pas mal de femelles araignées bouffent les mâles après la copulation.. ça creuse de niquer.
et puis, chez les araignées, il y a un dimorphisme de taille souvent très prononcé :
Le viol humain a un lourd passif par rapport à la volonté réelle de faire le mal, en toute conscience de faire le mal. Les deux mots soulignés sont très importants.
Je ne sais pas si le terme de "viol" utilisé pour le dauphin à la même signification d'un point de vue psychologique....
Oui la nature est moins glamour que chez disney. La plupart des predateurs se soucient egalement peu de savoir si la proie est encore vivante avant de commencer a la consommer.
[ Dernière édition du message le 29/03/2014 à 00:01:52 ]
Jackbrelle
10480
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
3540Posté le 29/03/2014 à 02:10:46
D'un autre coté, un prédateur qui verserait dans l'empathie envers son dîner ... Plus qu'à devenir végétarien mais faut un suivi nutritionniste, ce qui va compliquer l'affaire pour beaucoup d'animaux ...
Quant aux viol delphiniens, c'est plus délicat. Où finit le jeu? Où commence l'agression?
Niveau empathie en tout cas, y sont plutôt plus avancés que la moyenne des humains ( même si c'est pas un concours ):
A une époque, les pécheurs de thons ( pas tous si cons ) trouvaient ça triste de tuer les dauphins subséquemment à leur pèche... Pour donc éloigner Oum et ses amis, ils ont tapé des baffles analogiques waterproof diffusant des enregistrements de dauphins se faisant massacrer, hurlant " Au secours!!! " pour faire fuire les autres... Sauf que ça foirait: les dauphins accouraient sauver leurs petits camarades.
Comme des fois nous quand on entend quelqu'humain sa faire agresser, on accourt le sauver...
Bon, pas toujou... heu, pas très souve... heu, rarement en fait, hein?
Sinon, la nécrophilie, ça fait de mal à personne, si? ( Dernier hommage, toussa )