Compositeur - Parolier : être l'un ET/OU l'autre ? Musiques sans parole ?
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maloryp
1916
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
Sujet de la discussion Posté le 10/09/2008 à 01:26:37Compositeur - Parolier : être l'un ET/OU l'autre ? Musiques sans parole ?
Hello
C'est la première fois que je crée un sujet dans la rubrique compo, et ceci à la suite d'une question issue d'un autre sujet. Je ne savais pas trop comment classer ça, ni vraiment déterminer la nature exacte du sujet. Alors soyez indulgents . Ce n'est pas forcément une question précise en attente de réponse, mais plutôt un débat.
Alors voilà. Pour résumer de manière très très grossière, j'essaye de composer des morceaux, jusqu'à maintenant dans le format chanson classique, c'est-à-dire musique+paroles dans une durée moyenne de 3-5min. Et jusqu'à maintenant, comme beaucoup, j'essaye de faire tout. Oui mais voilà, il devient très évident que je suis beaucoup moins faite pour écrire des paroles que pour composer de la musique. Non pas que mes musiques sont mieux que mes textes (quand il y en a ), mais c'est plutôt que la souffrance de l'accouchement d'une musique n'a rien de comparable avec celle de l'accouchement d'un texte. La première me semble dure mais agréable, comme quelque chose de naturelle, alors que la seconde me semble comme une véritable corvée.
Plusieurs amis sur AF m'ont conseillé de m'y mettre, de prendre mon courage à deux mains, en me rappelant bien qu'écrire un texte n'était facile pour personne. Mais je sens bien que je ne suis pas faite pour ça.
Et puis il y aussi le fait que, dans le monde impitoyable d'Audiofanzine , on se sent un peu le canard boiteux si on n'est pas capable d'être à la fois compositeur et parolier. A ce que je sache, il y a plein de paroliers qui ne savent pas du tout composer, alors pourquoi un compositeur devrait absolument savoir tout faire dans sa chanson ? Ne pourrait-on pas être juste l'un ou l'autre ?
A ce que je sache, s'il n'y avait pas Bernie Taupin, ça m'étonnerait qu'Elton John aurait écrit ses textes tout seul !
A côté de ça, en ce moment je me sens inspirée musicalement, mais je sens que ça prend la tournure de quelque chose d'"instrumentaux". Et ce n'est pas la première fois. Ca m'est déjà arrivé plusieurs fois de presque "lutter" sur une musique pour trouver absolument des paroles. Alors du coup, à chaque fois, ça me freine, je suis bloquée, et je ne termine pas le morceau. Il m'est arrivée une seule fois de laisser faire, et ça a donnée le petit morceau qui est en premier sur ma page MySpace. Très petit morceau, mais il me plaît bien comme ça (je ne parle pas de la qualité des sons qui elle est à revoir), c'est comme si ça s'auto-suffisait instrumentalement.
Tout ça pour dire que du coup je suis en plein questionnement métaphysique en ce moment, pour ne pas dire que je suis complètement paumée.
Alors docteur, est-ce grave si l'on n'y arrive pas partout ?
Dans ce cas, faut-il séparer les rôles Compositeur / Parolier ? Trouver un parolier ?
Et docteur, est-ce grave si l'on fait de la musique sans parole ?
Et pourquoi ne pourrait-on pas exprimer son amUr, ou autre chose, uniquement par la musique ?
Qui sait, peut-être suis-je faite pour la musique instrumentale sans jamais l'avoir su ?
C'est vrai qu'en dehors de mes goûts musicaux de base sur lesquels j'ai essayé de prendre modèle (variété, pop, rock, funk, etc), j'ai toujours été en réelle admiration devant ce que faisaient (font) des gens comme Vangelis, Moroder, J-M Jarre,... et bien d'autres comme Mike Oldfield, Telepopmusik, Yanni, ou encore les compositeurs de musique de film.
Alors ? Qu'en pensez-vous, chers amis ? Suis-je définitivement perdue ?
C'est la première fois que je crée un sujet dans la rubrique compo, et ceci à la suite d'une question issue d'un autre sujet. Je ne savais pas trop comment classer ça, ni vraiment déterminer la nature exacte du sujet. Alors soyez indulgents . Ce n'est pas forcément une question précise en attente de réponse, mais plutôt un débat.
