Sujet Repet : comment travailler
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msam
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Willty
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Philou13bis
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msam
1105
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
Je ne cherche pas de recette miracle mais plutot des trucs et astuces concrets pour avancer....
sur un autre tread, un gars avait eu une bonne reflexion de dire qu'il fallait faire groover les mocreaux en les prenant assez lentement, partant du principe que quand ca groove lent ca groovera un peu plus rapide..
c'est ce genre d'astuces que je recherche, pas forcément pour moi mais pour partager un peu l'experience de chacun.
bye
sur un autre tread, un gars avait eu une bonne reflexion de dire qu'il fallait faire groover les mocreaux en les prenant assez lentement, partant du principe que quand ca groove lent ca groovera un peu plus rapide..
c'est ce genre d'astuces que je recherche, pas forcément pour moi mais pour partager un peu l'experience de chacun.
bye
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Will Zégal
74976
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Yes.
Quelques trucs :
1- travailler lentement. Sur scène, on a tendance à plus speeder. Le groove se travaille effectivement plus lentement.
2- Ne pas chercher des super arrangements tout de suite. Quand le morceau change à chaque répet parce que chacun a trouvé un nouveau truc, ça n'avance jamais. Donc mettre d'abord le morceau en place de façon simple, basique, puis une fois que le simple est maîtrisé, on peut apporter des idées.
3- ENREGISTRER ! Régulièrement. Ça permet d'entendre avec un peu de distance, et parfois de s'apercevoir de ce que jouent les autres, ce qu'on entend pas toujours quand on est dans son truc, pris par son propre jeu.
L'enregistrement permet aussi de choisir entre deux solutions (tempos différents, arrangements différents, instruments différents, sons différents). Au lieu de débattre pendant des heures si c'est mieux la gratte en clean ou en crunch, on enregistre les deux solutions et on écoute tranquillement. En général, la meilleure solution saute aux yeux.
Enregistrer, ça permet aussi de calmer ceux qui ne se trouvent jamais assez fort alors que tous les autres les trouvent trop fort. A l'écoute, j'ai vu plus d'un guitariste dire "putain, ma guitare est trop forte ! "
Enregistrer, ça permet aussi d'entendre les variations de tempo dont on a pas forcément conscience quand on joue. Les variations de tempo, par ex entre couplet & refrain, c'est pas grave et ça fait partie de la vie de la musique. Là où c'est plus génant, c'est lorsque (coup classique), il y a quelques fractions de temps qui sont bouffés sur un passage donné. Ça fait le morceau accélère au fur et à mesure et ça, c'est rarement bon.
4- Jouer souvent avec un métronome (ou un click)
5- Organiser la répet. Dire à quelle heure la répet commence et non à quelle heure on a rendez-vous. Ça fait une belle différence pour ceux qui mettent des plombes à monter leur matos.
Organiser aussi le déroulement : commencer par jouer les morceaux parfaitement au point : on les joue une fois et c'est marre. Ça permet de les revoir encore et encore et de se chauffer. Ensuite, travailler sur deux morceaux en cours maxi (un seul, c'est encore mieux). Quand ils seront au point, ils iront dans la première partie.
Finir la répet avec une jam : un truc où on se lâche. C'est l'occasion de présenter de nouvelles compos, de nouvelles idées sur lesquelles chacun peut improviser librement. C'est le grand moment d'éclate qu'il faut enregistrer systématiquement, car il y a souvent de bonnes idées dans le feu de l'action qui peuvent être oubliées ensuite. Un MD, c'est génial pour ça
6- Exiger que chacun ait son propre système d'enregistrement, fut-ce une simple platine K7 à 10 euros d'occase. Pour que chacun puisse repartir avec les enregistrements de répet sans être obligé de faire moultes copies qui prendront du temps à faire et à être données.
7- Effectivement, chacun doit travailler chez soi. La répet, c'est uniquement :
- Mise en place
- Echange d'idées
- éventuellement création/composition en commun (quoi que)
Les morceaux qui n'avancent pas parce qu'un boulet se plante toujours au même endroit alors que les autres maîtrisent leur partie, c'est très très très relou.
