Combien de fois amoureux dans votre vie?
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Jules Joffrin
22971
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
Sujet de la discussion Posté le 04/08/2005 à 15:03:08Combien de fois amoureux dans votre vie?
oreillegauche
325
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 20 ans
351 Posté le 18/08/2005 à 12:45:39
Hors sujet : FarchiPlage-parmentier est pas dans ce genre de conversation, c'est suspect ... t'es vivant mec ?
Le pelage de la loutre est impénétrable
Ça c'est kloug
14376
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
352 Posté le 18/08/2005 à 12:45:47
Alors on est monté chez elle...
(Pendant longtemps, elle a été ma référence en matière de sexe)
(Pendant longtemps, elle a été ma référence en matière de sexe)
Oranisz Amenovicz
6562
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
353 Posté le 18/08/2005 à 12:51:04
kloug, chuis amoureux !!!
Oranisz Amenovicz
6562
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
354 Posté le 18/08/2005 à 13:08:37
J'avais une copine.
Le genre de fille que je n'imaginais jamais intéresser, tellement elle était belle...
Exactement comme j'aime... Typée légèrement asiatique, grande et fine, toute en courbes délicates (et là je rejoins kloug pour son parallèle avec le dessin)... Moi aussi je passais des nits blanches à parcourir son corps, elle faisait semblant de dormir, je faisais semblant d'y croire, jusqu'à ce qu'elle me fasse comprendre d'une respiration experte que le jeu avait assez duré...
J'étais fou d'elle. Elle me parlait de ses histoires passées, des mecs qui s'occupaient pas assez d'elle, de ses mauvaises experiences. Je faisais tout pour lui faire entendre que je suis un mec bien. Je lui mitonnais des petits plats que nous mangions en tête à tête, puis nous passions des nuits entières de prélimminaires.
Je m'occupais à fond d'elle, faisais tout pour qu'elle se sente protégée, écoutée, j'étais tendre et drôle, bref, tout ce qu'elle me disait vouloir.
Un jour, d'un coup sec, je la trouve distante...
Elle me dit rien, alors je l'incite à me dire ce qui va pas...
Elle veut rompre. Motif : elle ne se sent pas capable de continuer une relation durable maintenant.
J'ai mal.
J'insiste un peu, les jours suivants, mais en faisant gaffe, pasque je sais qu'elle aime pas les relous qui comprennent pas. Elle est sure d'elle, c'est fini.
J'ai mis du temps à l'oublier... Elle reste aujourd'hui encore comme la fille parfaite à mes yeux.
Je me fais une raison, mais durant un an, toutes les filles que je fréquente me font penser à elle.
A mon retour d'Espagne, un an plus tard, me faisant une joie de la revoir en tant qu'amie, je découvre qu'elle sort avec un de mes meilleurs potes. J'ai du mal, mais j'encaisse...
Et là, stupéfaction : Ce mec se comporte exactement comme ce qu'elle me disait détester. Absent, pas du tout à l'écoute, incapable de discerner ce qu'elle veut sans le dire, loin d'être rassurant et protecteur, pour tout dire super égoïste dans la relation.
Ils sont encore ensemble aujourd'hui.
J'ai toujours pas compris le truc. Je me dis que si je me comportais un peu plus comme un bauf je serais encore avec elle...
Le genre de fille que je n'imaginais jamais intéresser, tellement elle était belle...
Exactement comme j'aime... Typée légèrement asiatique, grande et fine, toute en courbes délicates (et là je rejoins kloug pour son parallèle avec le dessin)... Moi aussi je passais des nits blanches à parcourir son corps, elle faisait semblant de dormir, je faisais semblant d'y croire, jusqu'à ce qu'elle me fasse comprendre d'une respiration experte que le jeu avait assez duré...
J'étais fou d'elle. Elle me parlait de ses histoires passées, des mecs qui s'occupaient pas assez d'elle, de ses mauvaises experiences. Je faisais tout pour lui faire entendre que je suis un mec bien. Je lui mitonnais des petits plats que nous mangions en tête à tête, puis nous passions des nuits entières de prélimminaires.
Je m'occupais à fond d'elle, faisais tout pour qu'elle se sente protégée, écoutée, j'étais tendre et drôle, bref, tout ce qu'elle me disait vouloir.
Un jour, d'un coup sec, je la trouve distante...
Elle me dit rien, alors je l'incite à me dire ce qui va pas...
