oui, pour les maths sup (math spé plus spécifiquement), c'était une histoire d'intégrer l'X entre l'année 1 et 2 ou entre l'année 2 et 3... (ce qui en intégrale fait effectivement 3/2 ou 5/2.
Ca mavé fait marrer à l'époque
Ah, j'avais une autre explication:
- math'sup, c'est pas une vraie année, tu bosses que 10h/jour. Ça compte 1/2.
- math'spé, çà c'est pour les Hôôômmes. Ça compte 1 pour chaque année.
Total: 3/2 ou 5/2 suivant que tu redoubles ou pas la spé.
Une autre hypothèse sur l'origine de ces surnoms est qu'en 1936 l'École polytechnique décida de modifier le calcul de la puissance moyenne des candidats admis. Elle affecta la valeur 1/2 aux élèves de mathématiques spéciales préparatoires, 3/2 aux redoublants et ainsi de suite. À partir de cette date, les élèves de mathématiques spéciales préparatoires, puis de mathématiques supérieures à partir des années 1940, furent appelés demis (au sens demi-taupins). Comme ce sont des puissances 1/2, on les appelle racines dans certains lycées. Dans cette logique, les 3/2 sont les élèves qui ont fait une hypotaupe puis une taupe, tandis que les 5/2 sont ceux qui ont fait une hypotaupe puis deux taupes. Sur leur calot, les élèves indiquaient leur puissance : une barrette argentée pour une hypotaupe, et une barrette dorée par année de taupe. La terminologie bizut, carré, cube est tombée en désuétude dans la plupart des classes préparatoires scientifiques, remplacée par les « 1/2,3/2,5/2 ». Elle est cependant encore utilisée dans certains lycées comme le Lycée Faidherbe de Lille.