8- C'est pas tout à fait de l'ordre de la repet, mais bon : ne pas insister inutilement.
On perd souvent du temps avec un truc dans le genre : il y a eu une super idée pour une partie pour un zicos, mais le truc est un peu dur pour lui et il n'arrive pas à le passer. Dans ce cas, faire plus simple. Vaut mieux du simple qui passe que du compliqué qui plante. Laisser au zicos le temps de travailler la super idée et ne l'intégrer que lorsqu'elle sera maîtrisée.
9- Un minimum de discipline. On a le droit (je dirais même le devoir ) de s'éclater en répet. Ça ne veut pas dire des pauses entre chaque morceau, les oinj qui tournent et la bière qui coule à flots. Ne pas oublier qu'on est là pour bosser. Les répets de 3-4 heure avec 1/2 de jeu effectif, c'est pénible. Les bons zicos qui sont à la rue parce qu'ils se sont farcis la tête, c'est hyper lourd. Les mecs qui causent dans leur coin des résultats de foot pendant que d'autres sont en train de discuter d'un arrangement, à qui l'on demande "qu'est-ce que vous en pensez ?
- Hein ? Quoi ? Vous pouvez répéter la question ?" LOURD !
Ou les mecs qu'on attend toujours pour attaquer le morceau parce qu'ils sont en train de causer d'autre chose...
Même chose pour les mecs qui jouent pendant que d'autres s'accordent.
Tout ça fait perdre un max de temps et pourrit l'ambiance au final.
Rien n'empèche de se taper une bonne chouille après la répet.
10- Le travail des sons = à la maison. Dans la mesure du possible, le travail des sons (synthés, guitares, multieffets) doit se faire à la maison. Rien de plus lourd que 4-5 zicos qui attendent pendant qu'un mec est en train de programmer son synthé ou son multieffet.
On le fait en répet si c'est rapide ou que le son revet un caractère essentiel pour le morceau. Mais si ça se fait pas rapidement, vaut mieux laisser tomber et utiliser un preset qui colle à peu près. Le mec fera son son à la maison et on pourra éventuellement le peaufiner en commun à la répet suivante.
Même chose pour les séquences.
C'est tout ce que je vois dans l'immédiat
B.b.
rencontre d'AFiens bretons le 17/06
Quelques trucs :
1- travailler lentement. Sur scène, on a tendance à plus speeder. Le groove se travaille effectivement plus lentement.
2- Ne pas chercher des super arrangements tout de suite. Quand le morceau change à chaque répet parce que chacun a trouvé un nouveau truc, ça n'avance jamais. Donc mettre d'abord le morceau en place de façon simple, basique, puis une fois que le simple est maîtrisé, on peut apporter des idées.
3- ENREGISTRER ! Régulièrement. Ça permet d'entendre avec un peu de distance, et parfois de s'apercevoir de ce que jouent les autres, ce qu'on entend pas toujours quand on est dans son truc, pris par son propre jeu.
L'enregistrement permet aussi de choisir entre deux solutions (tempos différents, arrangements différents, instruments différents, sons différents). Au lieu de débattre pendant des heures si c'est mieux la gratte en clean ou en crunch, on enregistre les deux solutions et on écoute tranquillement. En général, la meilleure solution saute aux yeux.
Enregistrer, ça permet aussi de calmer ceux qui ne se trouvent jamais assez fort alors que tous les autres les trouvent trop fort. A l'écoute, j'ai vu plus d'un guitariste dire "putain, ma guitare est trop forte ! "
Enregistrer, ça permet aussi d'entendre les variations de tempo dont on a pas forcément conscience quand on joue. Les variations de tempo, par ex entre couplet & refrain, c'est pas grave et ça fait partie de la vie de la musique. Là où c'est plus génant, c'est lorsque (coup classique), il y a quelques fractions de temps qui sont bouffés sur un passage donné. Ça fait le morceau accélère au fur et à mesure et ça, c'est rarement bon.
4- Jouer souvent avec un métronome (ou un click)
5- Organiser la répet. Dire à quelle heure la répet commence et non à quelle heure on a rendez-vous. Ça fait une belle différence pour ceux qui mettent des plombes à monter leur matos.
