humour Les images qui tordent (ou pas)
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Anonyme
521410
Sujet de la discussion Posté le 01/11/2005 à 13:09:55Les images qui tordent (ou pas)
Tout est dans le titre
Edit modo: Lien retiré car plus valable.
trop loin
Dr Pouet
52037
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
53701 Posté le 29/07/2016 à 19:56:16
Je croyais que tu te foutais de ma gueule.
deozza
13387
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 11 ans
53702 Posté le 29/07/2016 à 20:29:47
Oh putain le des miss roussos
Le chien aboie mais n'invente pas le fil à décongeler le beurre.
Les 6l6, des lampes qui nous éclairaient
Anonyme
15125
53703 Posté le 29/07/2016 à 20:32:29
Avec, en préambule, une photo de LA Rousso, c'eût été un top combo!
*Seed*
11391
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 17 ans
53704 Posté le 29/07/2016 à 20:49:44
Citation de rica2synthé :
Sysex and sun
karloguan
6634
Je poste, donc je suis
Membre depuis 15 ans
53705 Posté le 29/07/2016 à 21:56:31
Citation de Will :
En ce qui me concerne, le problèmes des "jeunes" que je connais (gamins comme ados), c'est pas de rester chez eux. Ils sont plutôt toujours partants pour se retrouver en bandes, dehors ou chez les uns ou les autres. Ça serait plutôt de d'avoir du mal à lâcher leur smartphone.
Exactement ça pour mon grand. Du coup je me demande si ça ça pas le motiver à sortir et chasser avec ses potes, ça sera toujours ça.
Et s'il le faut j'emploierai de moyens légos !
karloguan
6634
Je poste, donc je suis
Membre depuis 15 ans
53706 Posté le 29/07/2016 à 21:58:34
x
Hors sujet :yiens sinon Will j'ai pensé à toi cet après-midi, douloureusement...
Et s'il le faut j'emploierai de moyens légos !
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
53707 Posté le 29/07/2016 à 22:53:45
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
Anonyme
9585
53709 Posté le 29/07/2016 à 23:21:03
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hébreux_noirs
http://www.rfi.fr/emission/20140706-afrique-juifs-noirs-falashas-guershon-nduwa
depuis 2013
faut voir comment ils sont maltraité en israel.
http://www.canalfrance.info/Les-juifs-noirs-victimes-de-racisme-en-Israel-ce-peuple-oublie-par-le-reste-du-monde_a5072.html
les rastas se disant venir d ethiopie...
http://www.rfi.fr/emission/20140706-afrique-juifs-noirs-falashas-guershon-nduwa
depuis 2013
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suite
Nouveau tour de vis dans la politique israélienne en matière d’immigration. À compter du 28 août 2013, les autorités de Tel-Aviv n’accepteront plus l’entrée collective des Juifs éthiopiens sur leur territoire, laquelle était jusqu’alors autorisée sous certaines conditions, a annoncé un responsable de l'Agence juive.
C’est la fin d’une époque pour les Juifs d’Éthiopie, en majorité des Falashas dont la judéité a été reconnue par les autorités israéliennes en 1975. L’agence juive pour Israël, sous la pression de Tel-Aviv, a ainsi annoncé, dans une lettre de son délégué en Éthiopie, Asher Seyum, signalée sur le site du journal Haaretz, que les deux derniers vols collectifs de « retour » (Aliyah) des Juifs éthiopiens vers les territoires israéliens décolleraient le 28 août 2013. Ces deux derniers voyages effectués, seules les demandes individuelles d’immigration seront examinées, avec attention, indique le document.
Voilà déjà quelques années que Tel-Aviv tente de durcir sa politique en matière d’intégration des Juifs étrangers, en particulier éthiopiens, redoutant une immigration économique africaine alors que la conjoncture n’est guère favorable. En 2010, Benyamin Netanyahou avait ainsi annoncé le renforcement des mesures de contrôle concernant l’entrée sur le territoire des migrants. Surtout, en décembre 2012, une révélation des journaux israéliens faisait scandale. Selon eux, des femmes venues d’Éthiopie et appartenant à la communauté falasha, avaient été obligées de se soumettre à une contraception obligatoire et durable pour avoir l’autorisation de s’implanter en terre promise. En une décennie, le procédé, qualifié de crime inconcevable par la presse, aurait réduit le taux de natalité de la population juive éthiopienne de 50%.
