Carotte, je vois un plan d'action en quatre phases :
1) L'implant, au sein de l'entreprise d'une bulle de consultation en co-branding pour renforcer le pouvoir des marges face aux concurrents et aux distributeurs, favorisant par ailleurs une ergonomie de pointe à trois temps qui, par exemple, allie la simplicité induite par une large utilisation du drag and drop à la sécurité qu’engendre un système sophistiqué de gestion des droits et de règles de gestion-questions à points.
2) Un debriefing total de tous les partenaires de marché par notre staff de conseillers marketing audit-conseil adapté aux besoins de communication de votre entreprise, direction-gestion des rémunérations et développement des systèmes de transfert d'information stratégique inter-organisationnels.
3) Un dérapage de crédits d'équipement dans une fourchette de 70 à 80 milliards de francs suisses peut être perçu comme un très mauvais signal par vos partenaires. Comment alors se mettre au diapason des ratios de solvabilité en terme de retombées ultérieures et de chiffre total brut optimisé par externalisation des canaux d'information-produit? La méthode europartenariale de transfert artificiel des actifs transnationaux préconise de comptabiliser les lettres d'intention au petit porteur sans versement d'accomptes comme des contrats réels. Pas très élégant mais terriblement efficace en terme de volume d'affaires immédiat.
4) Un reengineering fonctionnel de toutes les études de segments de services ou de consommation Offshore pour définir les plans d'action les mieux adaptés à chaque type de clientèle-stratégie. Ce positionnement commercial induit, outre le recours prioritaire à des Focus-Groups de classification de crédibilité, une totale adaptabilité qui permet aux entreprises de préserver l'ensemble de leurs procédures d'évaluation de marge bénéficiaire et de parts de marché de l'enseigne.