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Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:

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Sujet de la discussion Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)

Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde



d'ailleurs ... une bien pourrite

quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????




















beh si tu suces le spaghetti il bouge lui :mrg:

allez à vous

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Oui :bravo:

(-;  Be Funky  ;-)

Soundcloud

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"Moi j'aimais bien jouer aux dadas"

In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

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Hors sujet :
Citation de *Seed* :
Ben Giraud c'était déjà autre chose.


Oui, autre chose. Meilleur, je ne sais pas. Justement, en 1966, Giraud, c'est Bluberry, et je ne suis vraiment pas fan du dessin sur les premiers.



En 68, il a commencé une série sur les grands hommes de l'ouest, avec Buffalo Bill, et là, effectivement, on peut commencer à s'émerveiller.

[ Dernière édition du message le 28/04/2024 à 20:45:51 ]

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pourquoi parle t-on de1966 ? L'étoile mystérieuse est paru en 1942


"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Mes annonces de matériel guitare

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Ne pas comparer ce qui n’est pas comparable. Le coup de crayon de Hergé c’était la ligne claire, qui répond à des codes précis. Tous les éléments doivent être entourés d’une même ligne noire régulière, pas ou peu d’ombres ni de hachures, des bulles carrées ou rectangulaires. Le dessin se doit d’être le plus lisible possible et l’image allégée. Et surtout les couleurs sont franches, dans les limites des contours noirs, et pas de dégradés. Hergé et EP Jacobs ne sont pas les créateurs de la ligne claire mais ils sont reconnus comme de très bon dessinateurs dans ce domaine. Après on peut ne pas apprécier ce style qui paraît enfantin.
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Si ça se trouve, l'univers des platistes est constitué à 99,5 % de trolls qui cherchent les trucs les plus absurdes possible et s'amusent de voir les réactions indignées, déconcertées ou méprisantes que leurs délires engendrent.
Et de voir les 0,5% de convaincus s'enfoncer dans leur croyance absurde.

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* * * * ===========  Le Festival Interceltique de Lorient 

================ en tout confort avec un Home-Studio

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Citation de Ouatisit :
Ne pas comparer ce qui n’est pas comparable. Le coup de crayon de Hergé c’était la ligne claire, qui répond à des codes précis. Tous les éléments doivent être entourés d’une même ligne noire régulière, pas ou peu d’ombres ni de hachures, des bulles carrées ou rectangulaires. Le dessin se doit d’être le plus lisible possible et l’image allégée. Et surtout les couleurs sont franches, dans les limites des contours noirs, et pas de dégradés. Hergé et EP Jacobs ne sont pas les créateurs de la ligne claire mais ils sont reconnus comme de très bon dessinateurs dans ce domaine. Après on peut ne pas apprécier ce style qui paraît enfantin.


Très juste, dans la ligne claire, Hergé et Jacobs ne sont pas des inventeurs mais des maîtres que je ne sache pas égalés et qui avaient beaucoup à perfectionner par rapport à leurs prédécesseurs, c'est donc normal que les premiers Hergé soient moins aboutis que les suivants, sans compter qu'il a eu un studio par la suite, c'est à dire des exécutants pour l'aider. Uderzo c'est pas franchement technique mais il trouve des raccourcis qui fonctionnent bien comme on dit dans le jargon (des inexactitudes qui ne choquent pas). Le trait de Franquin est génial de dynamisme et d'expressivité. Enfin, Jean Giraud, c'est le génie pur, le meilleur, même dès la période Blueberry, où il complexifiait son dessin au fur et à mesure qu'il avançait. Je l'ai entendu en interview. Il disait que ouais, bon, au début il ne forçait pas trop (tout en étant très rapide et efficace, ce qui est déjà extraordinaire quand on voit le niveau de détail), puis il s'est rendu compte qu'on le copiait ou le méprisait un peu, genre ouais pas mal mais bon je peux faire pareil ou mieux. Piqué au vif, il s'est alors mis à faire des cases de Blueberry de plus en plus complexes, tout en tenant la cadence, il cite, par exemple, un dessin avec pour point de fuite principal la main du héros sur le pommeau de la selle, à partir de là, une vue sur la partie avant du cheval en premier plan, puis l'ensemble d'une ville de l'ouest au second, avec tous les détails et personnages et la nature sauvage et rocheuse au troisième plan, le tout avec des points de fuite et des perspectives parfaites, fait en une journée ; il a alors ajouté, en rigolant, qu'à partir de là tout le monde pouvait se brosser pour le dénigrer et qu'il a fini par se calmer dans la course à la virtuosité. Puis il y a eu toute la période Métal Hurlant et SF qui suit, L'Incal, Les mondes d'Edena, Les Vacances du Major, Le Garage hermétique, Escale sur Phargonescia, The Long Tomorrow, La Citadelle aveugle, Le Bandard fou et Arzach.

C'est celui qui me manque le plus, avec Franquin et Cabu (qui mine de rien se défendait techniquement, capable de dessiner dans le dos ou à l'aveugle, genre dans le noir ou avec le dessin caché sous une table).

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

[ Dernière édition du message le 28/04/2024 à 22:39:55 ]

25238
Et Gotlib ?
On ne le cite pas tellement souvent dans les grands dessinateurs. C'est plus en tant qu'auteur et inventeur d'univers et de personnages géniaux qu'il est généralement reconnu.
Pourtant, je lui trouve une maîtrise hallucinante du dessin, à la fois capable de trucs très variés et avec un trait immédiatement reconnaissable.

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Ah oui, Gotlib, j'ai adoré ce qu'il a fait et le bonhomme était intelligent, sympa, drôle malgré une enfance dure, père mort déporté par les nazis, porteur d'une étoile jaune et enfant caché sans sa mère pendant la guerre. Il avait beaucoup d'inventivité et de personnalité mais je ne le rangerais pas dans les techniciens. En revanche, il a le grand mérite d'être autodidacte. Après, tout comme Hergé, Goscinny, son œuvre me suffit telle qu'elle est, je n'en attendrais guère plus, à la différence des trois autres que j'ai cité précédemment où j'en redemanderais bien encore.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

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Dans ma tendre enfance, ce Monsieur (avec un grand M) m’a émerveillé. Ils étaient plusieurs dessinateurs, mais lui seul représentait pour moi la perfection du dessin de Donald et des autres personnages.
Carl Barks
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[ Dernière édition du message le 29/04/2024 à 00:31:35 ]