C’est la fin d’une époque pour les Juifs d’Éthiopie, en majorité des Falashas dont la judéité a été reconnue par les autorités israéliennes en 1975. L’agence juive pour Israël, sous la pression de Tel-Aviv, a ainsi annoncé, dans une lettre de son délégué en Éthiopie, Asher Seyum, signalée sur le site du journal Haaretz, que les deux derniers vols collectifs de « retour » (Aliyah) des Juifs éthiopiens vers les territoires israéliens décolleraient le 28 août 2013. Ces deux derniers voyages effectués, seules les demandes individuelles d’immigration seront examinées, avec attention, indique le document.
Voilà déjà quelques années que Tel-Aviv tente de durcir sa politique en matière d’intégration des Juifs étrangers, en particulier éthiopiens, redoutant une immigration économique africaine alors que la conjoncture n’est guère favorable. En 2010, Benyamin Netanyahou avait ainsi annoncé le renforcement des mesures de contrôle concernant l’entrée sur le territoire des migrants. Surtout, en décembre 2012, une révélation des journaux israéliens faisait scandale. Selon eux, des femmes venues d’Éthiopie et appartenant à la communauté falasha, avaient été obligées de se soumettre à une contraception obligatoire et durable pour avoir l’autorisation de s’implanter en terre promise. En une décennie, le procédé, qualifié de crime inconcevable par la presse, aurait réduit le taux de natalité de la population juive éthiopienne de 50%.
faut voir comment ils sont maltraité en israel.
http://www.canalfrance.info/Les-juifs-noirs-victimes-de-racisme-en-Israel-ce-peuple-oublie-par-le-reste-du-monde_a5072.html
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Israël, la terre promise pour les juifs ... tant qu'ils ne sont pas noirs?
Bien qu'il existe, sans aucun doute, des exemples d’intégration, pour beaucoup, le tableau est plutôt sombre. Un rapport publié dans le journal New-Yorkais Newsweek décrit la situation alarmante des Falashas. La pauvreté est trois fois plus élevée chez les Éthiopiens que chez les Israéliens blancs et le chômage, deux fois plus élevé. Les jeunes sont beaucoup plus susceptibles d’abandonner l'école et sont largement sous-représentés dans les universités du pays. L’endroit où ils sont surreprésentés est la prison: la délinquance juvénile est quatre fois plus élevée dans leur communauté.
Le niveau de vie de la communauté Falasha est l'un des plus bas du pays. Selon les informations les plus à jour du ministère de la protection sociale et des services sociaux, «les deux tiers des éthiopiens ont besoin d’assistance. Dans certaines villes, près de 90 pour cent demandent l'accès aux soins. Près de 75 pour cent des familles éthiopiennes vivent en dessous du seuil de pauvreté. » Le chômage est d'environ 70 pour cent.
Un racisme manifeste
Il existe une multitude de preuves flagrantes de racisme dans les écoles, les hôpitaux, les associations de logement et de travail. En 2009, un chauffeur de bus a refusé de prendre une femme noire dans son bus: « Je ne permets pas qu’une Kushim (terme péjoratif désignant les Noirs) de monter à bord du bus. Est-ce qu’il y avait des bus en Éthiopie ? En Éthiopie, vous n’avez même de chaussures alors pourquoi ne marchez-vous pas? » Avait-il déclaré. D’autres rapports dévoilent des insultes faites contre les falashas, des enfants israéliens lançaient des pierres sur des soldats éthiopiens etc.
