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Polar et roman noir. On flingue gratis. Bouquins, ciné, séries Tv.

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Sujet de la discussion Polar et roman noir. On flingue gratis. Bouquins, ciné, séries Tv.
Z'adorez les personnages complètement disjonctés de Jim Thompson ?
Les enquêtes aux parfums surannés d'Agatha Christie ?
La logique implacable d'un Sherlock ?
L'humour décapant de Chester Himes ?
La classe d'un Dashiell Hammett ?
Le hard boiled de Raymond Chandler ?

Ou autre, le choix est vaste... très vaste.

Idem au cinoche, que vous adoriez les bons vieux polars bien noirs des 30's aux 50's, des p'tits films bien nerveux et cradingues ou la grosse artillerie récente, venez en causer.

Tant que ça flingue et que ça bute, que les psychopathes sont des bons gars ou que les gens normaux se transforment en monstres sanguinaires, c'est par ici.
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Flag!

 Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/

 

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Allez, je me lance. Parmi les plus remarquables que j'ai lu. La reine des pommes de Chester Himes.
Un classique du polar. Déjà, l'histoire de Chester Himes. Noir américain, condamné très jeune à de la taule pour un cambriolage foireux. Adulte il se lance en littérature, sans succès aux USA. Dans les années 50 Il migre en France (il y est plus connu que chez lui), où sont déjà présents des écrivains noirs comme James Baldwin, Richard Wright. Duhamel, fondateur de la Série Noire, lui conseille pour s'assurer quelques revenus plus sûrs que sa prose militante d'écrire un polar. En un mois Himes rend sa copie... La reine des pommes. Succès immédiat, critique et public. Des personnalités comme Cocteau encensent le bouquin...
Et Himes vient de créer un des duos de flics les plus fracassants de la littérature policière, Ed Cercueil (Coffin Ed) et Fossoyeur Jones (Gravedigger Jones), les 2 flics (noirs) les plus coriaces de Harlem.
L'histoire de La reine des pommes.
Citation :
Jackson est le gars le plus candide d'Harlem, pour ne pas dire demeuré. Et dans le coin, il y a un tas de dégourdis qui commencent par lui étouffer son pognon. Sa petite amie, Imabelle, une fille superbe à la peau couleur de banane, l'entube comme c'est pas permis. Enfin, son frère, qui est bonne soeur dans le civil, cherche aussi à le posséder. Seulement Jackson, lui, c'est un bon chrétien. Y a que la foi qui sauve et il a tout à fait raison de croire aux miracles.


Heureusement, Cercueil et Fossoyeur rôdent dans leur "conduite intérieure noire". Harlem comme on ne l'avait jamais décrit, ça se traite de tous les noms, nègre, peau de banane à toutes les pages, ça arnaque les naïfs, entube le bon croyant, ça fume, sniffe, joue à la loterie clandestine, picole du kérosène . Y'a rien de sérieux dans ce bouquin... et pourtant il est encore considéré comme un des meilleurs témoignages sur le Harlem des 50's...

Ça flingue, ça cogne, on se marre. Souvenir d'une poursuite en bagnole dans Harlem d'anthologie...
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C'est dans mon Panthéon polardesque, tout en haut de la liste.
Pis après, j'ai craqué, je me suis enquillé avec délectation toute la série d'Ed Crecueil et Fossoyeur Jones...
:aime:

Pour l'anecdote, en 95, de passage à New York je tenais absolument à acheter le bouquin en VO... Je vais chez Barnes & Nobles, personne ne connaissait Himes. De plus le livre étant d'abord paru en France, avec son titre définitif, il est paru ensuite aux US sous divers titres.
A rage in Harlem, titre aussi du film où Jackson est joué par Forest Whitaker, ou For the love of Imabel.
J'y dis à la vendeuse noire, A rage in Harlem...
Ah oui, y'a eu un film avec ce titre...
Oui, moi je veux le bouquin.
Le bouquin tiré du film ?
Euh non, l'inverse, mademoiselle...

Elle a eu la curiosité de me demander de lui parler de Himes... A la fin elle s'est marrée avec ses collègues... Se faire donner un "cours" de littérature afro-américaine par un touriste blanc. :-D

Donc, La reine des pommes, pur régal.

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J'ai du commencer par ceux-là. Littérature honnie quand j'étais chez les curés, du coup à lire absolument.

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Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.

Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !

