Au fait, je ne t’ai rien dit sur Girouette (j’ai eu un mal fou à l’ouvrir, ce truc, alors qu’il suffit de média player de windows. La viande est bête). Il est peut-être plus «lèger», détendu, que Fergbo et Grind, moins menaçant aussi - il y a donc moyen d’écouter du GreyA sans s’hystériser ou se manger les mains - mais bon on n’est pas là pour rigoler non plus : La dominante noire, le travail au corps, la dislocation, le ânonnement, il y a matière à se ramasser, à se ratatiner dans l’obscurité. Parce que je dis «détendu», mais ce n’est vrai que tant que le morceau installe des glouglous et des voilages métalliques. Je fais moins le malin à mi-parcours avec l’entrée de ce son de scie circulaire voilée, rouillée, au ralenti, qui est proprement usant. Ca reste une épreuve. Bref j’aime beaucoup.
Merci,sojac,j'aime beaucoup tes commentaires plein de poesie et bien imagés.Mais ,mes prochaines compos oscilleron entre du bruit (beaucoup plus bruitiste) et des choses plus legere(j'aime le paradox).
je vais mieux donc pas mal de choses sont rentrées ds l'ordre,meme si j'ai une atirance pour le bruit,le dark evident me casse les co...les.