Dans certains quartiers d’Israël, il est interdit de louer ou de vendre un appartement à un éthiopien d’origine. En 2009, un agent immobilier qui recherchait des logements à ses clients a été choqué par les propos d’un propriétaire d’immeuble à Ashkelon:
« Tout le monde peut venir, mais pas les Ethiopiens. Voilà notre politique. Au moins je l'espère, il est important pour nous de préserver la valeur de l'appartement et la valeur de l'immeuble ... Nous avons conservé cette politique de ne pas vendre aux Ethiopiens pendant 16 ans. Je ne peux pas parler au nom de tout l’immeuble... Cependant lorsqu’on loue un appartement à un Falasha, l’appartement baisse de 30% en valeur ... Je ne suis pas expert dans les détails, mais le prix baisse si les Ethiopiens viennent habiter dans ces endroits. Je ne me soucie pas de qui vit ici, je ne suis pas raciste. Mais lorsque je dépasserai mes locataires, ils vont me regarder comme un traître parce que j’ai loué aux Ethiopiens. Je ne veux pas ruiner mes relations avec mes amis. »
Le grand scandale : Un médicament pour contrôler les naissances
En 2010, un médecin a dévoilé que des fonctionnaires de santé en Israël donnaient des médicaments à de nombreuses immigrantes éthiopiennes femmes. Le but étant de contrôler, à long terme, les naissances. Un enquête a montré que 57 pour cent qui ont pris le médicament " Depo-Provera " étaient des femmes éthiopiennes, malgré le fait que les Falashas ne représentent que 2 pour cent environ de la population israélienne.
Afin de dénoncer ces discriminations, un porte-parole de l'Association israélienne de Juifs éthiopiens (IAEJ), Avi Maspin, a déclaré que le racisme est un mot qu’il n’a jamais voulu utiliser jusqu'à maintenant, parce qu’il ne croyait en aucun cas que cela pouvait exister en Israël : « La société israélienne est profondément infectée par le racisme et malheureusement, il n'y a pas de châtiments appropriés contre le racisme en Israël. »
L’histoire de la Shoah, intégrée bientôt dans les programmes scolaires des pays africains pour lutter contre l’antisémitisme. Quelle place alors pour les juifs noirs d’Israël ?
Contre l’antisémitisme et pour la primauté du dialogue et de la recherche de la paix sur la culture de l’affrontement et de la guerre, La capitale du Sénégal, Dakar va abriter, le lundi 1er juin 2015, la 1ere conférence sur l'enseignement de la Shoah. Cette conférence fait partie d’une série de six conférences internationales organisée par le Projet Aladin et l’UNESCO. Le Projet Aladin étant une ONG internationale basée à Paris qui œuvre pour la compréhension mutuelle, de la justice et de la fraternité humaine.
LIRE http://www.canalfrance.info/Dakar-va-abriter-la-1ere-conference-sur-l-enseignement-de-la-Shoah-en-Afrique-pour-lutter-contre-l-antisemitisme_a5070.html
Ce projet de vouloir enseigner l’histoire de la Shoah en Afrique semble faire suite aux déclarations du Président Français François Hollande, après les attaques contre Charlie Hebdo et des juifs de France. Pour lutter contre une montée rapide de l’antisémitisme, Hollande a jugé nécessaire de faire enseigner l’histoire de la Shoah partout et sans aucune restriction.
Pour la lutte contre le racisme anti-Falasha, l’histoire des juifs noirs d’Israël va-t-elle également être enseignée dans le monde ?
Pour comprendre le rejet des éthiopiens par les israéliens blancs, il faudrait comprendre l’histoire biblique vieille de 3 000 ans. Falasha signifie « Famille d’Israël », « juifs noirs » ou « Beta Israël » et est généralement considéré comme un terme péjoratif. Selon les mythes, les juifs noirs descendraient des Israélites ayant accompagné le prince Ménélik, fils du roi Salomon et de la reine de Saba lorsqu’il apporta l’arche d’alliance en Éthiopie, au Xe siècle avant Jésus-Christ. En 1624, les derniers Beta Israël indépendants sont battus par l’armée chrétienne éthiopienne. La société falasha vit alors dans des villages réservés, évitée par tous. Elle s’est repliée sur elle-même. Pour beaucoup israéliens, les noirs ne pouvaient être des juifs.
