Sujet Combien de fois amoureux dans votre vie?
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Jules Joffrin
22971
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
Sujet de la discussion Posté le 04/08/2005 à 15:03:08Combien de fois amoureux dans votre vie?
karmasonik
2862
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
341 Posté le 18/08/2005 à 10:58:32
Ca aurait plus d'impact si y avait des images
Enfin, j'dis ca, j'dis rien hein
Enfin, j'dis ca, j'dis rien hein
oreillegauche
325
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 20 ans
342 Posté le 18/08/2005 à 11:06:17
Citation : Ca aurait plus d'impact si y avait des images
Enfin, j'dis ca, j'dis rien hein
Euh oui enfin pas tout à fait d'accord ... si tes gouts sont pas les siens, ca va faire perdre tout le charme à l'histoire ... peut -être qu'en fait, l'italienne typique , c'est la Mama
Le pelage de la loutre est impénétrable
sickfuzz
5142
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
343 Posté le 18/08/2005 à 11:13:43
Pour moi , quand on parle d'italienne typique genre haut de gamme , je pense tout de suite à Monica
karmasonik
2862
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
344 Posté le 18/08/2005 à 11:27:09
Sickfuzz il a tout compris
oreillegauche
325
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 20 ans
345 Posté le 18/08/2005 à 11:41:36
Citation : Pour moi , quand on parle d'italienne typique genre haut de gamme , je pense tout de suite à Monica
Lol oui mais dans le genre haut de gamme, y'a l'option qui choque :
Le pelage de la loutre est impénétrable
Ça c'est kloug
14376
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
346 Posté le 18/08/2005 à 11:58:21
Ben on a les mêmes goûts alors !
Ça c'est kloug
14376
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
347 Posté le 18/08/2005 à 11:58:32
Mon 2ème grand amour
J'étais en retard au rendez-vous. Ce n'est pas une question de tactique, c'est une question d'habitude. Je crois que j'avais une bonne demie-heure dans le vent, mais je lui ai tout de suite téléphoné pour m'en excuser et pour ça, le portable, c'est génial.
C'était une fille divine, souriante, rieuse... et j'adore faire rire. je fais mon pitre, de l'auto-dérision et j'oublie tout le caractère de séduction de l'instant. Ça, je crois que ça m'aide beaucoup. Chaque fois que je cherche à séduire, je me prends une gaufre bien épaisse. Quand la fille est jolie, je pars sur le postulat inverse à celui des "bronzés" : je me dis que je n'ai aucune chance, alors autant passer un moment sympa. Du coup, je suis naturel et ça marche (mieux).
Elle se prend au jeu et nous rions tout deux de nous même mais comme j'ai une répétition, nous écourtons la discussion et je la dépose au métro.
Je débarque en répétition à peine en retard.
"Vous savez les mecs, j'ai rencontré une fille superbe. Ça faisait longtemps ! Bon ça ne donnera rien, mais ça fait toujours plaisir à voir. Et puis elle est drôle, pas conne, une jolie voix."
C'est vrai qu'elle avait une voix douce. Selon les moments, quand elle me disait Léo (je ne m'appelle pas kloug en fait...) elle le prononçait chaque syllabes à la noire sur Fa-Mi ou sur Sol-Mi presque sans timbre avec une tendresse à vous glacer l'échine.
Elle aimait séduire. Elle aimait voir qu'elle faisait craquer. Et toujours plus, et elle usait de tous les moyens pour ça.
J'ai attendu le texto, car j'en reçois presque toujours un après. Mais là rien. J'attends, mais le samedi je la rappelle. Elle me dit qu'elle ne peut pas me parler par qu'elle est avec sa famille et ses enfants.
"- Hein ? Tu as des enfants ?"
"- Mais oui, deux ! Je te l'ai dit pourtant !" fait-elle fermement
"- Ah euh. Ah bon, euh... c'est cool hein... chouette, des enfants... euh... "
"- Bon, je ne peux pas te parler, on se voit demain si tu veux" reprend-elle d'une voix presque enjouée.
Bon sang, elle est marrante, elle ne m'avait rien dit pour les gosses.
On s'est donné rendez-vous à la Bastille, devant l'Opéra. J'avais réussi à être à l'heure mais je n'avais pas déjeuner pour y parvenir !
C'était dimanche. 15 heures. Elle était souriante et moi j'avais faim.
On a marché pour chercher un café un peu peinard où on pourrait discuter agréablement. Généralement, quand peut revoir une fille, c'est qu'elle a une attirance, alors ce n'est pas la peine de se frapper, tout va se passer tout seul. Mais voilà qu'elle pique un coup de stress :
"- On va marcher encore longtemps ?"
