Ce matin en allant au boulot, j'attendais au feu rouge sur ma meule. Y a une nana qu'est passée, mon pauvre, hé! avec un fion truc de ouf, un machin tout rond, tout bombé, tout saillant, roulant délicieusement en dessinant des 8 alors qu'elle traversait la rue devant moi, vêtue d'une mini jaune paille que je t'aurais arraché ça rien qu'avec ma teub tellement ça a fait cocorico dans la chambre.
Je me suis dit: Dommage que ma femme n'ait pas le même...
Pi bon j'ai redémarré au vert, hein, parce que bon. Le boulot. Et là, quoi, à peine cinquante mètres après, à l'arrêt de l'autobus, THE MILF. Sculpturable. 45 balais, blonde, bronzée, un port de reine, et des jambes mon vieux! des putains de cannes tellement longues, que quand tu les remontes des pieds jusqu'à la... le... enfin là, quoi, ça doit te prendre toute une après-midi et t'as plus de salive sur la langue. Bref. Deux flèches qui donnent des idées, des sensations, comme chantait Catherine du temps de Rita Mitsouko. Et la nana, superbe, altière, plantée sur ses quilles qu'elle croisait et recroisait voluptueusement en attendant le bus.
Me suis dit: Dommage que ma femme n'ait pas les mêmes...
A côté d'elle y avait une jeunette, vingt ans, peut-être vingt-deux, avec une paire de nich... hé, non mais attends que je termine: des nichons, mon pauvre! au moins trois kilos par tête. Et rien à jeter! Tout fiers, le nez bien levé, un semblant de début de pointe (à pitre) qui s'amorçait sous le petit bustier en dentelle noire, une gorge vertigineuse qui plongeait vers une vallée ensorcelante...
Me suis dit: Dommage que ma femme n'ait pas les mêmes...
Bref, ce soir je pourrai dire en rentrant à ma femme : j'ai pensé à toi toute la journée !!!!