Les conneries on stage
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...j-master
33960
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
berl
10919
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
j-master en mode bégaiement 8-)
C'était un Transit, pas un Master d'ailleurs. Pas trop plié le Transit ?
Ca fait cher la date ratée, quand même...
C'était un Transit, pas un Master d'ailleurs. Pas trop plié le Transit ?
Ca fait cher la date ratée, quand même...
Bernard
http://sonotrad.org --- http://diato.org --- "Collectionneur" de tables numériques Innovason et de micros DIY --- Fer à souder toujours chaud...
berl
10919
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
Citation de jeangusyoung :
Bonjour monsieur ! Gendarmerie Nationale
Vous avez vu votre orthographe ?!?? ça vous fera 90 H de cours de français et un zéro à essayer d'annuler à l'examen
Bernard
http://sonotrad.org --- http://diato.org --- "Collectionneur" de tables numériques Innovason et de micros DIY --- Fer à souder toujours chaud...
Pechouland
1535
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
Citation de : jeangusyoung
Est-ce que des fois t'aurais pas essayé de lui mettre un doigt ou autre chose dans le fond de la bouche ?
Non mais maintenant que tu le dis, j'aurais dû l'exiger après en guise de dédommagement...
jeanseb85
16884
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
parce que tu ne l'as pas fait ??? t'es vraiment trop bon !
gratte grattounette.....
berl
10919
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
Là, c'est trop mignon
Bernard
http://sonotrad.org --- http://diato.org --- "Collectionneur" de tables numériques Innovason et de micros DIY --- Fer à souder toujours chaud...
Anonyme
9049
Will Zégal
75072
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Avant de "petites" COS d'ingéé son, gros coup de gueule d'after-stage.
L'autre jour avec mon groupe, on joue au Festival Interceltique de Lorient, dans un des pavillons qui sont situés sur le port (celui des Asturies, mais OSEF).
Il y d'un côté le port avec ses larges quais vers lesquels sont ouverts les pavillons et où la foule déambule et, derrière les pavillons, une zone technique fermée, puis la rue, elle-même fermée à la circulation dans laquelle ne passent que ceux qui veulent se rendre rapidement d'un bout à l'autre du port.
Quand j'arrive, je fais comme tout musicien ou toute personne ayant besoin de trimbaler du matos vers les pavillons : j'ouvre les barrières, fait passer mon camion, referme la barrière... ainsi de suite jusqu'à ce que je sois arrivé au point de déchargement.
C'est en fin d'après-midi. Il y a pas mal de monde, mais ça ne pose aucun problème.
Installation et balances terminées (à 19h00), je rentre chez moi prendre un repos bien mérité vu qu'on ne joue qu'à 23 heures.
Retour au concert. Je me gare de l'autre côté du port.
Après le concert, les discussions avec le public, le matos ramassé, des coup bus avec quelques organisateurs venus voir ce qu'on donne sur scène... il doit être dans 2 heures du mat. Les derniers concerts se terminent. Ma douce et moi on est allés récupérer le fourgon pendant qu'un pote garde le matos au point de chargement. On arrive à l'entrée du pont qui traverse le port... et là, un gus en gilet jaune vient nous dire qu'on ne peut pas passer.
On lui explique qu'on est musiciens, qu'on doit juste passer le pont et tourner à gauche (on voit le pavillon de là où on est). Ça fait deux barrières à bouger. Il n'y a personne sur le pont. Mais le mec est bourré comme un coin au point d'avoir du mal à parler et ne veut rien savoir. "Il faut passer par le cours de la Bôve. Là, il y a mon responsable qui laisse passer les musiciens".
Sauf que pour atteindre ce cours situé à 300 m à vol d'oiseau, il faut contourner tout le festival, c'est à dire tout le centre ville + la zone du stade pour se pointer de l'autre côté.
Il n'y aurait que l'abruti de service, on ne l'aurait pas écouté et on serait passés, mais il y avait un car de CRS garé pas loin et, avec la fatigue (on a pas mal enchaîné ces dernières semaines), je ne voulais pas prendre le risque que ça tourne vinaigre.