Elle veut rompre. Motif : elle ne se sent pas capable de continuer une relation durable maintenant.
J'ai mal.
J'insiste un peu, les jours suivants, mais en faisant gaffe, pasque je sais qu'elle aime pas les relous qui comprennent pas. Elle est sure d'elle, c'est fini.
J'ai mis du temps à l'oublier... Elle reste aujourd'hui encore comme la fille parfaite à mes yeux.
Je me fais une raison, mais durant un an, toutes les filles que je fréquente me font penser à elle.
A mon retour d'Espagne, un an plus tard, me faisant une joie de la revoir en tant qu'amie, je découvre qu'elle sort avec un de mes meilleurs potes. J'ai du mal, mais j'encaisse...
Et là, stupéfaction : Ce mec se comporte exactement comme ce qu'elle me disait détester. Absent, pas du tout à l'écoute, incapable de discerner ce qu'elle veut sans le dire, loin d'être rassurant et protecteur, pour tout dire super égoïste dans la relation.
Ils sont encore ensemble aujourd'hui.
J'ai toujours pas compris le truc. Je me dis que si je me comportais un peu plus comme un bauf je serais encore avec elle...
karmasonik
2862
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
355 Posté le 18/08/2005 à 13:19:03
Alerte Santa Barbara
Oranisz Amenovicz
6562
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
356 Posté le 18/08/2005 à 13:20:24
Citation : Combien de fois amoureux dans votre vie ?
ben ouais, forcément
sickfuzz
5142
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
357 Posté le 18/08/2005 à 13:26:04
Citation : Quand la fille est jolie, je pars sur le postulat inverse à celui des "bronzés" : je me dis que je n'ai aucune chance, alors autant passer un moment sympa. Du coup, je suis naturel et ça marche (mieux).
Perso , je pense le contraire .
Si je sens que j'ai pas une chance et que la fille me plait ben j'ai rien à perdre donc je fonce dans le tas , gros jacky style.
Le tout c'est de les avoir bien accrochées et de ne lacher le morceau sous aucun pretexte sans etre trop relou et ça marche (presque)à tout les coups sauf biensur si y'en a déjà un qui est passé avant et qui à déjà fait le boulot ou si tu tombes sur le triple combo bombasse bi-neuronnée qui se la pette.
Ça c'est kloug
14376
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
358 Posté le 18/08/2005 à 13:57:54
...Ça allait être un amour d'été et en même temps mon 2ème grand amour. Autant mon premier amour a été une réussite que celui-là fut navrant.
J'ai suivi la ravissante italienne jusqu'au dernier étage. Mes exploits de footing ne m'ont pas aidé à monter les escaliers de son immeuble de banlieue rouge.
Nous avons repris notre souffle dans le canapé. J'adorais l'embrasser, elle avait un petit nez fin qui lui donnait un air coquin et ses yeux noirs et brillants étaient comme deux ronds noirs dont j'avais un mal fou à discerner la pupille. Alors je fermais les yeux.
Moi j'étais dans un plaisir romantique et elle, elle avançait des caresses plus aventureuses. J'avais l'inévitable érection et ça l'a fait sourire, puis elle m'a flatté. En gros elle avait envie... Je la sentais monter en température et quand elle était contre moi c'était limite supportable. Une centrale thermique faite femme.
J'aime sentir la peau contre ma paume et le tissus sur le dessus de ma main. C'est le yaourt bi-couche du préliminaire. :-) D'abord il y a le bruit des tissus entre-froissé, puis il y a la peau.
Quand je m'approche d'elle pour l'embrasser je sens son souffle et il imprègne mes narines de son odeur.
On s'est arrêté là parce qu'elle devait aller récupérer ses gamins chez son ex qui habitait juste à côté. On a convenu qu'on se reverrait mercredi soir, et je suis rentré chez moi en tapis volant. Sur la route je téléphone à mon superpote pour m'excusé du retard et repousser le bœuf qu'on avait fixé. Il me dit qu'on l'avait décalé. J'étais ailleurs, complètement ailleurs.
Par contre j'étais choqué de la voir que pour le soir du mercredi, ça sentait bien le rencard pour la nuit, mais cette fois, j'avais envie de la connaître davantage. Je crois que j'étais intimidé aussi. Elle m'a dit par mail que non, mercredi c'était bien... que jeudi elle allait refaire sa carte grise à la préfecture. J'ai dit que s'il le fallait, j'irai me balader à la sécu et aux assédics avec elle. Ça l'a fait rire et j'y suis allé le lundi matin.
