Sujet de la discussionPosté le 09/08/2003 à 10:06:23Alerte Citations
Celle la est si belle que je suis obligé de l'écrire:
Citation : Moi depuis que je paye plus mon loyer, j'ai considérablement augmenté mon pouvoir d'achat
Problemes avec votre petite amie / femme ? Vous voulez la larguer sans en avoir l'air ? Vous ne voulez plus la voir ? Demandez a un specialiste. Demandez a Avatar. L' Avatar du Congo (Avec un A majuscule, c'est mon nom propre).
On peut très bien s'en passer quand on n'a pas trop de collaboratif.
Pour ma part, je dois faire partie d'une bonne demi-douzaine d'organisations associatives, plus les collaborations liées au boulot.
J'essaye de passer tout le monde sur Collabora Office (NextCloud), Framapad, etc, mais c'est pas facile. Et faut reconnaître que l'intégration Google Drive / Google Doc est efficace et simple. Encore heureux vu les milliards et les équipes de développeurs qu'ils ont pour proposer tout ça. Le problème est le prix à payer.
Nextcloud / Office remplit largement les besoins, mais ça demande un tout petit peu plus d'engagement. Or, dans le cadre associatif, les gens ont du mal à se donner un peu de mal pour ça, ce qui peut se comprendre quand ils consacrent déjà beaucoup d'énergie et de temps à leur bénévolat et qu'en plus, ils n'utilisent ces outils que ponctuellement.
De plus c'est ton nom à toi : même en cas de disparition de ton hébergeur tu peux le transférer où tu veux sans perdre ton adresse.
Le nom ne t'appartient, c'est son utilisation que tu rémunères.
Et si tu arrêtes de payer, le nom de domaine peut être repris par quelqu'un d'autre.
Le payement des facture est une évidence
Pour le reste il y a bien moins de chance de perdre son nom de domaine qu'un hébergeur de mail disparaissent (on a tous en mémoire les offres "for life" de Bigfoot et consorts).
Hormis le défaut de payement de la facture (quelques euros par ans), il faudrait pour le perdre :
- une décision de justice
- un arbitrage défavorable de l'ICANN (par exemple si le nom choisi est celui d'une marque réputée)
Car même en cas de défaillance de l'intermédiaire (Infomaniak, OVH, ...) chez qui le nom est réservé, le nom reste toujours transférable chez un autre registrar.
Le seul vrai risque est la disparition du TLD mais ce risque n'a vraiment de chance de se matérialiser que pour les TLD vraiment exotiques.
Pour les .com, .org, .fr, .be, etc il y a vraiment peu de chance qu'ils disparaissent un jour tant qu'internet existe...