réactions au dossier [Bien débuter] Stratégie & Co
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Nantho Valentine

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eponyme9


profx

Un truc très utile à faire aussi (selon moi) c'est de bouncer une mise à plat
Cool, je vois que ne suis pas le seul


globule_655

Ça vient pas plutôt de nos oreilles qui ne sont pas du tout linéaire ?
Nos oreilles ne sont effectivement pas linéaires et c'est la raison pour laquelle il faut plus de volume pour travailler les basses fréquences et qu'on est plus sensible aux balances à bas volume. Par contre, si les enceintes au travers desquelles ont doit juger tout ça changent complètement notre perception par dessus cela alors le mix devient un jeu de devinette où il faut constamment compenser le changement de son provoqué par les enceintes. De mauvaises enceintes on tendance à "compresser" dès que le volume dépasse un certain seuil et à faire à peu près n'importe quoi à bas volume (J'ai déjà vu des enceintes (typiquement à bass reflex) amplifier le grave à bas volume par exemple). Notre oreille change également de comportement mais on cherche à éviter que l'enceinte en amplifie l'effet.
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

offenbach

C'est principalement sur la dynamique que les monitors cheap sont trompeurs... Un enceinte de qualité est capable de retranscrire cela à tous les niveaux.
Pour un débutant avec un système bas de gamme, il faut beaucoup écouter sur son système des musiques que l'on connait bien, pour, grâce à l'habitude, trouver un point d'équilibre qui permettra de ne pas avancer trop en aveugle... Ecouter aussi sur des systèmes différents et dans des lieux différents....
Site officiel et boutique en ligne du Studio Delta Sigma https://www.studiodeltasigma.com

hhub17

Flague !
Et pas de téléphone ni de fâcheux dans le studio.
J'avais l'habitude d'écouter ma vieille radio à lampes au volume mini : un pas sur le parquet la couvrait. C'est très bon pour l'attention et une écoute reposante.
Be bop a loulou !

-Livingroom-

Sinon, merci quand même pour ce bel article qui permet de donner une manière de s'organiser intéressante.

Will Zégal

J'avais l'habitude d'écouter ma vieille radio à lampes au volume mini : un pas sur le parquet la couvrait. C'est très bon pour l'attention et une écoute reposante.
Je ne te réponds pas directement, mais au travers d'une certain nombre de remarques, j'ai l'impression que c'est le concours de qui mixera le plus bas.
Autant il me semble utile d'écouter, voire de travailler à certains moments son mix à très bas volume (genre, comment ça sonne quand c'est mis en musique de fond), autant, en ce qui me concerne, ça ne sert à rien de travailler trop bas : plein de détails vont nous échapper et s'il faut porter beaucoup d'attention pour aller les chercher dans le mix, c'est presque aussi fatigant que de travailler à trop haut niveau.
Personnellement, je fais l'essentiel de mon mix au niveau où j'écoute généralement la musique.
Je suis aussi réservé que beaucoup d'entre vous sur l'histoire de ne pas toucher aux niveaux, mais j'en comprends bien la logique dans le processus qui est suivi par Nantho.
Je suis en train de mettre ça en pratique sur un morceau, avec une autre démarche que je ne faisais pas : exporter toutes mes pistes en audio dans un nouveau projet pour le mix une fois que toute la partie production avec les instruments virtuels et les FX est terminée.
C'est un membre qui évoquait ça dans une discussion et je trouve le truc excellent. Bien sur, on perd la possibilité de revenir sur un son pour le modifier directement au niveau de la synthèse ou des FX pour qu'il trouve mieux sa place dans le mix. Mais ça oblige à soigner cet aspect dès le départ au lieu de tout mélanger. Bref, ça oblige à plus de rigueur, même si en cas de besoin, on peut toujours revenir sur le projet blindé de VST pour modifier une piste et la réexporter.
En plus, ça allège quand même pas mal la ressource processeur pour mixer tranquille. Et ça éclaircit beaucoup le projet : on se débarrasse des dossiers "archive" contenant les prises non conservées et les pistes midi des instruments figés et surtout de tous les plug-ins qui ont servi à la "prod" et la création de sons.
De ce que j'ai pu voir hier, je trouve qu'on obtient ainsi un point de départ beaucoup plus clair pour l'étape de mixage.

