ça raconte le cas d'un policier qui, après une greffe de moelle osseuse, s'est retrouvé avec deux ADN, dont celui de son donneur. Pire, son sperme ne contient plus que l'ADN de son donneur.
ça a soulevé plein d'interrogations et la médecine comme la médecine légale se sont penchés sur son cas et il semble qu'il soit loin d'être isolé.
ça a notamment expliqué le mystère d'un violeur confondu par son ADN... alors qu'il était en prison au moment des faits.
Bref, si ça représente pour l'instant un faible pourcentage des cas, ça commence à mettre le doute sur la sacro-sainte croyance aux traces d'ADN seules comme preuve irréfutable de l'implication d'un individu dans un crime. Et, ajoute CB, ça ne s'arrangera pas avec la multiplication des thérapies géniques et des possibilités de manipulations génétiques.