Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
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Anonyme
521410
Sujet de la discussion Posté le 09/04/2003 à 15:17:17Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
Et hop encore un autre sujet inutile !
Ce coup ci parlez nous des petits trucs devant lesquels vous scotchez.
Moi c'est :
-Les aiguillages de trains (surtout quand y'en a plein)
-Les usines d'embouteillage à la chaine
-Un DJ qui scratche (pas comme moi au couteau !)
-Un beau circuit de train électrique bien décorré
Ce coup ci parlez nous des petits trucs devant lesquels vous scotchez.
Moi c'est :
-Les aiguillages de trains (surtout quand y'en a plein)
-Les usines d'embouteillage à la chaine
-Un DJ qui scratche (pas comme moi au couteau !)
-Un beau circuit de train électrique bien décorré
Dr Pouet
52037
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
40462 Posté le 16/05/2016 à 21:27:29
Anonyme
15125
40463 Posté le 16/05/2016 à 21:36:22
Sérieusement, j'ai toujours eu quelques a priori vis à vis de ce genre de mode de divination. Et le scepticisme ne m'a jamais quitté sur ce point.
Par contre, il y a une vingtaine d'années, j'ai postulé pour un emploi où j'ai du me soumettre à une analyse graphologique, et ça n'était pas la première, loin s'en faut.
Fort de mon expérience du truc, et pour ne pas biaiser le travail de l'analyste, j'ai dit au recruteur que je refusais de lui communiquer mon historique de cursus professionnel, histoire que son graphologue n'aille pas décrocher le téléphone pour se renseigner sur moi auprès de mes ex-employeurs. Le gars a accepté en relevant tout de même que ma position n'était pas tout à fait la norme.
Hé bien le bilan que le graphologue a pondu sur mézigue m'a laissé pour longtemps sur le cul! J'en ai croisé d'autres depuis qui ne m'ont pas paru plus pertinents que ceux d'avant, mais alors celui-là... à se demander si le gus n'avait pas passé les 35 premières années de ma vie posé sur mon épaule!... Hallucinant d'exactitude. Je suis sorti de la lecture de son bilan aussi troublé (et encore aujourd'hui) que si l'on m'avait amené la preuve définitivement intangible qu'il y a une vie après la mort.
Par contre, il y a une vingtaine d'années, j'ai postulé pour un emploi où j'ai du me soumettre à une analyse graphologique, et ça n'était pas la première, loin s'en faut.
Fort de mon expérience du truc, et pour ne pas biaiser le travail de l'analyste, j'ai dit au recruteur que je refusais de lui communiquer mon historique de cursus professionnel, histoire que son graphologue n'aille pas décrocher le téléphone pour se renseigner sur moi auprès de mes ex-employeurs. Le gars a accepté en relevant tout de même que ma position n'était pas tout à fait la norme.
Hé bien le bilan que le graphologue a pondu sur mézigue m'a laissé pour longtemps sur le cul! J'en ai croisé d'autres depuis qui ne m'ont pas paru plus pertinents que ceux d'avant, mais alors celui-là... à se demander si le gus n'avait pas passé les 35 premières années de ma vie posé sur mon épaule!... Hallucinant d'exactitude. Je suis sorti de la lecture de son bilan aussi troublé (et encore aujourd'hui) que si l'on m'avait amené la preuve définitivement intangible qu'il y a une vie après la mort.
Anonyme
5216
40464 Posté le 16/05/2016 à 21:48:41
Faut savoir que pas mal de ces trucs sont issus d'années voir décennies d'études sociologiques dans des universités US. C'est en général plutôt bien foutu même si ce sont des outils a double-tranchant.
tihouss
26528
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
40465 Posté le 16/05/2016 à 22:27:27
Je suis BFDP!
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suite
Après la reprise, en 1975, de Maserati par Alejandro de Tomaso à Citroën (SM !), celui-ci lance la marque dans l’aventure Biturbo.
L’idée consistait à introduire sur le marché une voiture de luxe dotée d’un prix raisonnable et d’une cylindrée de moins de 2 000 cm3, taxes italiennes obligent. La cible visée était la BMW série 3 version E21, comme l’illustrent plusieurs choix techniques, voire certaines pièces détachées.
Rapidement Maserati a dû pousser les murs de son usine pour faire face à la demande : c’était le sauvetage, peut-être encore temporaire, de la marque. Les besoins de capacité de production étaient tels que le montage de certains modèles était assuré dans l'usine Innocenti de Milan.
GenèseModifier
Cabriolet Zagato.
Version 4 portes.
