Anton arrive tout joyeux avec de quoi partager un bon goûter, mais il pose ses conditions : Greta, Nina et Lukas doivent le lui demander très gentiment. Vexés, ils refusent de se joindre à lui : ils ont trop de travail, disent-ils. Ils doivent ratisser, bêcher, biner. Anton se venge : il fait le mort !
- Qu'est ce que tu fais Anton ?
- Laisse moi je suis mort.
- Super ! j'ai amené ma pelle, je vais creuser ta tombe !
A mettre en relation avec le dialogue recopié ci-dessus. Depuis que je fais ce boulot, la seul livre qui fait un peu causer (et encore, uniquement dans le milieu qui s'y interesse, bibliothcaires, libraires, éditeurs, jurys de prix....) c'était ça :
Citation :
J’ai gardé mes yeux ouverts bien grands, ce soir-là…
J’ai tout regardé, le carnage, le spectacle de la mort triomphant une fois de plus de la vie, et les 33 zombies improvisant un carnaval organique, avec serpentins de chair, confettis d’ossements et masques en peau. Une boucherie, mais mon estomac commençait à être vacciné contre ce genre de spectacle. A force d’emmener Elo bouffer son sandwich humain mensuel…
En gros, après un coma éthylique, une ado mal dans sa peau s'aperçoit qu'elle est en fait une succube envoyée en mission sur Terre pour préparer l'Apocalypse. Violent, gore, amoral, mais foutrement bien écrit. C'est pas de la littérature de chialeuse à la Twilight.
la couv fait vraiment livre de pisseuse à 2 balles pourtant...
Ca, c'est souvent un truc qui me navre, la qualité pitoyable des couv, souvent pour les séries de poches ou assimilés.