Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
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kravatorf
9930
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 16/08/2004 à 23:02:11Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui
allez à vous
Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui
allez à vous
Celest1
4650
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 8 ans
24621 Posté le 19/01/2024 à 18:05:39
Citation :
j'suis super fier c'est bon, tu as gagné
101112
Celest1
4650
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 8 ans
24622 Posté le 19/01/2024 à 18:07:30
Pourtant il y a du level
Citation :
LES INFOS
Terrible accident en Belgique.
Un hélicoptère s’écrase dans un cimetière.
Les sauveteurs ont déjà dégagé plus de 500 corps.
101112
jensouniev
10164
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 8 ans
24623 Posté le 19/01/2024 à 18:58:04
Citation de Celest1 :
Allez une devinette : que font les hippopotames et pas du tout les autres animaux ?
Cherchez bien quand même avant de voir la réponse ..
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suitedes bébés hyppopotames
Bravo Celest1 !
(Elle commençait à s’oxyder, alors je la ressors. )
Djeeloo
15397
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
24625 Posté le 23/01/2024 à 11:50:21
- Urgences pompiers j''écoute.
- Y'a le feu chez moi !
- Vous connaissez l'origine du feu
- Ben c'est à la préhistoire, je crois, mais on s'en balek, venez viiite!
- Y'a le feu chez moi !
- Vous connaissez l'origine du feu
- Ben c'est à la préhistoire, je crois, mais on s'en balek, venez viiite!
L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.
sonicsnap
85231
AF, je suis ton père
Membre depuis 18 ans
24626 Posté le 23/01/2024 à 11:59:09
"L'origine du feu"! Excellent!
Didrop
975
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 14 ans
24627 Posté le 23/01/2024 à 12:20:27
Will Zégal
75104
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
24628 Posté le 24/01/2024 à 10:42:33
Vous voulez une vraie histoire de feu ?
J'habitais alors avec ma douce de l'époque dans une maison avec un salon muni d'une cheminée qui servait tout l'hiver et un bureau séparé du dit salon par un couloir.
Un soir, je bossais, j'étais à l'ordi dans le bureau en question. J'entend ma douce au téléphone avec sa remplaçante (elle était infirmière libérale) dont je savais qu'elle était aller passer quelques temps à l'autre bout de la France chez son vieux père.
Bref, je bosse, je ne prête pas plus attention que ça à la conversation ni à ce qui se passe. Je suis concentré.
Au bout d'un moment, je me rends quand même compte qu'il se passe un truc pas normal.
D'une, ça fait des plombes que ma douce est au téléphone alors qu'elle est pas du genre à bavasser des heures dans le bigot. Surtout que si elle s'entend bien avec cette remplaçante, leurs relations sont surtout professionnelles.
Deuxième bizarrerie, j'entends les pas de ma chère et tendre sur le parquet. Visiblement, elle traverse le salon, va à la cuisine attenante, fait couleur de l'eau, revient, repart à la cuisine, revient au salon...
Pareil, c'est pas son genre de faire ainsi les 100 pas. Et pourquoi entre la cuisine et le salon ? Pourquoi le robinet ? On dirait qu'elle arrose les plantes, mais c'est pas son genre de le faire en étant au téléphone et en plus, elle a fait bien plus d'allers-retours qu'il n'y a de plantes.
Bref, ces informations sensorielles finissent par percer ma brume de concentration et pénétrer mon entendement jusqu'à ce que je réalise réellement qu'il se passe un truc anormal.
Je me pointe donc dans le salon et me rend compte qu'il y a un feu de cheminée. Feu que ma douce essaye d'éteindre... avec la carafe d'eau qu'elle va remplir à la cuisine.
Tout ça en étant au téléphone.
J'entre en action. Je descends à la cave, choppe une vieille couverture, une planche qui semble avoir la bonne taille, remonte à l'étage, mouille la couverture et mets celle-ci bloquée par la planche devant l'ouverture de la cheminée pour couper l'arrivée d'air.