La voiture est étudiée chez De Tomaso en 1980. Une première décision radicale: un (petit) V6 Biturbo, une première mondiale ! Tout en alliage léger faisant appel à des dépôts de couches dures à faible coefficient de friction (Nikasil) sur les chemises moteur, en alliage léger elles aussi, équipé de culasses à 2 arbres a cames et trois soupapes par cylindre. Le moteur reste en ligne avec les principes premiers des Maserati : un petit moteur multicylindre très élaboré et très puissant...
La voiture est dessinée par Pierangelo Andreani[1], ingénieur de l'équipe De Tomaso. On peut noter l’influence Italdesign, auteur de la Quattroporte III sortie quelques mois auparavant.
La voiture[2] est présentée à la presse fin 1981. C'est rapidement un succès.
D'abord équipée d'une alimentation à carburateur en motorisation 2 000 cm3, 2 500 cm3 et 2 800 cm3 (particulièrement pour le marché américain) le modèle évoluera rapidement pour intégrer plusieurs nouveautés: injection électronique et allumage électronique cartographique couplé à la gestion, elle aussi électronique, des turbos, le tout regroupés dans deux calculateurs. Introduit conjointement, on verra deux nouvelles culasses à 4 arbres à cames et à 4 soupapes par cylindre. Puis viendra la suspension réglable depuis le poste de conduite, étudiée avec Koni, 4 positions permettent d'adapter la loi d'amortissement de la voiture à celle du terrain rencontré ou du confort recherché.
Les déclinaisons du modèle sont nombreuses. d'abord deux portes (coupé), elle se déclinera en 4 portes, en cabriolet (carrossé par Zagato) et même en un élégant petit coupé à deux places Karif.
En fin de carrière, la Biturbo (les Biturbo devrait-on dire, compte tenu de leur diversité) muteront en Ghibli II, en Barchetta à moteur V6 et la Shamal à moteur V8... toujours avec une paire de turbos. La Maserati Racing a été un véhicule de transition développé pour tester certaines évolutions techniques.
À noter qu'il a été question d'équiper les Biturbo d'un moteur V6 2 000 cm3 4 arbres à cames en tête et 6 soupapes par cylindre (6.36V !). Le moteur et surtout sa culasse ont fait l'objet de plusieurs dépôts de brevet[3]. Quelques prototypes de moteur ont été réalisés mais jamais industrialisés.
Modèles et versionsModifier
Modèles 2 portesModifier
Le modèle Coupé disposait d'un empattement de 2,51 m alors que le Spyder n'était que de 2,4 m. Les exceptions furent la Maserati Karif, basée sur le châssis court du Spyder, ainsi que la Maserati 228, basée sur le châssis long de la berline, et équipées d'un moteur 2,8 litres. Ces deux modèles spéciaux furent les seules carrosseries de Biturbo à ne pas recevoir de moteur 2 litres spécial pour le marché italien, ce qui contribua à leur rareté.
Versions :
Modèle
Années
Motorisation
Cylindrée
Marchés ciblés
Biturbo 1982-85 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo E 1983-85 V6 SACT 2 491 cm3 Tous
Biturbo S 1983-85 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo 2.5 S 1984-87 V6 SACT 2 491 cm3 Catalyseur, export
Biturbo 1985-87 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo 2.5 E 1985-88 V6 SACT 2 491 cm3 Catalysateur, export
Biturbo S 1985-86 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo i 1986-90 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo Si 1987-88 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo 2.5 Si 1987-88 V6 SACT 2 491 cm3 Catalyseur, export
Spyder 1985-94 tous tous tous
Karif 1988-91 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur, export
228 1986-92 V6 SACT 2 790 cm3 tous
228i 1986-92 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur, tous
2.24V 1988-92 V6 DACT 1 996 cm3 Italie
222 4v[4] 1988-91 V6 DACT 2 790 cm3 Catalyseur, export
222 E 1988-90 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur, export
222 SE 1990-91 V6 SACT 2 790 cm3 Tous
222 SE 1990-91 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur (US)
2.24V 1991-93 V6 DACT 1 996 cm3 Italie
2.24V 1991-93 V6 DACT 1 996 cm3 Catalyseur, Export
222 SR 1991-93 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur, Export
Racing 1991-91 V6 DACT 1 996 cm3 Italie
Italie : pour le marché italien uniquement
SACT : simples arbres à cames en tête (18 soupapes)
DACT : doubles arbres à cames en tête (24 soupapes)
Modèles 4 portesModifier
Deux ans après l'introduction de la Biturbo, Maserati présenta une version à quatre portes. Pour cette version l'empattement était légèrement plus long (2,6 m). Cette version fut remplacée en 1994 par la Quattroporte IV.