profx

Le truc de cette méthode, c'est vraiment de changer de casquette car trop 'chiant' de devoir ré-ouvrir une session de création, ou de la garder ouverte en parallèle (ressources pross, réactivité machine..) donc obligé de rester vissé sur le mix.
Parmi les plus:
- un choix plus tranché sur l'utilité de garder certaines pistes et éléments
- l'ajout d'effets pour 'ambiancer le tout', très utile sur certains vst (on y pense pas assez souvent)
- une vue arrière bien plus clair de l'ensemble du travail
- l'ajout d'éléments plus pertinants dont l'utilité était cachée sous la masse de VST et prises sons
- On peut vraiment pousser le travail sur les leads, voix ou instru car débarrasser du superflu
- le mix et le mix essentiellement
Quand, j'écoute les prods R&B en France et celles aux USA, s'en rentrer dans les clichés et débats sans fin, chaque stem est très travaillée aux USA. Après c'est affaire de goût, mais je pense qu'en se forçant à n'avoir qu'une casquette à la fois sur le tête, on fait des choix plus pertinents.

hhub17

Je précise que la radio à lampes, c'était à 25 cm de mes oreilles le soir quand tout le monde dormait et que j'étais dans mon lit : aucun bruit parasite et pas assez loin pour perdre trop de fréquences. Je ne mixais rien à l'époque, n'ayant pas les moyens d'un 4 pistes à bande .
C'est vrai qu'il vaut mieux écouter à volume sans fatigue, ni trop ni trop peu fort, et juste vérifier après sur divers systèmes et puissances comment cela passe.
Le truc de faire un nouveau projet pour mixer, je le retiens, me paraît super, d'autant qu'il permet aussi de mixer avec autre chose que la STAN de l'enregistrement, histoire de vraiment changer sa casquette (et même si ce n'est pas vraiment utile techniquement parlant). (bon, pour moi, c'est utile de passer d'un enregistreur peu gourmand en ressources et OK pour une basse latence, à un logiciel plus évolué et gourmand pour le mixage,où on n'a plus besoin du temps réel, vu mon ordi)
Be bop a loulou !

Will Zégal

mais je pense qu'en se forçant à n'avoir qu'une casquette à la fois sur le tête, on fait des choix plus pertinents.
Je pense aussi. Je m'en rends compte en ce moment même.
Par exemple, j'ai un lead de synthé (banque de sons de Maschine) qui vient doubler des phrases jouées par des instruments acoustiques puissants. Ce son ressortait peu (faut dire, face à une bombarde et un biniou, y'a pas grand chose qui résiste). En temps normal, j'aurais commencé à mixer, à travailler les fréquences, la compression, j'aurais ajouté des effets (un peu de disto sans doute)... et finalement peut-être retouché à la synthèse en désespoir de cause.
Bref, allers-retours permanents.
Là, j'ai carrément foutu le son à la poubelle et je l'ai recréé sur mon Mopho en le bossant soigneusement. Moralité, avant tout traitement ou mix, il ressort bien sans bouffer ses petits camarades de jeu.
Un autre truc : c'est souvent en phase de mix que je fais de la prod : ajout des effets spéciaux, triturage du son...
Là, j'ai carrément fait tous mes effets et leur automation (par exemple, un passage avec filtre modulé par LFO de plus en plus rapide et avec entrée d'un ring mod en prime). J'exporte la piste traitée et je n'aurai plus qu'à la placer dans le mix.
Je sais que ça ne m'empêchera pas de remettre une couche de bidouilles dans la dernière phase, soit parce que je trouverai d'autres idées, que j'aurai envie d'essayer des trucs, soit parce que je m'apercevrai de certains manques (une relance avant un break pas assez velue par exemple), mais je le ferai à partir d'un projet "clair", où tout est déjà quasiment en place et sans 15 000 plugs en insert. Détail à la con, mais beaucoup de STAN n'affichent pas plus de 3-4 plugs à la fois dans la zone d'insert (même si on peut en mettre 10).
Un autre problème que je rencontre : comme j'enregistre les instruments un par un, rarement le même jour, j'ai tendance à pré-mixer et pré-produire chaque piste avant l'enregistrement de la suivante. Ca a du sens dans la mesure où ça permet à chaque nouvelle prise d'être faite sur un truc qui sonne, donc c'est cool pour le musicien et ça le booste.
Mais le problème, c'est que les choix faits quand il n'y avait qu'un instrument acoustique sur un beat, une basse et quelques synthés ou samples ne tiennent plus forcément quand les prises d'instruments s'empilent et qu'on a rajouté quelques synthés. Donc, on revient sur des trucs, on bouge autre chose... finalement, on ne sait parfois plus d'où on vient et où on va.
En repartant à peu près de zéro, mais en ayant quasiment entendu le morceau sonner, on gagne en efficacité. Et si son STAN le permet, rien n'empêche de sauvegarder des chaînages d'effets et leurs réglages sous forme de presets pour pouvoir les rappeler dans le projet mix, ne serait-ce qu'à titre d'aide mémoire.
Bref, cette méthode me semble avoir vraiment plein d'avantages.