"- Bien écoute, je n'en sais rien. On voulais un café un peu calme, là c'est le début de la rue de la roquette, c'est bondé. En plus, on s'est donné rendez-vous pour se ballader..."
"- Oui, mais moi j'ai soif" répond-elle sèchement.
"- Tu sais, on va où tu veux" lui fis-je avec un grand sourire et un ton pour détendre l'instant
"- Bien au début, il y en avait un"
On y retourne et on commande un coca. Je me mets à déconner sur le serveur hyper barraqué et sur mes bras de sauterelle. (par rapport à lui, toute personne n'ayant pas passé 10 ans sur les bancs de musculations aurait l'air chétif)
Elle m'a demandé si je croyais à l'amitié entre homme et femme, je lui ai dis que non. Puis elle s'est détendue et je l'ai retrouvé souriante et joueuse. Puis nous nous sommes balladés pendant des heures. Nous sommes allé au père Lachaise.
Je suis dit qu'elle était d'une rare inconstance. J'avais compris que s'étais le genre de fille à éviter. Déjà le coup des gosses qu'elle ne m'avait pas dit, le chaud-froid qu'elle venait de me faire... le passé qu'elle me racontait avec le père de ses enfants, tout concordait sur le profil de personne sur lesquels tout glisse et seul l'instant compte quelque soit les conséquences.
Nous nous sommes assis sur le bord d'un escalier. Un couple est passé sous nos yeux, ils se sont pris la main et se sont embrassés.
Elle, elle se rapproche tout contre moi. Là je flippe grave. Je commence à transpirer, j'ai vachement faim. Je crois que je vais tomber dans les pommes tellement j'ai faim (je fais un peu d'hypoglycémie, mais en plus je n'ai toujours pas mangé de la journée).
Je lui explique que je ne me sens pas très bien et nous nous rabattons vers un troquet où je dévalise tout ce qu'il y a à manger. Je me dis que tout se passe bien, et que ça m'a sauvé de ses griffes. Je vais la raccompagner et je me sauve chez moi. Je sais que c'est une connerie tant elle a du charme, mais ça vaut mieux pour moi. Il vaut mieux se prendre la tête une semaine et zaper une histoire à risque que de morfler comme un âne.
Je l'ai raccompagné. En bas de chez elle, elle a détourné mon visage lorsque je lui faisais la bise.
Elle m'a embrassé.
Toutes mes réticences se sont éteintes.
À cet instant même j'étais devenu sont objet. Complètement dévolu à son plaisir et à ses jeux.
Bref...
J'étais foutu.
J'étais en retard au rendez-vous. Ce n'est pas une question de tactique, c'est une question d'habitude. Je crois que j'avais une bonne demie-heure dans le vent, mais je lui ai tout de suite téléphoné pour m'en excuser et pour ça, le portable, c'est génial.
C'était une fille divine, souriante, rieuse... et j'adore faire rire. je fais mon pitre, de l'auto-dérision et j'oublie tout le caractère de séduction de l'instant. Ça, je crois que ça m'aide beaucoup. Chaque fois que je cherche à séduire, je me prends une gaufre bien épaisse. Quand la fille est jolie, je pars sur le postulat inverse à celui des "bronzés" : je me dis que je n'ai aucune chance, alors autant passer un moment sympa. Du coup, je suis naturel et ça marche (mieux).
Elle se prend au jeu et nous rions tout deux de nous même mais comme j'ai une répétition, nous écourtons la discussion et je la dépose au métro.
Je débarque en répétition à peine en retard.
"Vous savez les mecs, j'ai rencontré une fille superbe. Ça faisait longtemps ! Bon ça ne donnera rien, mais ça fait toujours plaisir à voir. Et puis elle est drôle, pas conne, une jolie voix."
C'est vrai qu'elle avait une voix douce. Selon les moments, quand elle me disait Léo (je ne m'appelle pas kloug en fait...) elle le prononçait chaque syllabes à la noire sur Fa-Mi ou sur Sol-Mi presque sans timbre avec une tendresse à vous glacer l'échine.
Elle aimait séduire. Elle aimait voir qu'elle faisait craquer. Et toujours plus, et elle usait de tous les moyens pour ça.
J'ai attendu le texto, car j'en reçois presque toujours un après. Mais là rien. J'attends, mais le samedi je la rappelle. Elle me dit qu'elle ne peut pas me parler par qu'elle est avec sa famille et ses enfants.
"- Hein ? Tu as des enfants ?"