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Je viens de finir de lire La Soupe aux choux, mais un peu hors sujet car pas un polar. Enfin il y a quand même l'ET qui sort son arme pour paralyser le voisin qui risquerait d'être indiscret.
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Fallet est l'auteur d'un très bon bouquin "La grande ceinture" au style très noir. Ça se passe au milieu des fortifs, chez des petits truands à la petite semaine, des alcoolos, des loosers. J'ai un excellent souvenir de ce bouquin. Donc oui, Fallet a bien sa place ici. ;)
Citation :
Juju, ivrogne pittoresque qui se balade le long de la Grande Ceinture, devient un jour le chien fidèle d'un gangster traqué. C'est le début d'une amitié maladroite qui bouleverse sa vie, c'est aussi la découverte d'un certain luxe. Comment réagira-t-il devant ces horizons nouveaux?
Histoire d'hommes, violente et pleine d'humour, La Grande Ceinture n'en est pas moins imprégnée de poésie. C'est pourquoi ce roman a inspiré à René Clair un de ses meilleurs films, Porte des Lilas.


Merci Pouet de ce rappel. :-D
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Bon sinon il y a les Nouveaux mystères de Paris, de Léo Malet, avec le tenace Nestor Burma. Téléfilm discutable. Connaîs pas les éventuelles adaptations au cinéma.

Mais l'adaptation en BD par Tardi, pardon, mais c'est du grand art. :bave:

Ce qui n'empêche que les romans originaux de Malet dépotent gravement. On est dans le roman noir plutôt que dans le policier. Des personnages... définis par leur histoire... dans les années 40 - 50... belle langue, superbe fresque. De la littérature qui tient bien le pavé.


Et son ancêtre pareil : les Mystères de Paris par Eugène Sue. Moitié roman d'aventures, moitié roman noir (même si le terme n'existait pas à l'époque). Le pavé de 1000 pages peut faire peur, mais il faut savoir que comme dans les meilleurs séries actuelles, on devient accro dès la troisième page, et les rebondissements sont innombrables. Ça s'avale d'un coup (pensez quand même à respirer), avec en bonus de courtes digressions sur l'actualité de l'époque (débat à l'assemblée : « la sécu ou les congés payés ? Vous n'y pensez pas, ça mènerait le pays à la ruine du jour au lendemain » ) ; les personnages sont nombreux, pittoresques et bien trempés.

Bref, c'est très moderne dans la construction du scénario (d'ailleurs c'étaient de brefs épisodes quotidiens, destinés à faire vendre le journal tout entier), très bien écrit, intéressant et instructif. La classe, à Paname.

[ Dernière édition du message le 08/08/2017 à 00:55:34 ]

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Mon 1er vrai polar, ce fut Le Dalhia Noir de James Ellroy.
Ça m’a foutu une bonne claque. C’est noir, glauque.
Les personnages sont sans morale et sans limites…
J’étais novice sur le sujet à l’époque mais tu ressens que certains passages ont été écrit en pleine montée (de cocaïne ou autre…). Je m’en souviens encore.

 Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/

 

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flag

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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Après San Antonio, j'ai eu une période Simenon que je considère comme un écrivain majeur du XXème.
je recommande les excellentes ré-éditions chez Omnibus ou les livres sont regroupés de façon assez cohérente

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Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.

Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !

[ Dernière édition du message le 08/08/2017 à 19:25:35 ]

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Eugène Sue, ça fait un bail que je me dis qu'il faudrait que je le lise. De la truande, Paname, y'a pas de raison que je déteste... Merci de m'y faire penser, Pouet.
Simenon, souvenir d'une lointaine lecture de "Le chien jaune" il y a longtemps, encore un écrivain auquel un peu de temps serait nécessaire.
Sinon je viens de finir "Cadix, ou la diagonale du fou" d'Arturo Perez Reverte. Cadix, à l'époque napoléonienne, à chaque fois qu'une bombe tombe sur la ville, on retrouve peu de temps après une jeune femme assassinée, lacérée à coups de fouets. Mis à part un personnage très bien imposé de flic ripou, pas grand chose à retenir. La littérature block-buster dans sa "splendeur"... On est inondé de termes maritimes où on sent que l'auteur a passé un bout de temps à faire potasser le sujet, idem les termes de commerce maritime, de l'artillerie napoléonienne. Cette marotte venue de la littérature américaine est pour moi l'art de noyer un manque flagrant de talent... Comment la jouer à l'esbrouffe, z'avez vu comment que je vous le décris le cotre, hein comment que je vous abreuve de termes techniques sur le boulet à espolette. A oublier, vite fait. Etalage artificiel de "culture". C'est dommage, l'intrigue aurait pu être bien troussée si ce n'était cette surenchère de pseudo vraisemblance.