Alors voilà. Pour résumer de manière très très grossière, j'essaye de composer des morceaux, jusqu'à maintenant dans le format chanson classique, c'est-à-dire musique+paroles dans une durée moyenne de 3-5min. Et jusqu'à maintenant, comme beaucoup, j'essaye de faire tout. Oui mais voilà, il devient très évident que je suis beaucoup moins faite pour écrire des paroles que pour composer de la musique. Non pas que mes musiques sont mieux que mes textes (quand il y en a ), mais c'est plutôt que la souffrance de l'accouchement d'une musique n'a rien de comparable avec celle de l'accouchement d'un texte. La première me semble dure mais agréable, comme quelque chose de naturelle, alors que la seconde me semble comme une véritable corvée.
Plusieurs amis sur AF m'ont conseillé de m'y mettre, de prendre mon courage à deux mains, en me rappelant bien qu'écrire un texte n'était facile pour personne. Mais je sens bien que je ne suis pas faite pour ça.
Et puis il y aussi le fait que, dans le monde impitoyable d'Audiofanzine , on se sent un peu le canard boiteux si on n'est pas capable d'être à la fois compositeur et parolier. A ce que je sache, il y a plein de paroliers qui ne savent pas du tout composer, alors pourquoi un compositeur devrait absolument savoir tout faire dans sa chanson ? Ne pourrait-on pas être juste l'un ou l'autre ?
A ce que je sache, s'il n'y avait pas Bernie Taupin, ça m'étonnerait qu'Elton John aurait écrit ses textes tout seul !
A côté de ça, en ce moment je me sens inspirée musicalement, mais je sens que ça prend la tournure de quelque chose d'"instrumentaux". Et ce n'est pas la première fois. Ca m'est déjà arrivé plusieurs fois de presque "lutter" sur une musique pour trouver absolument des paroles. Alors du coup, à chaque fois, ça me freine, je suis bloquée, et je ne termine pas le morceau. Il m'est arrivée une seule fois de laisser faire, et ça a donnée le petit morceau qui est en premier sur ma page MySpace. Très petit morceau, mais il me plaît bien comme ça (je ne parle pas de la qualité des sons qui elle est à revoir), c'est comme si ça s'auto-suffisait instrumentalement.
Tout ça pour dire que du coup je suis en plein questionnement métaphysique en ce moment, pour ne pas dire que je suis complètement paumée.
Alors docteur, est-ce grave si l'on n'y arrive pas partout ?
Dans ce cas, faut-il séparer les rôles Compositeur / Parolier ? Trouver un parolier ?
Et docteur, est-ce grave si l'on fait de la musique sans parole ?
Et pourquoi ne pourrait-on pas exprimer son amUr, ou autre chose, uniquement par la musique ?
Qui sait, peut-être suis-je faite pour la musique instrumentale sans jamais l'avoir su ?
C'est vrai qu'en dehors de mes goûts musicaux de base sur lesquels j'ai essayé de prendre modèle (variété, pop, rock, funk, etc), j'ai toujours été en réelle admiration devant ce que faisaient (font) des gens comme Vangelis, Moroder, J-M Jarre,... et bien d'autres comme Mike Oldfield, Telepopmusik, Yanni, ou encore les compositeurs de musique de film.
Alors ? Qu'en pensez-vous, chers amis ? Suis-je définitivement perdue ?
maloryp
1916
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
91 Posté le 03/10/2008 à 17:19:32
Hors sujet : Eh ouais ! Mais, comme on dit, quand on aime... ;)
Anonyme
8690
92 Posté le 03/10/2008 à 17:35:29
Hors sujet : T'aimes les OGM ????
pardon... je... euh...
désolé
Anonyme
8690
93 Posté le 10/10/2008 à 10:57:20
Que pensez-vous de dire que la création c'est finalement l'art de se prendre au sérieux ?
J'm'explique.