"- Mais oui, deux ! Je te l'ai dit pourtant !" fait-elle fermement
"- Ah euh. Ah bon, euh... c'est cool hein... chouette, des enfants... euh... "
"- Bon, je ne peux pas te parler, on se voit demain si tu veux" reprend-elle d'une voix presque enjouée.
Bon sang, elle est marrante, elle ne m'avait rien dit pour les gosses.
On s'est donné rendez-vous à la Bastille, devant l'Opéra. J'avais réussi à être à l'heure mais je n'avais pas déjeuner pour y parvenir !
C'était dimanche. 15 heures. Elle était souriante et moi j'avais faim.
On a marché pour chercher un café un peu peinard où on pourrait discuter agréablement. Généralement, quand peut revoir une fille, c'est qu'elle a une attirance, alors ce n'est pas la peine de se frapper, tout va se passer tout seul. Mais voilà qu'elle pique un coup de stress :
"- On va marcher encore longtemps ?"
"- Bien écoute, je n'en sais rien. On voulais un café un peu calme, là c'est le début de la rue de la roquette, c'est bondé. En plus, on s'est donné rendez-vous pour se ballader..."
"- Oui, mais moi j'ai soif" répond-elle sèchement.
"- Tu sais, on va où tu veux" lui fis-je avec un grand sourire et un ton pour détendre l'instant
"- Bien au début, il y en avait un"
On y retourne et on commande un coca. Je me mets à déconner sur le serveur hyper barraqué et sur mes bras de sauterelle. (par rapport à lui, toute personne n'ayant pas passé 10 ans sur les bancs de musculations aurait l'air chétif)
Elle m'a demandé si je croyais à l'amitié entre homme et femme, je lui ai dis que non. Puis elle s'est détendue et je l'ai retrouvé souriante et joueuse. Puis nous nous sommes balladés pendant des heures. Nous sommes allé au père Lachaise.
Je suis dit qu'elle était d'une rare inconstance. J'avais compris que s'étais le genre de fille à éviter. Déjà le coup des gosses qu'elle ne m'avait pas dit, le chaud-froid qu'elle venait de me faire... le passé qu'elle me racontait avec le père de ses enfants, tout concordait sur le profil de personne sur lesquels tout glisse et seul l'instant compte quelque soit les conséquences.
Nous nous sommes assis sur le bord d'un escalier. Un couple est passé sous nos yeux, ils se sont pris la main et se sont embrassés.
Elle, elle se rapproche tout contre moi. Là je flippe grave. Je commence à transpirer, j'ai vachement faim. Je crois que je vais tomber dans les pommes tellement j'ai faim (je fais un peu d'hypoglycémie, mais en plus je n'ai toujours pas mangé de la journée).
Je lui explique que je ne me sens pas très bien et nous nous rabattons vers un troquet où je dévalise tout ce qu'il y a à manger. Je me dis que tout se passe bien, et que ça m'a sauvé de ses griffes. Je vais la raccompagner et je me sauve chez moi. Je sais que c'est une connerie tant elle a du charme, mais ça vaut mieux pour moi. Il vaut mieux se prendre la tête une semaine et zaper une histoire à risque que de morfler comme un âne.
Je l'ai raccompagné. En bas de chez elle, elle a détourné mon visage lorsque je lui faisais la bise.
Elle m'a embrassé.
Toutes mes réticences se sont éteintes.
À cet instant même j'étais devenu sont objet. Complètement dévolu à son plaisir et à ses jeux.
Bref...
J'étais foutu.
Dom Janvier
25841
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
348 Posté le 18/08/2005 à 12:13:15
Au fait.
Information secondaire et parfaitement inutile pour"Ca c'est Kloug" :
tes aventures sentimentales, perso, je m'en fou.
Mais ca n'engage que moi
Information secondaire et parfaitement inutile pour"Ca c'est Kloug" :
tes aventures sentimentales, perso, je m'en fou.
Mais ca n'engage que moi
oreillegauche
325
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 20 ans
349 Posté le 18/08/2005 à 12:30:13
Tu devrais écrire des nouvelles pour un magasine féminin, tu ferais un tabac
Le pelage de la loutre est impénétrable
Oranisz Amenovicz
6562
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
350 Posté le 18/08/2005 à 12:41:24
Kloug, quel sens de la narration !!
+1 000 !!
Citation : Quand la fille est jolie, je pars sur le postulat inverse à celui des "bronzés" : je me dis que je n'ai aucune chance, alors autant passer un moment sympa. Du coup, je suis naturel et ça marche (mieux).
+1 000 !!
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