Puis j'appelle les pompiers. On me dit qu'ils sont prévenus et arrivent.
Ma douce est toujours au téléphone.
Je sors dans la rue attendre les pompiers. Des voisins sont dans la rue et me signalent qu'ils ont aussi appelé les pompiers : de leur jardin, ils voyaient des étincelles surgir de la cheminée.
Ma douce est aussi sortie de la maison. Et elle est toujours au téléphone
Les pompiers arrivent, montent sur le toit, éteignent le feu, contrôlent par le haut, par le bas... Puis montent dans les étages toucher les murs, les poutres, etc à la recherche d'un point chaud, de possibilité que le feu ait pu commencer à se propager dans un mur, une cloison...
tout ça dure un certain temps... et finalement, ma douce nous rejoint, enfin décrochée de son téléphone.
On discute avec les pompiers qui ne sont pas pressés de partir, voulant s'assurer qu'il n'y a pas de nouveau départ, etc. Oui, la cheminée est bien ramonée tous les ans, mais en fait, le conduit fait un coude et de la suie s'est accumulée dans un coin de celui-ci. C'est elle qui a pris feu. On le saura.
Finalement, les pompiers repartent et j'ai enfin l'explication de pourquoi ma douce est restée scotchée toute la soirée au téléphone (ce qui ne lui ressemble vraiment pas), surtout dans cette circonstance.
Sa remplaçante, donc, lui racontait... le décès de son père dans des conditions pénibles. Celui-ci a fait une crise cardiaque. Le SMUR est venu et a embarqué le monsieur et sa fille vers l'hôpital le plus proche... qui s'est dit saturé et les renvoyés vers un autre hôpital. Où les urgences étaient aussi saturées et où on les a envoyés ailleurs.
Bref, ils se sont retrouvés toute la nuit à faire le tour des hôpitaux de Marseille, pour rien, personne ne voulant les prendre en charge, jusqu'à ce que son père décède dans l'ambulance.
Ce que donc sa fille a relativement mal pris. Surtout qu'elle a appris le lendemain qu'il y avait une sorte de tri à l'entrée : en cas de surcharge, on refuse les personnes trop âgées.
Ma douce m'a dit qu'elle ne pouvait pas décemment dire à sa collègue effondrée "bon, désolé pour ton père, mais il y a le feu chez moi".
(le genre d'histoire vraie dont je suis sur que si on les mettait dans un film, les gens trouveraient un peu gros).
J'habitais alors avec ma douce de l'époque dans une maison avec un salon muni d'une cheminée qui servait tout l'hiver et un bureau séparé du dit salon par un couloir.
Un soir, je bossais, j'étais à l'ordi dans le bureau en question. J'entend ma douce au téléphone avec sa remplaçante (elle était infirmière libérale) dont je savais qu'elle était aller passer quelques temps à l'autre bout de la France chez son vieux père.
Bref, je bosse, je ne prête pas plus attention que ça à la conversation ni à ce qui se passe. Je suis concentré.
Au bout d'un moment, je me rends quand même compte qu'il se passe un truc pas normal.
D'une, ça fait des plombes que ma douce est au téléphone alors qu'elle est pas du genre à bavasser des heures dans le bigot. Surtout que si elle s'entend bien avec cette remplaçante, leurs relations sont surtout professionnelles.
Deuxième bizarrerie, j'entends les pas de ma chère et tendre sur le parquet. Visiblement, elle traverse le salon, va à la cuisine attenante, fait couleur de l'eau, revient, repart à la cuisine, revient au salon...
Pareil, c'est pas son genre de faire ainsi les 100 pas. Et pourquoi entre la cuisine et le salon ? Pourquoi le robinet ? On dirait qu'elle arrose les plantes, mais c'est pas son genre de le faire en étant au téléphone et en plus, elle a fait bien plus d'allers-retours qu'il n'y a de plantes.