La création naît d'une inspiration, laquelle ne se commande pas, vient quand ça lui chante et repart quand ça ne lui plaît plus. Dans ce laps de temps plus ou moins variable où ce "souffle divin" nous inspire, notre cerveau analyse et juge ce qui sort de nos petits doigts. Trois solutions s'offrent alors à nous:
a) ouaaaaah trop fort, le daRinze, tu viens une nouvelle fois de composer un truc génialissime qu'il faut derechef enregistrer et qui fera un carton, parole!!!
b) ouais mmmmmmmmmh, prometteur, pas mal, y a de l'idée, à travailler encore, j'enregistre au cas où...
c) pffff, 'tite tapette, c'est encore une bouse que tu viens de faire, vraiment mon pauvre daRinze tu n'es qu'un piètre musicien (ou parolier) (ou sculpteur) (ou autre, parce que la création peut s'exprimer dans beaucoup de domaines). Allez, va prendre un peu d'eau et de terre, et va faire des mottes dans le jardin...
Bon, laissons de côté le petit a) qui à mon avis n'arrive que très rarement - et entre nous, je plains plutôt les gens dotés d'autant d'autocontentement (doté-dotan-doto : des fois je m'aime, quand même, un petit peu). Intéressons-nous donc aux cas petit b) et petit c), car selon moi c'est à la lisière entre les deux que se situe la frontière entre les créatifs et les non créatifs.
Car être créatif, finalement, c'est croire suffisamment en soi, pour juger que ce que l'on vient de pondre en vaut la peine, non ? Etre créatif, c'est trouver un quelconque intérêt à ce que l'on vient de produire, et sinon un intérêt immédiat, au moins des promesses d'intérêt. Moi personnellement moi-même, quand me vient une grille d'accord et/ou une rythmique qui me semble accrocheuse, j'ai - il me semble - plus d'indulgence que quand je tente d'écrire un texte, où je suis 9 fois sur dix pas content de moi et inévitablement, plutôt que ranger le brouillon quéquepart en me disant que je le reprendrai plus tard, bah poubelle. Je trouve parfaitement concevable d'ébaucher une grille de couplet, et trouver le refrain un ou deux mois plus tard, mais paradoxalement, je ne conçois pas d'écrire un texte "en plusieurs fois" comme cela... Autrement dit, ce que j'admets pour la musique, j'ai du mal à l'admettre pour des paroles. Ce qui fait que je peine tant sur un texte, et que s'il ne vient pas du premier coup, bah... il viendra jamais.
Est-ce cela, être créatif : avoir suffisamment d'indulgence pour soi-même, pour ne pas mettre directement à la poubelle un embryon sous prétesque qu'il n'est pas fini ?
J'm'explique.
La création naît d'une inspiration, laquelle ne se commande pas, vient quand ça lui chante et repart quand ça ne lui plaît plus. Dans ce laps de temps plus ou moins variable où ce "souffle divin" nous inspire, notre cerveau analyse et juge ce qui sort de nos petits doigts. Trois solutions s'offrent alors à nous:
a) ouaaaaah trop fort, le daRinze, tu viens une nouvelle fois de composer un truc génialissime qu'il faut derechef enregistrer et qui fera un carton, parole!!!
b) ouais mmmmmmmmmh, prometteur, pas mal, y a de l'idée, à travailler encore, j'enregistre au cas où...
c) pffff, 'tite tapette, c'est encore une bouse que tu viens de faire, vraiment mon pauvre daRinze tu n'es qu'un piètre musicien (ou parolier) (ou sculpteur) (ou autre, parce que la création peut s'exprimer dans beaucoup de domaines). Allez, va prendre un peu d'eau et de terre, et va faire des mottes dans le jardin...
Bon, laissons de côté le petit a) qui à mon avis n'arrive que très rarement - et entre nous, je plains plutôt les gens dotés d'autant d'autocontentement (doté-dotan-doto : des fois je m'aime, quand même, un petit peu). Intéressons-nous donc aux cas petit b) et petit c), car selon moi c'est à la lisière entre les deux que se situe la frontière entre les créatifs et les non créatifs.
