Les conneries on stage
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Chouby

Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense


Jimbass

Avant un tremplin rock, dont les règles étaient assez originales (temps de montage et démontage inclus dans le bref temps de jeu imparti) on avait inclus dans notre programme de travail des répétitions d'installation, avec chrono. Chacun amenait un élément de batterie (cymbale ou accessoire) en plus de son instrument, savait à l'avance qui branchait quel câble où, etc. Du sas de la salle de répète à la première note, il ne se passait pas plus d'une minute et demi !
Sans aller jusque-là, c'est une bonne idée de se répartir clairement les rôles (notamment dans les cas où on est autonomes en matos) et de pratiquer à l'avance.
Et envoyer la chanteuse s'occuper du merch' dès la fin du set est aussi un élément stratégique de facilitation du démontage ...

Musikmesser 2013 - Bullshit Gourous - Tocxic Instruments - festivals Foud'Rock, Metal Sphère et la Tour met les Watts

sonicsnap

Depuis que je ne tourne plus avec mon groupe, j'ai été remplacé par un sampler S6000 avec disque dur. Mais je tremble quand je vois mes collègues ou des roads de circonstance le manipuler. Jour après jour, je leur fais la leçon sur le fait qu'un instrument avec disque dur doit être considéré comme très fragile. Si le disque vient à calancher, ce sera une galère conséquente. Et je n'ai pas envie d'avoir des COS à raconter à ce sujet. Pourtant chacun d'entre eux prend soin de son propre matériel, mais peut-être parce que le sampler est un instrument collectif, ça gave tout le monde de l'installer et de le ranger. Donc c'est fait n'importe comment. Enfin je les ai prévenus que s'il tombait en rade, ce serait inutile de venir pleurer auprès de moi pour que je trouve une solution!

Chris Kazvon

Chris Kazvon
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Anonyme


JohnnyG

Ce qui va foutu la trouille au début c'est les cycles d'écritures. Mais on est quand même peinard pour un moment. .

gloglo125


'voyez la dune là-bas ?... Ben derrière, y'a les plus belles roses des sables de tout le Niger... Eh ben elle a voulu aller voir !

Chris Kazvon

je sais pas si les SSD récents intègrent pas un bout de programme qui permet de gérer ça
mais sinon mécaniquement c'est bien plus costaud, c'est comme une grosse clé usb
Chris Kazvon
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JohnnyG


sonicsnap


Will Zégal

Avant un tremplin rock, dont les règles étaient assez originales (temps de montage et démontage inclus dans le bref temps de jeu imparti) on avait inclus dans notre programme de travail des répétitions d'installation, avec chrono. Chacun amenait un élément de batterie (cymbale ou accessoire) en plus de son instrument, savait à l'avance qui branchait quel câble où, etc. Du sas de la salle de répète à la première note, il ne se passait pas plus d'une minute et demi !
Sans aller jusque-là, c'est une bonne idée de se répartir clairement les rôles (notamment dans les cas où on est autonomes en matos) et de pratiquer à l'avance.
Avec mon groupe actuel, on gère chacun notre matos, notre temps personnel d'installation et de montage était plus ou moins équivalent et rien ne permettant de faire avancer plus le schmilblick en s'occupant des autres.
Avec mon précédent groupe où on jouait essentiellement dans des petits lieux avec notre propre sono et où on avait beaucoup plus de matos que de musiciens vu qu'on changeait continuellement d'instrument, on était hyper rodés sur le montage : chacun avait ses tâches, on montait du fond de la scène vers le devant pour ne pas encombrer le passage. En général, quand je terminais ma partie (sono et machines), les instruments étaient sur leurs stands avec leurs câbles, prêts à être posés sur scène et branchés aux DI et les micros étaient sur leurs pieds avec le câble qu'il n'y avait plus qu'à dérouler jusqu'à la console.
Démontage en sens inverse.
Avantages : rapidité, sécurité pour nous et le matos, confort (rien de plus pénible que de monter en devant se contorsionner sur une scène encombrée).
Avec le groupe actuel, on a gardé cette efficacité pour le montage et le démontage. On joue très souvent en dernier ou avant derniers et je trouve toujours hyper pénible les groupes qui non seulement prennent leur temps pour quitter la scène, mais sont visiblement très mal organisés et donc dont le matos encombre le plateau, t'empêchant d'installer sereinement le tien et allongeant ainsi le changement de plateau.
Nous, dès qu'on a terminé, on débranche et on emporte par blocs tout ce qui peut l'être pour démonter chaque élément du bloc tranquillement en coulisse.
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