Du coup, je relis "Vaurien" de Jim Thompson. :bave:
La jeunesse de ce bon vieux Jim, alcool, jeu...
J'aurai l'occasion de reparler longuement de Thompson, le roman noir dans sa splendeur.
Un aperçu de Thompson, à travers quelques films dont il cosigna le scénario... ou quelques films tirés de ses romans:
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Oui, le N° 1000 de la série noire, le légendaire "1275 âmes", intitulé "Pop 1280" en anglais. Jean Bernard Pouy lui a consacré un bouquin, pourquoi entre le titre américain et le français on a perdu 5 âmes... :-D
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Après je me refais Rage noire, pas du polar, très loin de là mais d'une noirceur absolue. Pas le mieux coté de ses bouquins mais peut être le plus terrible.
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Bonne initiative Tex. Déjà des super conseils de lecture icon_bravo.gif
J'ai commencé les polars avec Agatha Chistie. J'étais môme. J'avais un peu de mal à piger que l'action se passait souvent entre les 2 guerres.
Ce qui est très plaisant avec ces romans, c'est que tout est ouvert au lecteur et qu'il peut lui aussi mener son enquête.
Mon préféré reste le meurtre de Roger Acroyd...
Puis Simenon, avec son atmosphère tranquille, lente.
San Antonio à 16 ans. Découverte de sa verve truculente, ses inventions, ses profusions de mots pour décrire les situations les plus scabreuses.

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

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@crossroads... ah oui, Le dahlia Noir, ce fut aussi mon premier Ellroy. Pis après je me suis enquillé le reste du "quatuor de Los Angeles", à savoir L.A. Confidential, White Jazz et Le grand nulle part... Oui, grosse claque. Pas seulement du grand polar, de la littérature de haut niveau. Pis après l'intégralité de l'oeuvre d'Ellroy. C'est pas du niveau du Quatuor mais y'a de l'excellent, dont Un tueur sur la route, la trilogie Lloyd Hopkins.
Pis je me suis farci et refarci, avec délectation, la trilogie Underworld USA, miam...
J'ai découvert Ellroy par l'intermédiaire d'un pote. Un jour il m'appelle, me dit, viens y'a un écrivain américain génial qui fait une dédicace et parlotte à l'Arbre à lettres Bastille. C'était vers 96-97, Ellroy n'était pas encore une star mais déjà il avait un public fidèle.
Une anecdote sympa à son propos, à ses débuts certains éditeurs voulaient publier un de ses romans, quand François Guérif le dirlo de chez Rivages/Noir a dit "moi je publie tout et ce qui est à venir aussi". Ainsi Rivages/Noir se lançait et faisait connaître Ellroy en France... Des années plus tard, devenu vedette littéraire mondiale et suite à la parution d'un nouveau bouquin, Ellroy avait fait savoir à son agent que les droits pour la France n'étaient pas négociables, mais en exclusivité pour Guérif et Rivages/Noir, sans considérations financières. La classe.

Je suis en train de fouiller la bibliothèque, je dois avoir un bouquin de poche consacré au polar-roman noir.
Comme ça que j'ai découvert les pionniers américains du polar des années 30. Dashiell Hammett, Chandler, le trop méconnu W-R Burnett (si, vous connaissez Asphalt Jungle... alias Quand la ville dort de John Huston), Horace Mc Coy (On achève bien les chevaux et pas mal de polars très orientés à gauche), James M Cain (le très noir Le facteur sonne toujours deux fois), Armitage Trail (Scarface...), James Ross et le très méconnu Une poire pour la soif. Bref, des paquets d'écrivains où on se dit... mais oui, mais c'est bien sûr, j'ai vu le film au ciné club du lycée.
Genre Charles Williams. Quand l'action se passe sur l'eau, ça se finit bien (Williams était marin de formation). Quand ça se passe à terre, ça finit toujours très mal et c'est noir à toutes les pages... sauf pour les hilarants "Fantasia chez les ploucs" et "Aux urnes les ploucs". Charles Williams au ciné c'est l'arme à gauche de Sautet, Calme blanc avec Kidman, Vivement dimanche de Truffaut, Hot spot de Dennis Hopper.
Pour les amateurs, la bande son de Hot Spot, signée John Lee Hooker et Miles Davis est pur régal (tout le monde ne fréquente pas le forum du blues).



Voili, sinon, Jim Thompson, James Hadley Chase (Pas d'orchidées pour Miss Blandish, un classique), Chester Himes, Howard Fast alias EV Cunningham, auteur du Spartacus adapté par Kubrick.