d'autant qu'il permet aussi de mixer avec autre chose que la STAN de l'enregistrement, histoire de vraiment changer sa casquette (et même si ce n'est pas vraiment utile techniquement parlant)
Oh que si, ça peut l'être.
On peut par exemple faire l'essentiel d'une prod électro sous live et passer à un STAN plus linéaire pour le mixage, surtout si on mélange instruments virtuels et prises acoustiques. On peut faire création musicale, enregistrement, création sonore et éditing dans un soft qu'on connaît par coeur et passer à un autre plus pratique pour le mixage. Après tout, en phase de mix pur, on utilise beaucoup moins d'outils. On peut aussi, en fonction de son parc de plug-ins, se faciliter les problèmes de 32 ou 64 bits.
Si Reaper gérait un peu mieux les surfaces de contrôles (et ne nécessitait pas de racheter un bridge pour les plug-ins 32 bits), je passerais bien de Sonar à Reaper au moment du mixage vu que Sonar ne permet pas de mélanger pistes et bus dans la console ou de changer l'ordre des bus. Des détails pas méchants, mais qui peuvent apporter du confort de travail.

Anonyme

exporter toutes mes pistes en audio dans un nouveau projet pour le mix une fois que toute la partie production avec les instruments virtuels et les FX est terminée.
C'est un membre qui évoquait ça dans une discussion et je trouve le truc excellent. Bien sur, on perd la possibilité de revenir sur un son pour le modifier directement au niveau de la synthèse ou des FX pour qu'il trouve mieux sa place dans le mix. Mais ça oblige à soigner cet aspect dès le départ au lieu de tout mélanger. Bref, ça oblige à plus de rigueur, même si en cas de besoin, on peut toujours revenir sur le projet blindé de VST pour modifier une piste et la réexporter.
Ce raisonnement me semble très préhistoire de la MAO.
Y'a pas de fonction freeze/ de-freeze dans vos daws ? Chez moi, après avoir gelé on bosse exactement comme si on avait uniquement des pistes audio bien linaire avec la possibilité d'éditer et sans la tonne de vst(i) de la piste d'avant freeze, bien sur on peut ajouter des outils de mix par dessus une piste gelé.
Le seul avantage d'exporter des pistes dans un nouveau projet, éviter d'être tenté de revenir en arrière...
On peut par exemple faire l'essentiel d'une prod électro sous live et passer à un STAN plus linéaire pour le mixage,
Pourquoi pas, si à un moment on gagne en confort, pour des questions matèriel,de compatibilité, partage du travail...
surtout si on mélange instruments virtuels et prises acoustiques.
Pas compris ce qui change en mélangeant de l'instru virtuel et de la prise, enfin c'est sans doute une question d'ergonomie en fonction de la daw qu'on utilise.
On peut faire création musicale, enregistrement, création sonore et éditing dans un soft qu'on connaît par coeur et passer à un autre plus pratique pour le mixage. Après tout, en phase de mix pur, on utilise beaucoup moins d'outils. On peut aussi, en fonction de son parc de plug-ins, se faciliter les problèmes de 32 ou 64 bits.
Si on arrive à composer un morceau qui approche une centaine de pistes avec instrus virtuels et prises, édition, automation, contrôleur, tralala... il me semble que ce ne doit pas être bien plus compliqué d'utiliser le même soft juste pour du mix.