Organiser aussi le déroulement : commencer par jouer les morceaux parfaitement au point : on les joue une fois et c'est marre. Ça permet de les revoir encore et encore et de se chauffer. Ensuite, travailler sur deux morceaux en cours maxi (un seul, c'est encore mieux). Quand ils seront au point, ils iront dans la première partie.
Finir la répet avec une jam : un truc où on se lâche. C'est l'occasion de présenter de nouvelles compos, de nouvelles idées sur lesquelles chacun peut improviser librement. C'est le grand moment d'éclate qu'il faut enregistrer systématiquement, car il y a souvent de bonnes idées dans le feu de l'action qui peuvent être oubliées ensuite. Un MD, c'est génial pour ça
6- Exiger que chacun ait son propre système d'enregistrement, fut-ce une simple platine K7 à 10 euros d'occase. Pour que chacun puisse repartir avec les enregistrements de répet sans être obligé de faire moultes copies qui prendront du temps à faire et à être données.
7- Effectivement, chacun doit travailler chez soi. La répet, c'est uniquement :
- Mise en place
- Echange d'idées
- éventuellement création/composition en commun (quoi que)
Les morceaux qui n'avancent pas parce qu'un boulet se plante toujours au même endroit alors que les autres maîtrisent leur partie, c'est très très très relou.
8- C'est pas tout à fait de l'ordre de la repet, mais bon : ne pas insister inutilement.
On perd souvent du temps avec un truc dans le genre : il y a eu une super idée pour une partie pour un zicos, mais le truc est un peu dur pour lui et il n'arrive pas à le passer. Dans ce cas, faire plus simple. Vaut mieux du simple qui passe que du compliqué qui plante. Laisser au zicos le temps de travailler la super idée et ne l'intégrer que lorsqu'elle sera maîtrisée.
9- Un minimum de discipline. On a le droit (je dirais même le devoir ) de s'éclater en répet. Ça ne veut pas dire des pauses entre chaque morceau, les oinj qui tournent et la bière qui coule à flots. Ne pas oublier qu'on est là pour bosser. Les répets de 3-4 heure avec 1/2 de jeu effectif, c'est pénible. Les bons zicos qui sont à la rue parce qu'ils se sont farcis la tête, c'est hyper lourd. Les mecs qui causent dans leur coin des résultats de foot pendant que d'autres sont en train de discuter d'un arrangement, à qui l'on demande "qu'est-ce que vous en pensez ?
- Hein ? Quoi ? Vous pouvez répéter la question ?" LOURD !
Ou les mecs qu'on attend toujours pour attaquer le morceau parce qu'ils sont en train de causer d'autre chose...
Même chose pour les mecs qui jouent pendant que d'autres s'accordent.
Tout ça fait perdre un max de temps et pourrit l'ambiance au final.
Rien n'empèche de se taper une bonne chouille après la répet.
10- Le travail des sons = à la maison. Dans la mesure du possible, le travail des sons (synthés, guitares, multieffets) doit se faire à la maison. Rien de plus lourd que 4-5 zicos qui attendent pendant qu'un mec est en train de programmer son synthé ou son multieffet.
On le fait en répet si c'est rapide ou que le son revet un caractère essentiel pour le morceau. Mais si ça se fait pas rapidement, vaut mieux laisser tomber et utiliser un preset qui colle à peu près. Le mec fera son son à la maison et on pourra éventuellement le peaufiner en commun à la répet suivante.
Même chose pour les séquences.
C'est tout ce que je vois dans l'immédiat
B.b.
rencontre d'AFiens bretons le 17/06
msam
1105
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
Super, merci, on sent l'experience !
d'autres avis ?
sam
d'autres avis ?
sam
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Wolfen
13882
Rédacteur·trice
Membre depuis 22 ans
Wouah BB, on sent le vécu ! Moi qui ait jamais eu de groupes et qui en cherche un désespérement, je trouve ça très intéressant 
Développeur de Musical Entropy | Nouveau plug-in freeware, The Great Escape | Soundcloud
ch4rly
2
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 21 ans
Hello !