Versions :
Modèle
année
Moteur
Cylindrée
Alimentation
Marchés ciblés
425 1983-89 V6 SACT 2 491 cm3 Carburateur, turbo
420 1985-88 V6 SACT 1 995 cm3 Carburateur, turbo Italie
420i 1986-88 V6 SACT 1 995 cm3 Injection, turbo
420 S 1986-88 V6 SACT 1 995 cm3 Carburateur, turbo Italie
430 1987-90 V6 SACT 2 790 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
425i 1987-90 V6 SACT 2 491 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
422 1988-90 V6 DACT 1 996 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
4.18v 1990-94 V6 SACT 1 995 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
4.24v 1990-92 V6 DACT 1 996 cm3 Injection, turbo Italie
4.24v II 1991-94 V6 DACT 1 996 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
430 4v 1991-94 V6 DACT 2 790 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
Italie : pour le marché italien uniquement
SACT : simples arbres à cames en tête (18 soupapes)
DACT : doubles arbres à cames en tête (24 soupapes)
CinémaModifier
La Maserati Biturbo apparaît dans Permis de tuer (1989). Elle est la voiture de Franz Sanchez (Robert Davi)[5].
228Modifier
Maserati 228
Image illustrative de l'article Maserati Biturbo
Marque
Drapeau : Italie Maserati
Années de production
1986 - 1992
Classe
Coupé
Chronologie des modèles
Précédent Maserati Kyalami Maserati Ghibli Suivant
modifier Consultez la documentation du modèle
Maserati KarifModifier
Maserati Karif
Image illustrative de l'article Maserati Biturbo
Marque
Drapeau : Italie Maserati
Années de production
1988 - 1993
Classe
Coupé
modifier Consultez la documentation du modèle
Article principal : Maserati Karif.
Après la reprise, en 1975, de Maserati par Alejandro de Tomaso à Citroën (SM !), celui-ci lance la marque dans l’aventure Biturbo.
L’idée consistait à introduire sur le marché une voiture de luxe dotée d’un prix raisonnable et d’une cylindrée de moins de 2 000 cm3, taxes italiennes obligent. La cible visée était la BMW série 3 version E21, comme l’illustrent plusieurs choix techniques, voire certaines pièces détachées.
Rapidement Maserati a dû pousser les murs de son usine pour faire face à la demande : c’était le sauvetage, peut-être encore temporaire, de la marque. Les besoins de capacité de production étaient tels que le montage de certains modèles était assuré dans l'usine Innocenti de Milan.
GenèseModifier
Cabriolet Zagato.
Version 4 portes.
La voiture est étudiée chez De Tomaso en 1980. Une première décision radicale: un (petit) V6 Biturbo, une première mondiale ! Tout en alliage léger faisant appel à des dépôts de couches dures à faible coefficient de friction (Nikasil) sur les chemises moteur, en alliage léger elles aussi, équipé de culasses à 2 arbres a cames et trois soupapes par cylindre. Le moteur reste en ligne avec les principes premiers des Maserati : un petit moteur multicylindre très élaboré et très puissant...
La voiture est dessinée par Pierangelo Andreani[1], ingénieur de l'équipe De Tomaso. On peut noter l’influence Italdesign, auteur de la Quattroporte III sortie quelques mois auparavant.
La voiture[2] est présentée à la presse fin 1981. C'est rapidement un succès.
D'abord équipée d'une alimentation à carburateur en motorisation 2 000 cm3, 2 500 cm3 et 2 800 cm3 (particulièrement pour le marché américain) le modèle évoluera rapidement pour intégrer plusieurs nouveautés: injection électronique et allumage électronique cartographique couplé à la gestion, elle aussi électronique, des turbos, le tout regroupés dans deux calculateurs. Introduit conjointement, on verra deux nouvelles culasses à 4 arbres à cames et à 4 soupapes par cylindre. Puis viendra la suspension réglable depuis le poste de conduite, étudiée avec Koni, 4 positions permettent d'adapter la loi d'amortissement de la voiture à celle du terrain rencontré ou du confort recherché.
Les déclinaisons du modèle sont nombreuses. d'abord deux portes (coupé), elle se déclinera en 4 portes, en cabriolet (carrossé par Zagato) et même en un élégant petit coupé à deux places Karif.
En fin de carrière, la Biturbo (les Biturbo devrait-on dire, compte tenu de leur diversité) muteront en Ghibli II, en Barchetta à moteur V6 et la Shamal à moteur V8... toujours avec une paire de turbos. La Maserati Racing a été un véhicule de transition développé pour tester certaines évolutions techniques.
À noter qu'il a été question d'équiper les Biturbo d'un moteur V6 2 000 cm3 4 arbres à cames en tête et 6 soupapes par cylindre (6.36V !). Le moteur et surtout sa culasse ont fait l'objet de plusieurs dépôts de brevet[3]. Quelques prototypes de moteur ont été réalisés mais jamais industrialisés.