En 1984, le gouvernement israélien procède à l’"Opération Moïse" où 16 000 juifs éthiopiens arrivent en Israël. Le 24 mai 1991, 14 000 autres sont transportés en une nuit lors de l’opération Salomon. On comptait en 2005 environ 105 000 personnes d’origine éthiopienne en Israël. À l'époque, ces missions «de sauvetage» ont créé la polémique. Certains sionistes ont salué le retour inévitable des Juifs africains en terre promise. Cependant pour d'autres, ce déplacement relevait d’un stratagème cynique du gouvernement pour modifier la démographie de la Palestine. L’arrivée en masse des éthiopiens représentaient un succès politique pour certains, particulièrement dans le secteur de l’armée, la main d’œuvre à bas coût. L’apprentissage de l’hébreu était obligatoire pour permettre une intégration réussie en Israël. D'autres ont cependant dénoncé une supercherie pour déstabiliser la Palestine
Bien qu'il existe, sans aucun doute, des exemples d’intégration, pour beaucoup, le tableau est plutôt sombre. Un rapport publié dans le journal New-Yorkais Newsweek décrit la situation alarmante des Falashas. La pauvreté est trois fois plus élevée chez les Éthiopiens que chez les Israéliens blancs et le chômage, deux fois plus élevé. Les jeunes sont beaucoup plus susceptibles d’abandonner l'école et sont largement sous-représentés dans les universités du pays. L’endroit où ils sont surreprésentés est la prison: la délinquance juvénile est quatre fois plus élevée dans leur communauté.
Le niveau de vie de la communauté Falasha est l'un des plus bas du pays. Selon les informations les plus à jour du ministère de la protection sociale et des services sociaux, «les deux tiers des éthiopiens ont besoin d’assistance. Dans certaines villes, près de 90 pour cent demandent l'accès aux soins. Près de 75 pour cent des familles éthiopiennes vivent en dessous du seuil de pauvreté. » Le chômage est d'environ 70 pour cent.
Un racisme manifeste
Il existe une multitude de preuves flagrantes de racisme dans les écoles, les hôpitaux, les associations de logement et de travail. En 2009, un chauffeur de bus a refusé de prendre une femme noire dans son bus: « Je ne permets pas qu’une Kushim (terme péjoratif désignant les Noirs) de monter à bord du bus. Est-ce qu’il y avait des bus en Éthiopie ? En Éthiopie, vous n’avez même de chaussures alors pourquoi ne marchez-vous pas? » Avait-il déclaré. D’autres rapports dévoilent des insultes faites contre les falashas, des enfants israéliens lançaient des pierres sur des soldats éthiopiens etc.
Dans certains quartiers d’Israël, il est interdit de louer ou de vendre un appartement à un éthiopien d’origine. En 2009, un agent immobilier qui recherchait des logements à ses clients a été choqué par les propos d’un propriétaire d’immeuble à Ashkelon:
« Tout le monde peut venir, mais pas les Ethiopiens. Voilà notre politique. Au moins je l'espère, il est important pour nous de préserver la valeur de l'appartement et la valeur de l'immeuble ... Nous avons conservé cette politique de ne pas vendre aux Ethiopiens pendant 16 ans. Je ne peux pas parler au nom de tout l’immeuble... Cependant lorsqu’on loue un appartement à un Falasha, l’appartement baisse de 30% en valeur ... Je ne suis pas expert dans les détails, mais le prix baisse si les Ethiopiens viennent habiter dans ces endroits. Je ne me soucie pas de qui vit ici, je ne suis pas raciste. Mais lorsque je dépasserai mes locataires, ils vont me regarder comme un traître parce que j’ai loué aux Ethiopiens. Je ne veux pas ruiner mes relations avec mes amis. »
Le grand scandale : Un médicament pour contrôler les naissances
En 2010, un médecin a dévoilé que des fonctionnaires de santé en Israël donnaient des médicaments à de nombreuses immigrantes éthiopiennes femmes. Le but étant de contrôler, à long terme, les naissances. Un enquête a montré que 57 pour cent qui ont pris le médicament " Depo-Provera " étaient des femmes éthiopiennes, malgré le fait que les Falashas ne représentent que 2 pour cent environ de la population israélienne.