Je l'ai trouvé prostré, comme vexé. Elle m'a dit qu'elle avait besoin d'y aller doucement, qu'elle ne souhaitait pas s'engager de trop. Je me suis sentis fondre pourtant je suis resté et j'ai essayé de la divertir et ça a marché. Je lui ai fait les trucs des amoureux. Comme je suis assez grand, j'adore faire du "soulevé de jeune fille".
Elle m'a envoyé un mail en me remerciant de l'instant qu'elle avait trouvé très agréable.
Mercredi, je sonne à l'interphone. Je monte les marches quatre à quatre. Je souffle à l'avant dernier étage et je finis le dernier tout doucement. C'est une technique d'un pote pour ne pas arriver tout essoufflé.
Elle m'ouvre et je l'enserre dans mes bras. Je l'embrasse car j'adore le goût de sa bouche. Ses lèvres sont moelleuses comme un déssert.
Après quelques courses, je me mets à la cuisine. Je ne sais faire que quelques trucs mais ça me donne une bonne image... enfin j'essaye. Là ce sont des dorades au four avec quelques rondelles de citron que la cuisson suffit à confire. Je fait un riz pilaf au dernier moment. Tout du long de la cuisson, et ce fut long, on était excité comme des fous. On mettait les mains partout, elle était en transe et je me laissais emporter. Mais on attendait d'avoir manger puisqu'il fallait surveiller la préparation du dîner.
Quand ce fut prêt, nous nous sommes repus. NE FAITES JAMAIS DE DORADE AU FOUR POUR UNE NUIT D'AMOUR ! C'est beaucoup trop lourd !!! On était comme somnolent, abrutis par le repas trop conséquent et un vin bu trop vite. Nous sommes allés bêtement nous coucher.
Elle m'a dit : "réveille-moi cette nuit si tu le souhaites" et c'est ce que j'ai fait.
C'était affolant. Tout étais volupté avec elle. Je faisais doucement, tendrement et elle suçurait : "doucement".
Edited By DenFerT
Je prenais le lobe de son oreille entre mes lèvres tandis que le mouvement perpétuel de chacun de nos corps rythmait dans un synchronisme parfait. Jamais le mot voluptueux n'avait pris son sens pour moi avant ce jour.
Tout mouvement était sujet à des soupirs, des gloussements des baisers. Je sentais son souffle sur le creux de mon cou.
Le truc barge, c'est que c'était du 100% risque au niveau mst & co. Pas de protection. Le truc génial c'est que je sentais tout le relief de son intimité. Et comme nous étions allé très progressivement, le premier stade de la monté du désir -celui où on lâche tout- était passé, j'avais l'impression de pouvoir tenir une éternité. Le plaisir de cet caresse sexuée avait remplacé l'envie d'assouvir le besoin animal.
Nous étions mélangés, amalgamés.
J'étais un Adam qui avait retrouvé ce flan dans lequel on avait pétri cette créature.
J'avais un sentiment d'accomplissement.
C'était elle, c'était sûr.
Et je l'ai beaucoup aimé pour ça.
Puis elle m'a présenté ses enfants, et surtout... surtout... son ex.
J'ai aussi appris à la connaître
...Mais la chute est épatante, garantit sur facture !
J'ai suivi la ravissante italienne jusqu'au dernier étage. Mes exploits de footing ne m'ont pas aidé à monter les escaliers de son immeuble de banlieue rouge.
Nous avons repris notre souffle dans le canapé. J'adorais l'embrasser, elle avait un petit nez fin qui lui donnait un air coquin et ses yeux noirs et brillants étaient comme deux ronds noirs dont j'avais un mal fou à discerner la pupille. Alors je fermais les yeux.
Moi j'étais dans un plaisir romantique et elle, elle avançait des caresses plus aventureuses. J'avais l'inévitable érection et ça l'a fait sourire, puis elle m'a flatté. En gros elle avait envie... Je la sentais monter en température et quand elle était contre moi c'était limite supportable. Une centrale thermique faite femme.
J'aime sentir la peau contre ma paume et le tissus sur le dessus de ma main. C'est le yaourt bi-couche du préliminaire. :-) D'abord il y a le bruit des tissus entre-froissé, puis il y a la peau.
Quand je m'approche d'elle pour l'embrasser je sens son souffle et il imprègne mes narines de son odeur.