Modèles et versionsModifier
Modèles 2 portesModifier
Le modèle Coupé disposait d'un empattement de 2,51 m alors que le Spyder n'était que de 2,4 m. Les exceptions furent la Maserati Karif, basée sur le châssis court du Spyder, ainsi que la Maserati 228, basée sur le châssis long de la berline, et équipées d'un moteur 2,8 litres. Ces deux modèles spéciaux furent les seules carrosseries de Biturbo à ne pas recevoir de moteur 2 litres spécial pour le marché italien, ce qui contribua à leur rareté.
Versions :
Modèle
Années
Motorisation
Cylindrée
Marchés ciblés
Biturbo 1982-85 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo E 1983-85 V6 SACT 2 491 cm3 Tous
Biturbo S 1983-85 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo 2.5 S 1984-87 V6 SACT 2 491 cm3 Catalyseur, export
Biturbo 1985-87 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo 2.5 E 1985-88 V6 SACT 2 491 cm3 Catalysateur, export
Biturbo S 1985-86 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo i 1986-90 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo Si 1987-88 V6 SACT 1 995 cm3 Italie
Biturbo 2.5 Si 1987-88 V6 SACT 2 491 cm3 Catalyseur, export
Spyder 1985-94 tous tous tous
Karif 1988-91 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur, export
228 1986-92 V6 SACT 2 790 cm3 tous
228i 1986-92 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur, tous
2.24V 1988-92 V6 DACT 1 996 cm3 Italie
222 4v[4] 1988-91 V6 DACT 2 790 cm3 Catalyseur, export
222 E 1988-90 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur, export
222 SE 1990-91 V6 SACT 2 790 cm3 Tous
222 SE 1990-91 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur (US)
2.24V 1991-93 V6 DACT 1 996 cm3 Italie
2.24V 1991-93 V6 DACT 1 996 cm3 Catalyseur, Export
222 SR 1991-93 V6 SACT 2 790 cm3 Catalyseur, Export
Racing 1991-91 V6 DACT 1 996 cm3 Italie
Italie : pour le marché italien uniquement
SACT : simples arbres à cames en tête (18 soupapes)
DACT : doubles arbres à cames en tête (24 soupapes)
Modèles 4 portesModifier
Deux ans après l'introduction de la Biturbo, Maserati présenta une version à quatre portes. Pour cette version l'empattement était légèrement plus long (2,6 m). Cette version fut remplacée en 1994 par la Quattroporte IV.
Versions :
Modèle
année
Moteur
Cylindrée
Alimentation
Marchés ciblés
425 1983-89 V6 SACT 2 491 cm3 Carburateur, turbo
420 1985-88 V6 SACT 1 995 cm3 Carburateur, turbo Italie
420i 1986-88 V6 SACT 1 995 cm3 Injection, turbo
420 S 1986-88 V6 SACT 1 995 cm3 Carburateur, turbo Italie
430 1987-90 V6 SACT 2 790 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
425i 1987-90 V6 SACT 2 491 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
422 1988-90 V6 DACT 1 996 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
4.18v 1990-94 V6 SACT 1 995 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
4.24v 1990-92 V6 DACT 1 996 cm3 Injection, turbo Italie
4.24v II 1991-94 V6 DACT 1 996 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
430 4v 1991-94 V6 DACT 2 790 cm3 Injection, turbo Catalyseur, Export
Italie : pour le marché italien uniquement
SACT : simples arbres à cames en tête (18 soupapes)
DACT : doubles arbres à cames en tête (24 soupapes)
CinémaModifier
La Maserati Biturbo apparaît dans Permis de tuer (1989). Elle est la voiture de Franz Sanchez (Robert Davi)[5].
228Modifier
Maserati 228
Image illustrative de l'article Maserati Biturbo
Marque
Drapeau : Italie Maserati
Années de production
1986 - 1992
Classe
Coupé
Chronologie des modèles
Précédent Maserati Kyalami Maserati Ghibli Suivant
modifier Consultez la documentation du modèle
Maserati KarifModifier
Maserati Karif
Image illustrative de l'article Maserati Biturbo
Marque
Drapeau : Italie Maserati
Années de production
1988 - 1993
Classe
Coupé
modifier Consultez la documentation du modèle
Article principal : Maserati Karif.
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
Dr Pouet
52037
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
40466 Posté le 16/05/2016 à 22:40:30
C'est assez précis, finalement.
El Migo
24005
Vie après AF ?
Membre depuis 16 ans
40467 Posté le 16/05/2016 à 22:53:39
Citation :
Je suis BFDP!
Brave Fils De Pute ??
Anonyme
9049
40470 Posté le 17/05/2016 à 07:51:00
Citation :
arbres à cames
C'était déjà écologique en fonctionnant grâce à des plants de canabis et feuilles de coca.
[ Dernière édition du message le 17/05/2016 à 07:51:28 ]
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