J'ajouterais deux-trois trucs :
- Ne pas hésiter à faire des répète en effectif réduit "spécialisée" dirais-je : genre juste la section rytmhique histoire d'avoir un truc bien carré (baterie-basse-gratte) ou alors une répète "vocale" (chanteur + les musicos qui assurent des choeurs ...) ... c'est toujours bien utile de diviser le boulot sur un titre qu'on commence tout juste à voir (surtout si c'est pour bosser des reprises ou une compo "clefs en main" qui a été faite et globalement peaufinée par un seul membre ...). Et après seulement on met tout ça en commun avec une répète en effectif complet. Mais là encore faut pas hésiter si ça bloque un peu à isoler le problème ("bon là pas de chant ni de clavier, on fait juste tourner le riff de gratte qui bloque avec batterie et basse ...") quitte à passer à autre chose si ça se montre vraiment dur à passer et prévoir une autre répète en effectif réduit ...
-Adopter des bons "tics" du genre : "j'arrive dans la salle de répète hop! je peux papoter mais je branche mon matos en même temps ... et je m'accorde direct" , ça c'est bon pour les gratteux, s'accorder sans même plus y penser, que ça soit mécanique quoi c'est être efficace. Parce que se lancer dans un morceau pour s'apercevoir au solo "Arg les gars c'est bien ce que je me disais ma gratte est archi-fausse !" pas cool
Donc ce genre de truc qui fait gagner du temps quand même (de même si le clavier doit charger des presets etc ...)
- Un conseil qui recoupe un peu ce qui a été dit avant : faire comme sur scène ... mais ça ça veut dire jouer sans partoches ! Se forcer à connaitre ses morceaux par coeur le plus tot possible (encore une fois ici c'est plutot pour les reprises) c'est toujours un bon point pour se sentir bien à l'aise pour la scène et pas se rendre compte 2 jours avant une date qu'on a du mal à se rappeler un pont sans partoches ... et ça marche aussi et même surtout pour le chant ! Apprenez vos paroles ! Un chanteur qui doit regarder ses paroles ne regarde pas le publique or regarder le publique c'est ça qui montre qu'on a confiance, ça passe tout de suite mieux, ça fait plus pro quoi
Or à moins d'avoir un mémoire d'encyclopédiste ben retenir des paroles ça demande du boulot , surtout quand c'est pas en français (quoi que là se planter passe mieux mais bon ;) ) ... et pour que les paroles coulent toutes seules faut les avoir bien apprivoisé longtemps à l'anvance , histoire que le trac nous laisse pas le bon gros trou de mémoire que tout chanteur adore 
Ah oui ! et puis faire "come sur scène" ça veut aussi dire être debout et pas affalé sur un chaise et plié en deux : le jeu d'un gratteux et encore plus pour un chanteur peu changer du tout au tout assis ou debout (ben oui on tient pas la gratte pareil, on a pas les mêmes répères ... et puis faut apprendre à jumper, à bouger ... être à l'aise quoi ! ). De même il faut aussi penser pendant les répètes (où on a un minimum de place ;) ) à se placer comme en concert , histoire de prendre les bonnes habitudes (que le bassiste sache retrouver le regard du bateur en une fraction de seconde pour être bien calé ;) ).
Enfin bon voila quoi , les répètes ça se pense ;) Mais attention à ne pas tomber dans l'excès : un groupe c'est vivant, et il faut forger aussi un espit de groupe ... si on fait que bosser sans déconner, sans échanger aussi autre choe ... on peut aussi péter un cable ... donc faut se réserver des moments où un groupe est au complet , mais pas pour bosser : juste pour être ensemble, créer un esprit et partager ... pour justifier le terme de "groupe" justement D'où le partage en couille presque indispensable ("boeuf" diront les plus réglos ;) ) en fin de répète , parce que on est aussi là pour se fendre la poire et être cons ... 