Afin de dénoncer ces discriminations, un porte-parole de l'Association israélienne de Juifs éthiopiens (IAEJ), Avi Maspin, a déclaré que le racisme est un mot qu’il n’a jamais voulu utiliser jusqu'à maintenant, parce qu’il ne croyait en aucun cas que cela pouvait exister en Israël : « La société israélienne est profondément infectée par le racisme et malheureusement, il n'y a pas de châtiments appropriés contre le racisme en Israël. »
L’histoire de la Shoah, intégrée bientôt dans les programmes scolaires des pays africains pour lutter contre l’antisémitisme. Quelle place alors pour les juifs noirs d’Israël ?
Contre l’antisémitisme et pour la primauté du dialogue et de la recherche de la paix sur la culture de l’affrontement et de la guerre, La capitale du Sénégal, Dakar va abriter, le lundi 1er juin 2015, la 1ere conférence sur l'enseignement de la Shoah. Cette conférence fait partie d’une série de six conférences internationales organisée par le Projet Aladin et l’UNESCO. Le Projet Aladin étant une ONG internationale basée à Paris qui œuvre pour la compréhension mutuelle, de la justice et de la fraternité humaine.
LIRE http://www.canalfrance.info/Dakar-va-abriter-la-1ere-conference-sur-l-enseignement-de-la-Shoah-en-Afrique-pour-lutter-contre-l-antisemitisme_a5070.html
Ce projet de vouloir enseigner l’histoire de la Shoah en Afrique semble faire suite aux déclarations du Président Français François Hollande, après les attaques contre Charlie Hebdo et des juifs de France. Pour lutter contre une montée rapide de l’antisémitisme, Hollande a jugé nécessaire de faire enseigner l’histoire de la Shoah partout et sans aucune restriction.
Pour la lutte contre le racisme anti-Falasha, l’histoire des juifs noirs d’Israël va-t-elle également être enseignée dans le monde ?
Pour comprendre le rejet des éthiopiens par les israéliens blancs, il faudrait comprendre l’histoire biblique vieille de 3 000 ans. Falasha signifie « Famille d’Israël », « juifs noirs » ou « Beta Israël » et est généralement considéré comme un terme péjoratif. Selon les mythes, les juifs noirs descendraient des Israélites ayant accompagné le prince Ménélik, fils du roi Salomon et de la reine de Saba lorsqu’il apporta l’arche d’alliance en Éthiopie, au Xe siècle avant Jésus-Christ. En 1624, les derniers Beta Israël indépendants sont battus par l’armée chrétienne éthiopienne. La société falasha vit alors dans des villages réservés, évitée par tous. Elle s’est repliée sur elle-même. Pour beaucoup israéliens, les noirs ne pouvaient être des juifs.
En 1984, le gouvernement israélien procède à l’"Opération Moïse" où 16 000 juifs éthiopiens arrivent en Israël. Le 24 mai 1991, 14 000 autres sont transportés en une nuit lors de l’opération Salomon. On comptait en 2005 environ 105 000 personnes d’origine éthiopienne en Israël. À l'époque, ces missions «de sauvetage» ont créé la polémique. Certains sionistes ont salué le retour inévitable des Juifs africains en terre promise. Cependant pour d'autres, ce déplacement relevait d’un stratagème cynique du gouvernement pour modifier la démographie de la Palestine. L’arrivée en masse des éthiopiens représentaient un succès politique pour certains, particulièrement dans le secteur de l’armée, la main d’œuvre à bas coût. L’apprentissage de l’hébreu était obligatoire pour permettre une intégration réussie en Israël. D'autres ont cependant dénoncé une supercherie pour déstabiliser la Palestine
les rastas se disant venir d ethiopie...
karloguan
6634
Je poste, donc je suis
Membre depuis 15 ans
53710 Posté le 30/07/2016 à 04:43:32
Mmmmmhhh ça sent bon tout ça : on peut être juif, noir, mais pas les 2 visiblement. Parce que j'imagine que ce qu'on leur reproche c'est d'être noir au fond, pas éthiopien.
Et s'il le faut j'emploierai de moyens légos !
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