Sujet de la discussionPosté le 05/08/2004 à 02:33:54Les pourrisseurs(euses) !
Partout dans le rouge, les potars en butée.
Pour ce qui est du jazz, le trad (bop, quartet, etc...) a vite tendance à me saouler, et dès que tu changes un peu la formule, tu as tout de suite un ampli à lampe ou un batteur qui t'obligent à tout reprendre.
Du coup dans les petites salles le problème est le même.
Je me bouge, j'ai un rendez vous avec Morphée et je ne me permettrais pas de lui poser un lapin.
Bon courage pour la fin de soirée, parce que plus dead que ça...
Non pas forcément dans le rouge mais ne serait-ce que quand un batteur ne sait pas se maitriser dans un bar...bah tu adaptes, mais c'est très souvent trop fort par rapport au petit local...moi je travaille souvent à une certaine limite, après le pire c'est dans certains festivals, j'ai fait du baby sitting pour des gens qui poussait leur métal ( ) à fond de caisse, totalement en inédaquation avec l'endroit et les groupes d'avant ou d'après..
et ce qui m'énerve le plus dans les clubs de jazz, c'est la façons dont les clients viennent toujours te dire que y'a trop de réverb si ou là...