On s'est arrêté là parce qu'elle devait aller récupérer ses gamins chez son ex qui habitait juste à côté. On a convenu qu'on se reverrait mercredi soir, et je suis rentré chez moi en tapis volant. Sur la route je téléphone à mon superpote pour m'excusé du retard et repousser le bœuf qu'on avait fixé. Il me dit qu'on l'avait décalé. J'étais ailleurs, complètement ailleurs.
Par contre j'étais choqué de la voir que pour le soir du mercredi, ça sentait bien le rencard pour la nuit, mais cette fois, j'avais envie de la connaître davantage. Je crois que j'étais intimidé aussi. Elle m'a dit par mail que non, mercredi c'était bien... que jeudi elle allait refaire sa carte grise à la préfecture. J'ai dit que s'il le fallait, j'irai me balader à la sécu et aux assédics avec elle. Ça l'a fait rire et j'y suis allé le lundi matin.
Je l'ai trouvé prostré, comme vexé. Elle m'a dit qu'elle avait besoin d'y aller doucement, qu'elle ne souhaitait pas s'engager de trop. Je me suis sentis fondre pourtant je suis resté et j'ai essayé de la divertir et ça a marché. Je lui ai fait les trucs des amoureux. Comme je suis assez grand, j'adore faire du "soulevé de jeune fille".
Elle m'a envoyé un mail en me remerciant de l'instant qu'elle avait trouvé très agréable.
Mercredi, je sonne à l'interphone. Je monte les marches quatre à quatre. Je souffle à l'avant dernier étage et je finis le dernier tout doucement. C'est une technique d'un pote pour ne pas arriver tout essoufflé.
Elle m'ouvre et je l'enserre dans mes bras. Je l'embrasse car j'adore le goût de sa bouche. Ses lèvres sont moelleuses comme un déssert.
Après quelques courses, je me mets à la cuisine. Je ne sais faire que quelques trucs mais ça me donne une bonne image... enfin j'essaye. Là ce sont des dorades au four avec quelques rondelles de citron que la cuisson suffit à confire. Je fait un riz pilaf au dernier moment. Tout du long de la cuisson, et ce fut long, on était excité comme des fous. On mettait les mains partout, elle était en transe et je me laissais emporter. Mais on attendait d'avoir manger puisqu'il fallait surveiller la préparation du dîner.
Quand ce fut prêt, nous nous sommes repus. NE FAITES JAMAIS DE DORADE AU FOUR POUR UNE NUIT D'AMOUR ! C'est beaucoup trop lourd !!! On était comme somnolent, abrutis par le repas trop conséquent et un vin bu trop vite. Nous sommes allés bêtement nous coucher.
Elle m'a dit : "réveille-moi cette nuit si tu le souhaites" et c'est ce que j'ai fait.
C'était affolant. Tout étais volupté avec elle. Je faisais doucement, tendrement et elle suçurait : "doucement".
Edited By DenFerT
Je prenais le lobe de son oreille entre mes lèvres tandis que le mouvement perpétuel de chacun de nos corps rythmait dans un synchronisme parfait. Jamais le mot voluptueux n'avait pris son sens pour moi avant ce jour.
Tout mouvement était sujet à des soupirs, des gloussements des baisers. Je sentais son souffle sur le creux de mon cou.
Le truc barge, c'est que c'était du 100% risque au niveau mst & co. Pas de protection. Le truc génial c'est que je sentais tout le relief de son intimité. Et comme nous étions allé très progressivement, le premier stade de la monté du désir -celui où on lâche tout- était passé, j'avais l'impression de pouvoir tenir une éternité. Le plaisir de cet caresse sexuée avait remplacé l'envie d'assouvir le besoin animal.
Nous étions mélangés, amalgamés.
J'étais un Adam qui avait retrouvé ce flan dans lequel on avait pétri cette créature.
J'avais un sentiment d'accomplissement.
C'était elle, c'était sûr.
Et je l'ai beaucoup aimé pour ça.
Puis elle m'a présenté ses enfants, et surtout... surtout... son ex.
J'ai aussi appris à la connaître
...Mais la chute est épatante, garantit sur facture !
Anonyme
1670
359 Posté le 18/08/2005 à 14:00:10
Je vais maintenant pour détendre l'atmosphère vous raconter mon histoire de cul la plus glauque.
karmasonik
2862
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
360 Posté le 18/08/2005 à 14:20:30
Moi, hier je suis allé a la pêche.
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