Donc, au lieu de faire à peu près 200 m de rue désertes, on a fait plusieurs kilomètres dans les bouchons de tous les festivaliers quittant la ville pour finir par arriver à l'endroit idoine où il n'y avait de toutes façons plus personne et dont les barrières étaient grandes ouvertes.
Je tiens à remercier tous les bénévoles du FIL (et des festivals en général) qui travaillent pour que musiciens et festivaliers vivent une belle fête.
Sauf ce connard bourré comme un coin accroché à son règlement et incapable de voir qu'il était obsolète à l'heure dite (le règlement comme le gars lui-même).
En plus, le concert s'était super bien passé mais avait été assez infernal sur scène : matos à la ramasse et "ingé son" adorable, mais aux fraises, qui en a fait plein de belles. Notez au passage qu'il est espagnol et parle l'anglais avec un accent aussi mauvais que le mien.
- aux balances le mec n'a soit-disant pas eu la fiche tech. Il n'à qu'un DI et il en faut trois. Heureusement, ce sont sont pas les scènes qui manquent autour. On perd juste un gros quart d'heure.
- il n'y que deux retours sur une même ligne... Plus une enceinte amplifiée sur une autre ligne. On est 4. Tant Je lui dit de la placer au centre pour le chanteur. Je me baserai sur les retours de mes collègues (je suis derrière eux).
Le mec bouge l'enceinte, tire une ralonge, essaye X fois sans obtenir de son dedans. Plusieurs fois, je lui dit qu'il a oublié de la brancher, mais le mec court de sa console à l'enceinte sans comprendre ce que je lui dis. Car il l'a bien branchée... mais que l'alim électrique, pas la modul...
- pendant le concert un micro accroche sur scène. Normal : on joue dans un chapiteau pas énorme et le mec nous a mis un volume de cheval dans les retours (mais on a eu tellement de mal à obtenir une balance retour à peu près satisfaisante qu'on n'ose pas lui demander de retoucher quoi que ce soit).
Le micro qui fautif, c'est le second micro du joueur de biniou qui ne lui sert que sur quelques morceaux, lorsqu'il passe à la bombarde. L'ingé son lui a plusieurs fois dit de ne pas s'éloigner de ce micro car ça le faisait larséner. Il a quand même fallu que mon pote traverse la scène et aille simplement lui suggérer de couper le micro sur les morceaux où il ne servait pas pour régler le problème.
- a un moment, fin de morceau, on entend un peu de musique dans les retours. Le leader du groupe se tourne vers moi, étonné. Je tends l'oreille. Non, ça ne peut pas venir de mes machines. On regarde l'ingé son... Il se frappe le front : il avait oublié de couper la bande de musique de fond qui passait entre les concerts.
Bon, apparemment, le son était plutôt bon en façade et malgré tout ça, ça s'est plutôt bien passé.
L'autre jour avec mon groupe, on joue au Festival Interceltique de Lorient, dans un des pavillons qui sont situés sur le port (celui des Asturies, mais OSEF).
Il y d'un côté le port avec ses larges quais vers lesquels sont ouverts les pavillons et où la foule déambule et, derrière les pavillons, une zone technique fermée, puis la rue, elle-même fermée à la circulation dans laquelle ne passent que ceux qui veulent se rendre rapidement d'un bout à l'autre du port.
Quand j'arrive, je fais comme tout musicien ou toute personne ayant besoin de trimbaler du matos vers les pavillons : j'ouvre les barrières, fait passer mon camion, referme la barrière... ainsi de suite jusqu'à ce que je sois arrivé au point de déchargement.
C'est en fin d'après-midi. Il y a pas mal de monde, mais ça ne pose aucun problème.
Installation et balances terminées (à 19h00), je rentre chez moi prendre un repos bien mérité vu qu'on ne joue qu'à 23 heures.
Retour au concert. Je me gare de l'autre côté du port.
Après le concert, les discussions avec le public, le matos ramassé, des coup bus avec quelques organisateurs venus voir ce qu'on donne sur scène... il doit être dans 2 heures du mat. Les derniers concerts se terminent. Ma douce et moi on est allés récupérer le fourgon pendant qu'un pote garde le matos au point de chargement. On arrive à l'entrée du pont qui traverse le port... et là, un gus en gilet jaune vient nous dire qu'on ne peut pas passer.