Une dernière sauvegarde avant de rentrer uniquement dans le mix, freeze de tout le bazar, fonction écraser si on veut carrément remplacer une piste d'instru virtuel (autres...) par un wave/aiff de l'instru et on recherche la piste dans l'ancienne sauvegarde si besoin à un moment au cas où le simple de-freeze ne peux plus rattraper u problème...
[ Dernière édition du message le 09/04/2015 à 01:58:00 ]

eponyme9

--> J'enregistre par exemple une guitare crunchy pleine de reverb : je trouve rapidement un petit crunch, lui associe une reverb hall en 2 minutes et ne veux pas perdre de temps à chercher "la" bonne reverb et "le" bon son de guitare car je ne souhaite pas casser la dynamique de la compo et freiner les idées qui viennent.
Le problème est que, le temps d'arriver à l'étape du mix, j'aurais écouté une bonne cinquantaine de fois le morceau avec cette guitare crunchy et lorsqu'il s'agit de trouver le bon son et la bonne reverb, j'ai beaucoup de mal à me décoller de ce à quoi je me suis habitué... j'ose pas tourner les potards et changer ce qui a été fait en 3 minutes...
Vous n'avez pas le même problème ?

Anonyme

Aussi éviter de faire du mix et de la compo/recherche de son le même jour, ne pas hésiter à faire une activité qui te permet de penser à autre chose que la musique entre deux étapes.
Sinon la manière la plus rapide de régler le problème, faire faire le mix par quelqu'un d'autre.
Si ce que tu as fait en trois minutes est bon, ben il n'y a pas de quoi changer quoi que ce soit même un mois après...

eponyme9


profx

(ex : commande sous 7 jours)...
1. Faire une mini pause, genre aller acheter du pain et une fois rentré, écouter des titres de références dans le style du morceau en cours de mix pendant 30min en fond puis 2-3 morceaux en étant sur son poste de travail et ensuite d’écouter le mix préalablement compilé en fichier audio stéréo.
ou
2. Après une technique aussi qui fonctionne bien, sortie le morceau sur une clés usb et partir faire un tour en voiture, écouter des titres de références à moyen et fort volume (poste auto) puis écouter son morceau.
En générale, les grosses erreurs sont rapidement identifiées.
[ Dernière édition du message le 09/04/2015 à 13:25:47 ]

-Livingroom-


eponyme9


Anonyme

Un cercle bien constitué peut très bien fonctionner au service rendu ou avec une petite rémunération qui au finale se récupérera à un autre moment pour un autre boulot... Ça permet d'avoir toujours encore une carte à jouer en cas d'essoufflement, aussi d'avoir quelqu'un qui puisse te dire que si tu ne vois pas bien c'est parce que tu as oublié d'enlever tes lunettes de soleil.