J'ajouterais deux-trois trucs :
- Ne pas hésiter à faire des répète en effectif réduit "spécialisée" dirais-je : genre juste la section rytmhique histoire d'avoir un truc bien carré (baterie-basse-gratte) ou alors une répète "vocale" (chanteur + les musicos qui assurent des choeurs ...) ... c'est toujours bien utile de diviser le boulot sur un titre qu'on commence tout juste à voir (surtout si c'est pour bosser des reprises ou une compo "clefs en main" qui a été faite et globalement peaufinée par un seul membre ...). Et après seulement on met tout ça en commun avec une répète en effectif complet. Mais là encore faut pas hésiter si ça bloque un peu à isoler le problème ("bon là pas de chant ni de clavier, on fait juste tourner le riff de gratte qui bloque avec batterie et basse ...") quitte à passer à autre chose si ça se montre vraiment dur à passer et prévoir une autre répète en effectif réduit ...
-Adopter des bons "tics" du genre : "j'arrive dans la salle de répète hop! je peux papoter mais je branche mon matos en même temps ... et je m'accorde direct" , ça c'est bon pour les gratteux, s'accorder sans même plus y penser, que ça soit mécanique quoi c'est être efficace. Parce que se lancer dans un morceau pour s'apercevoir au solo "Arg les gars c'est bien ce que je me disais ma gratte est archi-fausse !" pas cool
Donc ce genre de truc qui fait gagner du temps quand même (de même si le clavier doit charger des presets etc ...)- Un conseil qui recoupe un peu ce qui a été dit avant : faire comme sur scène ... mais ça ça veut dire jouer sans partoches ! Se forcer à connaitre ses morceaux par coeur le plus tot possible (encore une fois ici c'est plutot pour les reprises) c'est toujours un bon point pour se sentir bien à l'aise pour la scène et pas se rendre compte 2 jours avant une date qu'on a du mal à se rappeler un pont sans partoches ... et ça marche aussi et même surtout pour le chant ! Apprenez vos paroles ! Un chanteur qui doit regarder ses paroles ne regarde pas le publique or regarder le publique c'est ça qui montre qu'on a confiance, ça passe tout de suite mieux, ça fait plus pro quoi
Or à moins d'avoir un mémoire d'encyclopédiste ben retenir des paroles ça demande du boulot , surtout quand c'est pas en français (quoi que là se planter passe mieux mais bon ;) ) ... et pour que les paroles coulent toutes seules faut les avoir bien apprivoisé longtemps à l'anvance , histoire que le trac nous laisse pas le bon gros trou de mémoire que tout chanteur adore Ah oui ! et puis faire "come sur scène" ça veut aussi dire être debout et pas affalé sur un chaise et plié en deux : le jeu d'un gratteux et encore plus pour un chanteur peu changer du tout au tout assis ou debout (ben oui on tient pas la gratte pareil, on a pas les mêmes répères ... et puis faut apprendre à jumper, à bouger ... être à l'aise quoi !
). De même il faut aussi penser pendant les répètes (où on a un minimum de place ;) ) à se placer comme en concert , histoire de prendre les bonnes habitudes (que le bassiste sache retrouver le regard du bateur en une fraction de seconde pour être bien calé ;) ).Enfin bon voila quoi , les répètes ça se pense ;) Mais attention à ne pas tomber dans l'excès : un groupe c'est vivant, et il faut forger aussi un espit de groupe ... si on fait que bosser sans déconner, sans échanger aussi autre choe ... on peut aussi péter un cable ... donc faut se réserver des moments où un groupe est au complet , mais pas pour bosser : juste pour être ensemble, créer un esprit et partager ... pour justifier le terme de "groupe" justement
D'où le partage en couille presque indispensable ("boeuf" diront les plus réglos ;) ) en fin de répète , parce que on est aussi là pour se fendre la poire et être cons ... Boum92|
9505
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
msam
1105
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
Yesssss
c'est vrai que penser à faire des repets en conditions de scene c'est hyper important !
surtout penser à enchainer un set avant un concert en formation de scene et sans s'arreter. bosser ensuite les petits loupés après ....
c'est vrai que penser à faire des repets en conditions de scene c'est hyper important !
surtout penser à enchainer un set avant un concert en formation de scene et sans s'arreter. bosser ensuite les petits loupés après ....
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