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Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:

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Sujet de la discussion Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)

Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde



d'ailleurs ... une bien pourrite

quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????




















beh si tu suces le spaghetti il bouge lui :mrg:

allez à vous

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25341
Je vais m'arrêter avec celle ci !

je suis ceinture blanche de judo

25342
C'est Truc qui demande à Machin "C'est quoi ce bidule ?" Et machin répond "Tu confonds, c'est une chose".

C'est pas drôle, mais au moins, je n'ai catégorisé personne. Ah si, zut. Mes deux protagonistes sont masculins. Je vais me faire engueuler.

En plein déménagement. Disponibilité aléatoire.

25343
Citation :
J'ai un gros recueil de blagues juives, y en a pas une qui fasse antisémite parce qu'elles sont drôles (ou fines).

Le principe d'une blague pourrite ça peut aussi être de faire rire parce que bête et pas drôle.. :clin:
25344
Il me semble que l'idée est même de tomber le plus bas possible.
Puis de creuser quand on touche le fond.
25345
une bonne blague c'est celle qui trouve son auditoire (en "négatif" de ce que dit Desproges : "On ne peut pas rire de tout avec tout le monde", finalement).

je suis ceinture blanche de judo

25346
Le tout, c'est de convenir que dans ce topic, on n'est pas dans les traits d'esprit de salon.. :clin:
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Certes. Enfin, je n'ai pas traité RothWeiler de raciste, j'ai juste donné mon avis sur cette, euh, blague. C'est aussi le principe d'un forum. :clin:

Citation de Nick Zefish :
Il me semble que l'idée est même de tomber le plus bas possible. Puis de creuser quand on touche le fond.

En effet.
25348
Concernant la fameuse phrase de Desproges, maître du cynisme, il faut la remettre dans son contexte et réfléchir un peu pour la comprendre, parce qu'elle est souvent utilisée par des gens d'horizons bien opposés et à contre-sens :

Citation :
Même s'il l'assumera ensuite, Pierre Desproges n'a pas écrit cette phrase dans le texte dont elle serait issue. Revenons au 29 septembre 1982 (il y a donc 33 ans, 5 mois etc.). Pierre Desproges est alors le procureur du Tribunal des flagrants délires sur France Inter, émission dont l'invité du jour est Jean-Marie Le Pen, homme politique d'extrême droite qui commence, à cette époque, à acquérir une certaine notoriété médiatique – et qui, 33 ans etc. plus tard, est toujours vivant alors que Desproges, lui, est décédé.

«La présence de Monsieur Le Pen en ces lieux voués plus souvent à la gaudriole parajudiciaire pose problème», dit Desproges. D'où cette interrogation : «Les questions qui me hantent […] sont les suivantes. Premièrement, peut-on rire de tout ? Deuxièmement, peut-on rire avec tout le monde ?» A la première question, Pierre Desproges répondra «oui sans hésiter […]». A la deuxième en revanche :

«C'est dur… Personnellement, il m'arrive de renâcler à l'idée d'inciter mes zygomatiques à la tétanisation crispée. C'est quelquefois au-dessus de mes forces, dans certains environnements humains : la compagnie d'un stalinien pratiquant me met rarement en joie. Près d'un terroriste hystérique, je pouffe à peine, et la présence à mes côtés d'un militant d'extrême droite assombrit couramment la jovialité monacale de cette mine réjouie dont je déplore en passant, mesdames et messieurs les jurés, de…» etc., etc., (après c'est du Desproges qui fait des phrases trop longues, et on s'en fiche un peu pour cet article).

Près d'un an plus tard, en novembre 1983, Desproges recyclera ce réquisitoire dans son livre Vivons heureux en attendant la mort, au «Chapitre pitre», en l'adaptant pour qu'y disparaisse toute référence à son premier contexte d'énonciation, et en l'agrémentant d'une nouvelle chute plutôt limpide :

«Il vaut mieux rire d'Auschwitz avec un Juif que de jouer au Scrabble avec Klaus Barbie.»

Bref, a priori c'est clair : par souci de décence, mais aussi parce que ce n'est humainement pas très facile, on ne s'esclaffera pas en compagnie d'un raciste, nous dit Pierre Desproges.

[...]

Mais se revendiquer de Desproges en pareil cas [blagues sur les noirs, les homos, les arabes, les handicapés…] c'est en réalité faire un «contresens», analyse Florence Leca, maître de conférences à la Sorbonne, spécialiste de la grammaire, co-autrice avec Anne-Marie Paillet, linguiste, maître de conférences à l'ENS, d'un livre sur le style de Desproges, Je suis un artiste dégagé, autant d'informations qui rendent cette phrase un poil trop longue, mais qu'il faut bien donner. « Le bon goût et le mauvais goût ne sont pas subjectifs, ce sont des choses que l'on peut analyser, renchérit Anne-Marie Paillet. Une blague qui ne fait que réciter un point de vue raciste, c'est juste vulgaire».


https://www.liberation.fr/debats/2016/02/24/on-peut-rire-de-tout-mais-on-peut-aussi-arreter-de-citer-desproges-n-importe-comment_1435056/

[ Dernière édition du message le 11/05/2024 à 16:33:55 ]

25349
"On peut rire de tout,
mais pas en mangeant de la semoule"

L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

J'ai enregistré un peu de tout et n'importe quoi

25350
Après, démarrer au 1/4 de tour pour si peu…

On the internets, nobody knows you are a dog

Mes sons

[ Dernière édition du message le 11/05/2024 à 17:14:07 ]