On lui explique qu'on est musiciens, qu'on doit juste passer le pont et tourner à gauche (on voit le pavillon de là où on est). Ça fait deux barrières à bouger. Il n'y a personne sur le pont. Mais le mec est bourré comme un coin au point d'avoir du mal à parler et ne veut rien savoir. "Il faut passer par le cours de la Bôve. Là, il y a mon responsable qui laisse passer les musiciens".
Sauf que pour atteindre ce cours situé à 300 m à vol d'oiseau, il faut contourner tout le festival, c'est à dire tout le centre ville + la zone du stade pour se pointer de l'autre côté.
Il n'y aurait que l'abruti de service, on ne l'aurait pas écouté et on serait passés, mais il y avait un car de CRS garé pas loin et, avec la fatigue (on a pas mal enchaîné ces dernières semaines), je ne voulais pas prendre le risque que ça tourne vinaigre.
Donc, au lieu de faire à peu près 200 m de rue désertes, on a fait plusieurs kilomètres dans les bouchons de tous les festivaliers quittant la ville pour finir par arriver à l'endroit idoine où il n'y avait de toutes façons plus personne et dont les barrières étaient grandes ouvertes.
Je tiens à remercier tous les bénévoles du FIL (et des festivals en général) qui travaillent pour que musiciens et festivaliers vivent une belle fête.
Sauf ce connard bourré comme un coin accroché à son règlement et incapable de voir qu'il était obsolète à l'heure dite (le règlement comme le gars lui-même).
En plus, le concert s'était super bien passé mais avait été assez infernal sur scène : matos à la ramasse et "ingé son" adorable, mais aux fraises, qui en a fait plein de belles. Notez au passage qu'il est espagnol et parle l'anglais avec un accent aussi mauvais que le mien.
- aux balances le mec n'a soit-disant pas eu la fiche tech. Il n'à qu'un DI et il en faut trois. Heureusement, ce sont sont pas les scènes qui manquent autour. On perd juste un gros quart d'heure.
- il n'y que deux retours sur une même ligne... Plus une enceinte amplifiée sur une autre ligne. On est 4. Tant Je lui dit de la placer au centre pour le chanteur. Je me baserai sur les retours de mes collègues (je suis derrière eux).
Le mec bouge l'enceinte, tire une ralonge, essaye X fois sans obtenir de son dedans. Plusieurs fois, je lui dit qu'il a oublié de la brancher, mais le mec court de sa console à l'enceinte sans comprendre ce que je lui dis. Car il l'a bien branchée... mais que l'alim électrique, pas la modul...
- pendant le concert un micro accroche sur scène. Normal : on joue dans un chapiteau pas énorme et le mec nous a mis un volume de cheval dans les retours (mais on a eu tellement de mal à obtenir une balance retour à peu près satisfaisante qu'on n'ose pas lui demander de retoucher quoi que ce soit).
Le micro qui fautif, c'est le second micro du joueur de biniou qui ne lui sert que sur quelques morceaux, lorsqu'il passe à la bombarde. L'ingé son lui a plusieurs fois dit de ne pas s'éloigner de ce micro car ça le faisait larséner. Il a quand même fallu que mon pote traverse la scène et aille simplement lui suggérer de couper le micro sur les morceaux où il ne servait pas pour régler le problème.
- a un moment, fin de morceau, on entend un peu de musique dans les retours. Le leader du groupe se tourne vers moi, étonné. Je tends l'oreille. Non, ça ne peut pas venir de mes machines. On regarde l'ingé son... Il se frappe le front : il avait oublié de couper la bande de musique de fond qui passait entre les concerts.
Bon, apparemment, le son était plutôt bon en façade et malgré tout ça, ça s'est plutôt bien passé.
[ Dernière édition du message le 17/08/2015 à 18:38:01 ]
Anonyme
9049
Ha je savais que je n'aurais pas du manquer ça 
Will Zégal
75072
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
J'espère que les conditions seront meilleures quand on jouera par d'cheux toi 
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