Car être créatif, finalement, c'est croire suffisamment en soi, pour juger que ce que l'on vient de pondre en vaut la peine, non ? Etre créatif, c'est trouver un quelconque intérêt à ce que l'on vient de produire, et sinon un intérêt immédiat, au moins des promesses d'intérêt. Moi personnellement moi-même, quand me vient une grille d'accord et/ou une rythmique qui me semble accrocheuse, j'ai - il me semble - plus d'indulgence que quand je tente d'écrire un texte, où je suis 9 fois sur dix pas content de moi et inévitablement, plutôt que ranger le brouillon quéquepart en me disant que je le reprendrai plus tard, bah poubelle. Je trouve parfaitement concevable d'ébaucher une grille de couplet, et trouver le refrain un ou deux mois plus tard, mais paradoxalement, je ne conçois pas d'écrire un texte "en plusieurs fois" comme cela... Autrement dit, ce que j'admets pour la musique, j'ai du mal à l'admettre pour des paroles. Ce qui fait que je peine tant sur un texte, et que s'il ne vient pas du premier coup, bah... il viendra jamais.
Est-ce cela, être créatif : avoir suffisamment d'indulgence pour soi-même, pour ne pas mettre directement à la poubelle un embryon sous prétesque qu'il n'est pas fini ?
roman66
4443
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
94 Posté le 10/10/2008 à 13:22:17
Citation : je ne conçois pas d'écrire un texte "en plusieurs fois" comme cela...
Comme tu m'as donné des conseils pour le chant, je me permets de t'en donner pour les paroles. Tu commets là une grave erreur, je dirais même une erreur dedébutant : un texte ça doit sortir des tripe,sinon c'est du faux, les dicos ne servent à rien.
C'est le contraire : un texte doit te hanter jour et nuit, il faut y réfléchir constamment. Le fait d'être face à une feuille est le résultat de toutes les petites idées que tu aura trouvé pour ton texte à n'importe quel moment de la journée (un dictaphone est fort à conseiller pour ça).
Ce n'est que comme ça que tu feras ressentir ton authenticité. Un texte doit être repris, raturé, recommencé, pendant des mois si c'est nécessaire.
Pour moi, l'inspiration n'existe pas, c'est le fruit d'heures de "travail".
On attaque pour cela la genèse de la création, c'est le sujet de multiples thèses doctorales en littérature, psychologie, psychanalyse et neurologie. Avec mes 4 pauvres lignes, tu imagines bien que je fais un très piètre résumé...
Anonyme
15125
95 Posté le 10/10/2008 à 13:29:30
Citation : Est-ce cela, être créatif : avoir suffisamment d'indulgence pour soi-même
... ou assez de confiance en soi?
Je me suis remis récemment à la musique après une très (trop) longue parenthèse.
Aujourd'hui, je n'ai plus trace de ce que j'avais écrit dans mes premières années, autour de 1978 à 1980, parce que j'ai tout jeté (une dizaine de morceaux, si je me souviens bien): trop mièvre à mon goût, mais je ne saurai jamais si des oreilles extérieures auraient eu ce même jugement.
J'ai peut-être manqué de confiance en mes modestes créations
Anonyme
8690
96 Posté le 10/10/2008 à 16:32:12
oui Ycar, on se rejoint, indulgence et donc confiance en soi, car si on est indulgent c'est parce qu'on sait qu'on peut mieux faire, ou du moins que si y a une faiblesse passagère dans ce qu'on vient de pondre on arrivera à mieux faire. On est indulgent avec soi parce qu'on sait qu'on peut être meilleur, donc parce qu'on a confiance en soi. Je pense que nos deux approches sont similaires.
Quant à mon cher Roman, si j'expose ainsi ce blocage que je ressens pour la création d'un texte, ce n'est point pour l'ériger en doctrine ! mais bien parce que je le vis comme un problème. Pourquoi accepté-je de construire une musique en plusieurs fois, en raturant et corrigeant, et pourquoi ne l'accepté-je pas pour un texte ? Est-ce encore une fois, comme nous l'avons évoqué avec Maloryp, une histoire de facilité plus musicale que littéraire ?...