Bref, ces informations sensorielles finissent par percer ma brume de concentration et pénétrer mon entendement jusqu'à ce que je réalise réellement qu'il se passe un truc anormal.
Je me pointe donc dans le salon et me rend compte qu'il y a un feu de cheminée. Feu que ma douce essaye d'éteindre... avec la carafe d'eau qu'elle va remplir à la cuisine.
Tout ça en étant au téléphone.
J'entre en action. Je descends à la cave, choppe une vieille couverture, une planche qui semble avoir la bonne taille, remonte à l'étage, mouille la couverture et mets celle-ci bloquée par la planche devant l'ouverture de la cheminée pour couper l'arrivée d'air.
Puis j'appelle les pompiers. On me dit qu'ils sont prévenus et arrivent.
Ma douce est toujours au téléphone.
Je sors dans la rue attendre les pompiers. Des voisins sont dans la rue et me signalent qu'ils ont aussi appelé les pompiers : de leur jardin, ils voyaient des étincelles surgir de la cheminée.
Ma douce est aussi sortie de la maison. Et elle est toujours au téléphone
Les pompiers arrivent, montent sur le toit, éteignent le feu, contrôlent par le haut, par le bas... Puis montent dans les étages toucher les murs, les poutres, etc à la recherche d'un point chaud, de possibilité que le feu ait pu commencer à se propager dans un mur, une cloison...
tout ça dure un certain temps... et finalement, ma douce nous rejoint, enfin décrochée de son téléphone.
On discute avec les pompiers qui ne sont pas pressés de partir, voulant s'assurer qu'il n'y a pas de nouveau départ, etc. Oui, la cheminée est bien ramonée tous les ans, mais en fait, le conduit fait un coude et de la suie s'est accumulée dans un coin de celui-ci. C'est elle qui a pris feu. On le saura.
Finalement, les pompiers repartent et j'ai enfin l'explication de pourquoi ma douce est restée scotchée toute la soirée au téléphone (ce qui ne lui ressemble vraiment pas), surtout dans cette circonstance.
Sa remplaçante, donc, lui racontait... le décès de son père dans des conditions pénibles. Celui-ci a fait une crise cardiaque. Le SMUR est venu et a embarqué le monsieur et sa fille vers l'hôpital le plus proche... qui s'est dit saturé et les renvoyés vers un autre hôpital. Où les urgences étaient aussi saturées et où on les a envoyés ailleurs.
Bref, ils se sont retrouvés toute la nuit à faire le tour des hôpitaux de Marseille, pour rien, personne ne voulant les prendre en charge, jusqu'à ce que son père décède dans l'ambulance.
Ce que donc sa fille a relativement mal pris. Surtout qu'elle a appris le lendemain qu'il y avait une sorte de tri à l'entrée : en cas de surcharge, on refuse les personnes trop âgées.
Ma douce m'a dit qu'elle ne pouvait pas décemment dire à sa collègue effondrée "bon, désolé pour ton père, mais il y a le feu chez moi".
(le genre d'histoire vraie dont je suis sur que si on les mettait dans un film, les gens trouveraient un peu gros).
T2S
3668
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 13 ans
24629 Posté le 24/01/2024 à 15:23:07
A part le décès y a rien de drôle dans la dernière
[ Dernière édition du message le 24/01/2024 à 18:45:25 ]
sonicsnap
85231
AF, je suis ton père
Membre depuis 18 ans
24630 Posté le 24/01/2024 à 16:43:05
Elle a quand même un drôle de flegme ta chérie, Will. Perso, j'aurais dit: "excuse moi, il y a le feu chez moi, je dois alerter les pompiers, je te rappelle". C'est quand même un cas de force majeure, sachant que face à ça, le cas du père de l'interlocutrice n'aura pas changé une heure après, je pense que celle-ci aurait été à même de comprendre la situation. Après, peut-être que prise dans "le feu" de la conversation, elle n'a pas mesuré qu'il y avait péril..
[ Dernière édition du message le 24/01/2024 à 16:44:19 ]
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