il me semble aussi que l'esprit des gars du CNRS n'est pas de remplacer à terme les luthier, mais plutôt de leur fournir des éléments de connaissance plus complets et objectifs pour réaliser leurs instruments.
Et peut être même que tous les développeurs d'instruments virtuels pourront aussi mettre en application ces équations.
et peut être qu'au delà de la facture d'instruments, on ne sait pas si leurs cherches ne vont pas trouver des applications dans d'autres domaines? par exemple l'acoustique dans les bâtiments?
c'est de l'argent public, mais il faut penser à l'investissement sur le long terme. c'est là que ça devient intéressant.