J'adhère totalement à tes arguments, mais entre la théorie et la pratique, hein
Quant à mon cher Roman, si j'expose ainsi ce blocage que je ressens pour la création d'un texte, ce n'est point pour l'ériger en doctrine ! mais bien parce que je le vis comme un problème. Pourquoi accepté-je de construire une musique en plusieurs fois, en raturant et corrigeant, et pourquoi ne l'accepté-je pas pour un texte ? Est-ce encore une fois, comme nous l'avons évoqué avec Maloryp, une histoire de facilité plus musicale que littéraire ?...
J'adhère totalement à tes arguments, mais entre la théorie et la pratique, hein
shadowninja
10
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 16 ans
97 Posté le 10/10/2008 à 19:11:43
Alors comme ça tu aime Jean Michel Jarre dans le genre je te conseille robert miles
faire parler les sons au lieu de soi c'est ce que j'ai choisi tu peux le voir sur mon myspace https://myspace.com/shinjimusic lorsque l'on choisi cette route le choix des melodies est d'avantage un souci car il faut reussir a faire passer des emotion uniquement a travers la musique (un peu comme le poete le fais avec uniquement des mots)
faire parler les sons au lieu de soi c'est ce que j'ai choisi tu peux le voir sur mon myspace https://myspace.com/shinjimusic lorsque l'on choisi cette route le choix des melodies est d'avantage un souci car il faut reussir a faire passer des emotion uniquement a travers la musique (un peu comme le poete le fais avec uniquement des mots)
roman66
4443
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
98 Posté le 10/10/2008 à 22:02:50
Darinze : tu sais que je suis un illettré en musique, donc je n'écris pas, mes petites mélopées évoluent peu à peu.
L'écriture par contre, c'est l'art de la rature. Très, très difficile de changer un mot, une phrase pour une autre. toi qui connais la musique, tu sais bien qu'elle sont rares les inspirations où tu compose une chanson en, disons, 20 mn. (mon record c'est une heure, paroles + musique.
Pareil pour les paroles, ça donne à peu près ça :
puis ça :
... ce sont des manuscrits de Flaubert... l'écrivain le plus obsédé, envahi par les mots.
L'écriture par contre, c'est l'art de la rature. Très, très difficile de changer un mot, une phrase pour une autre. toi qui connais la musique, tu sais bien qu'elle sont rares les inspirations où tu compose une chanson en, disons, 20 mn. (mon record c'est une heure, paroles + musique.
Pareil pour les paroles, ça donne à peu près ça :
puis ça :
... ce sont des manuscrits de Flaubert... l'écrivain le plus obsédé, envahi par les mots.
shadowninja
10
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 16 ans
99 Posté le 11/10/2008 à 06:58:35
Et quand on chante comme un pot et que l'on a des paroles qui tiennent la route???? on fait quoi??? :p (il y a toujours moyen de faire ça http://fr.youtube.com/watch?v=CSmDZ-CaZ7I mais..........disons que je prefere pas passer pour un boulet avec ma voix)sinon il se pourrais que je me lance dans le bruitage ^^
maloryp
1916
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
100 Posté le 12/10/2008 à 18:35:20
Merci beaucoup Shadowninja. 16 ans ? Tu es talentueux ! J'aime bien les sonorités, on ressent beaucoup l'influence Jarre en effet, même si c'est peut-être un peut trop répétitif pour moi.
Finalement je me rends compte que mes goûts sont plus élargis que je ne le croyais, et que lorsque je compose quelque chose, je ne devrais pas m'occuper de ce que je veux faire comme style, mais laisser ma composition devenir ce qu'elle doit devenir, la laisser s'exprimer d'elle-même. Si elle veut devenir plutôt rock, plutôt électronique, plutôt ceci ou plutôt cela, c'est à elle de voir. Et idem pour les paroles, si un début de compo fait sentir qu'il devra être sans paroles, laissons le faire, et vice versa.
Finalement je me rends compte que mes goûts sont plus élargis que je ne le croyais, et que lorsque je compose quelque chose, je ne devrais pas m'occuper de ce que je veux faire comme style, mais laisser ma composition devenir ce qu'elle doit devenir, la laisser s'exprimer d'elle-même. Si elle veut devenir plutôt rock, plutôt électronique, plutôt ceci ou plutôt cela, c'est à elle de voir. Et idem pour les paroles, si un début de compo fait sentir qu'il devra être sans paroles, laissons le faire, et vice versa.
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