Will Zégal

Ce raisonnement me semble très préhistoire de la MAO.
Y'a pas de fonction freeze/ de-freeze dans vos daws ? Chez moi, après avoir gelé on bosse exactement comme si on avait uniquement des pistes audio bien linaire avec la possibilité d'éditer et sans la tonne de vst(i) de la piste d'avant freeze, bien sur on peut ajouter des outils de mix par dessus une piste gelé.
Le seul avantage d'exporter des pistes dans un nouveau projet, éviter d'être tenté de revenir en arrière...
Non. Un des buts est de repartir de zéro, sans aucun prémix (ce qu'on fait forcément quand on crée un morceau chargé en pistes).
D'ailleurs :
Le problème est que, le temps d'arriver à l'étape du mix, j'aurais écouté une bonne cinquantaine de fois le morceau avec cette guitare crunchy et lorsqu'il s'agit de trouver le bon son et la bonne reverb, j'ai beaucoup de mal à me décoller de ce à quoi je me suis habitué... j'ose pas tourner les potards et changer ce qui a été fait en 3 minutes...
C'est un des trucs que permet la démarche de repartir des pistes juste nettoyées prêtes à mixer : ça permet de faire d'autres choix.
Maintenant, si ton son de départ te convient, qu'importe qu'il ait été fait en 3 mn ? Personnellement, je ne pense pas qu'il soit toujours mieux d'hyper-produire. D'ailleurs, les histoires d'albums avec des morceaux repris directement de la maquette parce qu'ils sonnaient mieux avec leur côté un peu brut sont légion.
Un truc aussi : quand on construit un morceau sur un riff et un son, on accorde forcement le reste à ce truc de départ. Y retoucher beaucoup pour, par exemple, avoir un son plus léché ou plus gros amène à tout revoir en cascade parce que le son de l'ensemble n'est plus cohérent.
Pourquoi pas, mais à condition de ne pas perdre le caractère du départ pour arriver à quelque chose de banalisé ou manquant de consistance, ou encore aseptisé.

Spleen-Musical

Depuis je me suis trouver une méthode simple, je crée des copies de celui-ci par palier, ainsi j’ai moins d’hésitation à réarranger la structure ou modifier le mixage qu’en celui-ci est avancé, et cela permet de mesurer l’évolution de l’ensemble par session, et en cas de mauvaises directions, repartir sur un palier précédent.
Apres je pense que comme l’explique Akustix rien ne vaut une bonne team…

Anonyme

Non. Un des buts est de repartir de zéro, sans aucun prémix (ce qu'on fait forcément quand on crée un morceau chargé en pistes).
Donc c'est bien ce que je pense, un problème de méthode, fonctionnalité et d'ergonomie qui diffèrent en fonction de la daw qu'on utilise.
Un prémix peut se désactiver/ se réactiver, se faire tout petit, voir même invisible... en gelant une piste.
Je pense bien que ça fait aussi partie des contraintes de paramétrage d'exportation d'avoir ou pas le prémix... mais aucune différence avec le fait d'écraser une piste après avoir fait une dernière sauvegarde. Écraser chez moi c'est remplacer la piste par son équivalent audio en incluant ou pas les éléments de notre choix. J'insiste, c'est vraiment des questions de fonctionnalités/possibilités offertes par les différentes daws qui justement permettent de ne plus avoir à exporter/importer dans un nouveau projet. Bien enttendu je ne remet pas en question le but de repartir de zero, juste la possibilité de le faire autrement.

[ Dernière édition du message le 09/04/2015 à 15:13:26 ]

Will Zégal

Ce sont juste deux moyens différents de mener la même démarche.

Anonyme



Anonyme

Citation :(et ne nécessitait pas de racheter un bridge pour les plug-ins 32 bits
Juste pour info, pas besoin, il possède son propre bridge

linear32

Citation :vu que Sonar ne permet pas de mélanger pistes et bus dans la console ou de changer l'ordre des bus
Pour ce qui est de changer l'ordre des bus, il est possible de les déplacer non depuis la console, comme logiquement je le faisais sur mon autre STAN, mais depuis la fenêtre principale du projet. Ce qui a pour effet de les déplacer aussi dans la console.![]()
J'étais confronté au même problème que Will évoque plus haut avant de savoir qu'il existait cette option là.
Voilà, j'espère que cette astuce aura été utile
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