Tandis que la pauvre Jeanne hurlait sa douleur, attachée qu'elle était sur le bûcher en proie aux flammes, deux de ses soldats, noyés dans la foule, assistaient impuissants à la scène. L'Histoire retient que l'un aurait alors tenu à l'autre ces mémorables paroles: "c'est bien les chefs, ça, tiens: pour gueuler, y'a du monde, mais pour faire bouger ses bras, zéro! "