trucs que j'écoute.
Sans fausse modestie, je pense que c'est l'un de mes meilleurs (bon, en même temps il n'y en a pas des tonnes non plus !
)J'ai voulu faire une voix un peu "tremblante, apeurée", je sais pas si ça fonctionne vraiment ?
J'ai aussi pris du plaisir à écrire les paroles, cette photo m'a inspirée mes peurs enfantines.
Pour l'anecdote, quand j'étais gamin (6/7 ans), je faisais des hallucinations nocturnes, et je voyais des insectes qui rampaient sur mon lit ; Je me cachais alors sous les draps !
Puis un jour je me suis dis : " t'es grand maintenant, ces bestioles n'existent pas", et j'ai eu " le courage" de les balayer d'un revers du bras : plus aucune hallucinations après ça !
Le toubib a dit à mes parents que les histoires que me racontait mon oncle avaient déclenché ces hallucinations.
La famille de barrés !
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