Bref beaucoup d'alcooliques ou de gauchistes... voire les 2 en même temps. C'est le polar ricain par des écrivains nés entre 1890 et 1920, devenus auteurs de polars pour vivre (les fameux pulps). Qualité littéraire, critique sociale. Là dedans y'a vraiment de la littérature de très haut vol. Je tiens Dashiell Hammett pour un très grand styliste, un écrivain hors pair. Un comble pour celui qui disait que le plus important était de ne pas avoir de style...

Encore à propos de Hammett (oui je suis un admirateur avoué...) je vous conseille l'excellent hommage de Joe Gores intitulé "Hammett" dont Wenders a tiré le film éponyme avec Frederic Forrest (sa ressemblance avec Hammett est incroyable). Peu importe que Wenders ait renié ce film produit par Coppola, ça reste un superbe exercice cinématographique.

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[ Dernière édition du message le 10/08/2017 à 00:04:26 ]

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Citation :
Après San Antonio, j'ai eu une période Simenon que je considère comme un écrivain majeur du XXème.

Je pense qu'il y a consensus là dessus. À la limite la question est peut-être plus "est-ce que ce sont des polars ?" :-D

J'adore aussi. Et parmi ses qualités, il choisit souvent comme lieu un endroit inhabituel pour un roman policier. En plus il arrive à les décrire et les faire vivre, vraiment comme si on y était.
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La B.O. de the Hot Spot .... :8O::bravo:

Il y a un excellent éditeur pour les roman : Les éditions du Masque. Je me souviens lire en prenant "les durs" les romans de Charles Exbrayat qui était souvent appelé roman de gare.

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Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.

Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !

[ Dernière édition du message le 10/08/2017 à 18:49:36 ]

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Tex, je te prend la BO pour mettre dans le topic que tu sais ..

Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.

Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !

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Vas y Vicki, mais je doute qu'elle n'y soit pas déjà... :-D

Pouet, y'en a un paquet comme ça qui se retrouvent dans la catégorie "polar" ou de "gare", pis pour quelques uns les décideurs en chef du bon goût littéraire s'aperçoivent avec des décennies de retard que ces genres ont eu quelques plumes de premier ordre... Simenon, qui disait qu'il n'utilisait que 400 mots finirait par se retrouver à la Pléiade...
Le Masque, Je n'ai rien lu de chez eux mais il me semble qu'ils sont plus dans la veine Agatha Christie, le côté à l'ancienne.

[ Dernière édition du message le 10/08/2017 à 19:07:40 ]

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Exbrayat, roman de gare, oui, mais il y en avait de très bons, dans le style polar à l'ancienne.

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

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Exbrayat... une bonne entrée en matière quand j'avais 12-13 ans.
Après avoir écumé les Série noires (trop de fautes), les Masques et les Grands Détectives (de bonnes intrigues agrémentées d'un fond historique) je suis passé à Actes Noirs. A éviter en cas d'insomnie :non:

Je ne tolère pas l'intolérance 

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Citation :
Les enquêtes aux parfums surannés d'Agatha Christie ?

Dans mon souvenir, il y a vraiment qqc d'horrible dans ses bouquins, bien noir et mauvais (au sens le mal). Ca tient au descriptions des perso, leur relations... pouah.
Cf Le Chat et les Pigeons, Dix petits Nègres...
(Mais si ça se trouve à la relecture ça paraîtrait complètement anodin et coincé, donc je relis pas :-D )

Rien à voir: dans les film, il y a une chouette incarnation de Marlowe, assez proche des bouquins, c'est Le Privé (the Long goobye) de Robert Altmann. Excellent film avec une galerie de personnages inspirés d'Hemingway, Brian Wilson, des docteurs foireux etc. Par contre faut prendre son temps, c'est assez lent par rapport aux standards actuels.


Je me demande aussi si, au fond, les Armes Fatales c'est pas des films noirs. (anquêtes tordues à LA, protagoniste suicidaire...)

[ Dernière édition du message le 13/08/2017 à 15:29:05 ]

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Flag

Je suis en train de lire la Trilogie Berlinoise de Philipp Kerr. J'en suis à la première partie:

Dans un Berlin pré guerre, un enquêteur privé mandaté par un grand industriel allemand doit élucider un double meurtre masqué en incendie. Sur un scénario de policier assez simple l'enquêteur doit faire face aux menaces de la Gestapo entre autres. Ca s'annonce très addictif
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Je m'y colle aussi. Je reviens de Berlin et ma sparring partner m'a dit qu'il y avait plein de lieux qu'elle "reconnaissait" car décrits dans les bouquins, notamment l'hôtel Adlon, titre d'un roman qui suit la trilogie berlinoise.

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

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Oui, je lis la plupart du temps avec Google Maps ouvert pour repérer les lieux
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Perfectionniste icon_bravo.gif

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste