J'en ai marre de c'monde de merde

Citation : Je m'en badigeonne le nombrile avec le pinceau de l'indifference

Citation : Je pense que la dépression commence souvent par un narcissisme exacerbé. Cela me fait songer à tous ces écrivains romantiques du XIXème siècle en pleine pâmoison mentale rien qu'en évoquant une supposée infortune du destin qu'ils subiraient, une malédiction fatale qui les empêcherait de vivre pleinement alors qu'ils n'avaient rien d'autre à branler que de coucher quotidiennement sur le papier leurs très petits malheurs. Aujourd'hui on est moins romanesque, l'art manque un peu, mais c'est tout comme quand j'entends certaines jérémiades. Un bon coup de pied dans le derrière, c'est tout ce qu'il faut.

Je ne dis pas qu'il n'y pas de raisons de se plaindre dans la vie mais il faut d'abord se remuer le fion et accepter de manger son pain noir le cas échéant.

Citation : D'abord, la bouteille est plus lourde que si elle était pleine et neuve. Tu te rends compte qu'un poids mort traine au fond de la bouteile, mais tu n'en vois rien, puisque qu'un résidu jaune/vert est au dessus.
Tu remarques que le plastique tient bon, mais qu'il a pris une teinte vert champignons.

Et tu rapproches ton nez de l'ouverture..tu te dis que tu es un warrior, que ta copine est bien faible, et qu'elle va tomber dans les bras de son aventurier qui n'a peur de rien.

Sauf de ça une fois que tu as senti.
Une sorte de gerbe instantanée. un truc violent qui rentre dans ton nez, tu as l'impression que ça te viol. Comme une grosse nana moche qui a un parfum immonde et qui s'assied à coté de toi dans le bus : tu as l'impression que sa puanteur et sa sueur te rentre dans le coprs et qu'elle te lèche bavement les joues. Berk.
La c'est pire. Une tornade de puanteur piquante, électrisée, te rentre dans le pif et monte direct au cerveau. et tu as l'impression que c'est l'intérieur de ton crâne qui pue, qui est infecté, qu est rempli de champignons.
Il faut bien 2 heures pour que ça passe...Mais c'est violent.
je sens que Shirow va essayer.

Citation : Le contenu était curieusement assez sobre. On voyait le vert par la transparence de la bouteille, mais par par le goulot. Juste un reste de lait qui trônait au dessus.

C'était encore plus piquant que lorsque quelqu'un a vomi dans la pièce.

Mais le pire était vraiment les patates pourries ! Là, c'est sincèrement lepire jamais senti. Même un cadavre d'animal c'est rien à coté.
Ceci dit, je doute que ça favorise tes succès auprès de la gente féminine.

Citation : oui ! J'ai eu l'expérience d'un fromage à pâte molle laissé dans une caisse en plastique genre pour foutre tes lego en vrac...
1 mois après, tout le fromage s'était TRANSFORME en un tas de petits vers blancs (comme le frometon), avec certains ayant mûris pour faire jusqu'à 2 cm de long et qques millimètres de diamètres !!!!

Citation : Un jour, je reviens dans ma cité-U (il y a longtemps) et j'avais laissé pendant les vacances ma valise devant la fenêtre. Le soleil tapait dessus au travers de la vitre. On était en janvier mais dans le sud, il fait parfois beau jusqu'à cette date. Dans la valise...une boîte de marrons glacés oubliée.
En l'ouvrant.. que des fourmis. Mais des milliers de fourmis. Elles montaient le long de mes bras alors que je prenais la boite pour la jeter dans une grosse poubelle plastique. Je me rinçais les bras sous le lavabo avec ma valise en plus, mais ça grouillait de partout dans la chambre. J'étais content de pas être fourmiphobe ou un truc comme ça. j'ai fini par tout avir à grand renfort d'insecticide, mais la chambre était impraticable pour la journée.

Une autre fois, on avait oublié des patates dans un sac plastique. C'est resté à peu près un an dans un placard, perdu en rentrant des courses certainement.
En le découvrant, ça faisait un jus déguelasse, rempli de "créatures". Moitié mouches, moitié vers..et surtout grouillant dans ce résidu noiratre écoeurant. Impossible de respirer ce truc. Laissez une patate pourrir pendant l'été juste un mois, vous verrez l'apothéose de l'horreur.

Citation : Une femme blanche, d'environ cinquante ans, s'assied à côté d'un noir. Visiblement perturbée, elle appelle l'hôtesse de l'air:

-"Quel est votre problème, Madame ?" demande l'hôtesse.
-Mais vous ne le voyez donc pas ? répond la dame. Vous m'avez placée à côté d'un noir. Je ne supporte pas de rester à côté d'un de ces êtres dégoûtants. Donnez-moi un autre siège."
-"S'il vous plaît, calmez-vous, dit l'hôtesse. Presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s'il y a une place disponible."

L'hôtesse s'éloigne et revient quelques minutes plus tard :
-"Madame, comme je le pensais, il n'y a plus aucune place libre
dans la classe économique. J'ai parlé au commandant et il m'a
confirmé qu'il n'y a plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons encore une place en première classe.

Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire, l'hôtesse de l'air continue :
-"Il est tout a fait inhabituel dans notre compagnie de
permettre à une personne de classe économique de s'asseoir en première classe. Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu'il serait scandaleux d'obliger quelqu'un à s'asseoir à côté d'une personne aussi répugnante."

Et s'adressant au noir, l'hôtesse lui dit:
-"Donc, monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main car un siège en première classe vous attend." Et tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et applaudirent...